Suite à l’article paru le 11 février 2013, relatif au dossier de la corruption impliquant Monsieur Farid Bedjaoui, repris in-extenso de la presse nationale par BAI, Monsieur Ziad Mohsen Dalloul nous a adressé le 12 avril 2013, depuis BEYROUTH et par le biais de son assistant, des précisions qui s’apparentent à une mise au point que nous estimons recevable.
Considérant que le droit de réponse est à prévaloir, au même titre que celui des lecteurs aspirant à des informations supplémentaires, qui montrent à quel point le scandale SONATRACH a des implications internationales, nous publions intégralement la lettre de Monsieur Ziad Mohsen Dalloul.
En effet, voir des Entrepreneurs Étrangers réagir pour se défendre et appeler à la vigilance sur l’amalgame qui découlerait des homonymes, indique combien l’affaire est importante ce qui nous dicte l’unique attitude à suivre et qui consiste à nous abstenir, par déontologie, à nous astreindre à une stricte neutralité.
Pour tout cela, nous avons jugé utile, nécessaire et important de mettre en ligne le fac-similé de la lettre qui nous a été transmise depuis Beyrouth, en demandant à son auteur de croire à nos sincères excuses pour d’éventuelles interprétations qui auraient pu en découler et le toucher.
Aux lecteurs d’en juger.
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