Si dans cette agence nouvellement inaugurée par le ministre des PTIC , l’espace et volume réservés aux clients réponds certainement au normes internationales, il est indéniablement certain qu’un « laxisme ambiant » règne dans cet espace où il est fait part d’une attente inadmissible observée par les utilisateurs de CCP présent à cet endroit. Jugez-en par vous même ,en effet, hier aux alentours de 14h30 , le système d’affichage ,à moitié en panne puisqu’il affichait le Numéro 250 mais n’indiquait pas le numéro du guichet correspondant , il faut chercher ou deviner par soi-même lequel des trois guichets réservés seulement au retrait CCP, sur les Six existant, était disponible . Alors qu’il y avait en tout et pour tout une vingtaine de client qui attendaient que leur numéro veuille bien s’affichait sans aucune alerte ou son ,le dernier ticket prélevé indiquait 360, l’on se demandait déjà où sont passés les 80 autres clients.La solution demeurait très simple pour éviter surtout la frustration d’une attente indéterminée, faire un tour dehors pour prendre un café et revenir au bout d’une bonne demi-heure s’avérait indispensable.Après presque une heure, de retour, le numéro affichait 290.Les mêmes personnes ou presque étaient toujours là. Mais selon l’affichage 40 personnes sont passés en une heure pour trois guichet
, faites le calcul !
Il est clair que cette méthode de ticket arrange bien les agents d’Algérie poste surtout filles qui ne cessaient de discuter entre elles , faire des va et vient incessant dans les bureaux plus que les quelques clients qui moisissaient dans leur chaise. Le manque de rigueur et de discipline dans cette agence sautaient aux yeux de tout un chacun .Bien sur ,personne n’osait dire ou revendiquer son tour , tout le monde avait les yeux figés sur cet écran qui n’avançait que rarement.Comble de l’ironie alors que les clients attendaient impatiemment , le troisième guichet est devenu subitement vide (ici à l’image )et on se retrouva avec deux guichet sur les …Six .Il était presque 16h la frustration des clients monta d’un cran car l’heure de fermeture se rapprochait très vite alors que le numéro servi s’éloignait et avait atteint 480 ce qui décourageait plus d’un et pousser à l’abandon.