C’était en marge du sommet Afro-américain qui s’est déroulé dans la capitale Fédérale Américaine Washington et où il a été reçu au même titre qu’un président d’état sur tapis rouge que le premier ministre Algérien avait déclaré aux journalistes de l’ENTV que l’intervention militaire en Libye n’est pas une solution à la crise et rejette également toute autre forme d’intervention étrangère dans ce pays frère. Il n’omettra pas de souligner que la constitution Algérienne ne le permet pas bien que l’article 26 de la constitution dont il est question ne l’interdit pas formellement mais évoque le non recours « à la guerre pour porter atteinte à la souveraineté légitime et à la liberté d’autres peuples » mais selon l’agence d’information Turque (Anadalou news agency) qui cite une source diplomatique, ce sont les parties Libyennes qui ont demandé cette intervention militaire en Libye sous couvert d’une force conjointe Arabe/ONU, une action pouvant être assimilée à une aide contre le terrorisme et non une guerre. L’agence cite que cette offre a été rejetée.
D’autres parts,la radio Francophone Iranienne qui cite EL Khabar signale que « les États Unis exercent depuis plusieurs semaines d’intenses pressions sur Alger pour ouvrir deux bases aériennes en Algérie » pour contrôler les mouvements terroristes au Sahel et opérer des actions contre les milices en Libye.Ils proposent en contrepartie des informations collectées par ses drones. Alger campe sur ses positions sacrées à savoir la non-ingérence dans les affaires internes des pays voisins et de ce fait, refuse la construction des deux bases sur son sol.La radio cite selon les analystes qu’Alger risque gros en refusant de se « prêter au jeu Américain » et que ces derniers trouveront toujours l’astuce pour s’implanter là où ils veulent.Pour les américains, il s’agirait toujours de leur sécurité nationale approuvée et par le congrès et par le conseil de sécurité.