L’université Djillali liabes de sidi bel abbés a eu l’honneur d’abriter pendant deux jours (16 et 17 décembre) le 1er congrès maghrébin sur la biodiversité et protection de la nature. L’objectif est de mettre en relief de nouvelles avancées de la recherche scientifique dans ce domaine et de renforcer l’ouverture de l’université sur son milieu socio-économique, aussi de permettre aux nombreux chercheurs d’exprimer énergiquement leur volonté à participer à l’élaboration d’un schéma directeur, pour l’utilisation rationnelle et la conservation des ressources naturelles à travers les résultats de recherche dans les aspects de valorisation, protection et conservation.
Au niveau de la diversité biologique, les pays maghrébins se définissent par un patrimoine naturel spécifique et diversifié, explique le président du colloque Mr BOUZIDI Med ALI. Cela va des écosystèmes terrestres, marins et autres écosystèmes aquatiques, et les complexes écologiques dont-ils font partie, cela comprend la diversité au sein des espèces ainsi que celles des écosystèmes, fait-on savoir.
Cette diversité qui devient un sérieux souci représente un support vital et une source divine de richesse pour la variabilité des organismes vivants de toute origine et de chaque peuple, comprend-t-on dans ce colloque à travers les multiples interventions, sauf que désormais, elle connait actuellement une forte menace causée par l’activité humaine, qui l’affecte fortement en provoquant de profondes modifications des habitats et des écosystèmes, explique-t-on.
Les variations régressives des ressources hydriques et les modifications résultantes des fluctuations remarquables dans les étages bioclimatiques sont aussi une autre cause, constituant des contraintes majeures limitant sévèrement l’amélioration de la production naturelle de la biodiversité provoquant de ce fait la disparition des systèmes écologiques qui fournissent des services essentiels à la continuité de la vie.
Cependant, après les usage d’ouverture et le souhait de bien venues du recteur Mr KHALFI ALI, les intervenant ont jugé indispensable et urgent de mieux maitriser le patrimoine naturel et ses ressources (flore, faune et eau) en amont et en aval, qui, désormais, ne peut se faire qu’à travers une gestion et une exploitation rationnelle et durable, mettant en évidence les enjeux considérables des ressources biologiques et hydriques et agir collectivement pour une connaissance, une valorisation raisonnable et une protection du patrimoine naturel pour garantir un développement durable.
Djillali T
le probléme a été débatue des milliers de fois. le probléme de l’algerie ce n’est pas du coté ecologique mais de production. les europeens en produisant beaucoup ils se sont affrontés au probléme de la gestion des ressources naturelles.Ici en lagerie le terrain n’est plus exploités..il n y a un processus de surexploitation pour poser la question de l’ecologie. l’ecologie n’a pas de place actuelement en algerie faute de production..le sujet de l’écologie a été déja clos.
place maintenant a la periode apres petrole..il faut exporter une marchandise pou importer une autre..c’est finit l’achat par la monnaie dollars..tu as bel abbes la plus belle plaine de l’afrique du nords démerde toi marche ou créve..
place aux producteurs pas au theoriciens