Les prérogatives dévolues à l’élu dans le code communal ne sont qu’un habillage institutionnel pour lui imputer toute la responsabilité de la catastrophique gestion de l’APC.
SI LES DÉFAILLANCES DE GESTION SONT SIMILAIRES DANS L’ENSEMBLE DU TERRITOIRE NATIONALE LE PEU D’INITIATIVE LAISSÉE À L’ÉLU EN GÉNÉRAL , EST CERTAINEMENT POUR QUELQUE CHOSE. L’APC , EN APPARENCE , EST GÉRÉE PAR SES MEMBRES ÉLUES , MAIS LA DÉCISION MAJEURE APPARTIENT À L’ADMINISTRATION , LA RESPONSABILITÉ SE DONNE ET NE SE PARTAGE PAS DANS TOUTE DÉMOCRATIE CITOYENNE, MÊME SI LE REGARD D’UNE TUTELLE EST NÉCESSAIRE , C’EST L’ESPRIT QUI SE DÉGAGE DE TOUTE CONSTITUTION COHÉRENTE.
CECI ÉTANT ” LE QUI FAIT QUOI ÉMOUSSÉ TOUTE VOLONTÉ D’ALLER DE L’AVANT , SANS COMPTER LES COULISSES OÙ LES TUTEURS PARTISANS SE DONNENT À CŒUR -JOIE POUR TIRER LES FICELLES, ÊTRE SUR LA LISTE DES PROCHAINES ÉLECTIONS N’EST PAS ÉTRANGÈRE À LA PASSIVITÉ DE TOUS LES ACTEURS SUR LE TERRAIN . CONCLUSION POUR NE PAS FAIRE D’ERREUR OU ACCUMULER DES ESCLANDRES DE GESTION , L’ÉLU REND FEUILLE BLANCHE POUR NE PAS ÊTRE MOQUÉ PAR CEUX QUI EN ATTENDENT DES MIRACLES . QUI VA S’ENGAGER DANS CE FOUTOIR DÉNUÉ DE TOUT ESPRIT MILITANT , NE RESTE QUE L’OPPORTUNISME AVEUGLE POUR SUSCITER DES VOCATIONS DE SERVITEURS DES BIENS PUBLICS , SI LE PAIN NE LÈVE PAS CE N’EST PAS FAUTE DE BON INGRÉDIENTS UNIQUEMENT , MAIS CELA POURRAIT ÊTRE LE CHOIX DE L’HOMME QU’IL FAUT À LA PLACE QU’IL FAUT, ET ON NE VEUT POUR PREUVE QU’UN SOURD-MUET AFFUBLÉ D’UNE VICE-PRÉSIDENCE DE COMMISSION D’APC, QUAND ON SAIT QUE LA LOI NE S’EMBARRASSE PAS D’EXIGER QUE L’ÉLU DOIT ÊTRE SAIN DE CORPS ET D’ESPRIT POUR VALIDER UNE CANDIDATURE, SIDI-BEL-ABBES QUANT À ELLE, A TOUJOURS INNOVÉ, ET QU’À DIEU NE TIENNE , LA RÉUSSITE EST GARANTIE À UN HORIZON ÉNIGMATIQUE .
QUANT L’APW, ELLE EST FIGÉE AUSSI À LA MÊME ENSEIGNE , EN DÉBATTRE NE VAUT PAS LA PEINE.