Les pouvoirs publics ont décidé de «mettre de l’ordre dans les espaces publics», envahis par le commerce informel. L’opération, qui a touché jusque-là les grandes agglomérations et autres grandes villes a vu la mobilisation de plusieurs agents de l’ordre public. ,sauf à Sidi bel abbes où le laxisme des pouvoirs publics est toujours omniprésent.
– L’opération entamée depuis quelques jours se poursuivra «jusqu’à l’atteinte des objectifs assignés à savoir, l’assainissement des marchés informels pour préserver la quiétude des citoyens». Selon un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) et portant la signature du premier responsable de la direction de la communication, «l’opération se déroule dans les meilleures conditions sans l’enregistrement d’aucun incident». Selon la même source, l’opération a été entamée tôt dans la matinée et a touché la circonscription administrative d’Hussein-Dey, particulièrement le quartier populaire de Belouizdad. Selon d’autres sources, l’opération en question touchera aussi plusieurs autres quartiers de la capitale. A ce titre, on cite notamment les marchés informels situés à Bachdjarah, aux Eucalyptus et sur les hauteurs d’Alger. D’ailleurs, on indique que cette première opération s’est déjà soldée par le démantèlement de plus de 500 commerces informels. Selon des sources oculaires, sur les routes menant vers Ouled Fayet, Tipasa, Zéralda, Chéraga, Dely-Brahim, Beni-Messous, Draria et autres Kheraïcia et Baba Hassan, les policiers et les gendarmes ont procédé à l’évacuation de plusieurs pseudo-commerçants qui occupaient la chaussée et les alentours des cités. L’opération intitulée «Le grand plan de nettoyage d’Alger», devrait être exécutée juste après la célébration de la fête de l’Aïd El-Fitr. Mais elle a été reportée d’une semaine afin de permettre aux concernés de prendre leurs dispositions,afin de leur permettre de démanteler eux mêmes leurs installations de fortune. Il s’agit de l’opération d’éradication du commerce informel entamée, ces jours-ci, à travers nombre de villes et de quartiers aux quatre coins du pays. Une initiative qui n’est venue, malheureusement, qu’en réaction aux plaintes des habitants des quartiers et autres cités populaires à travers le pays dont le quotidien est devenu insupportable. Car, au-delà du sacré trou qu’il porte au Trésor public à travers l’énorme évasion fiscale et autres assurances, le commerce informel ou plus crûment appelé en langage terre-à-terre « trabendo », charrie son lot de néfastes effets collatéraux en termes de sécurité publique et de nuisance terrible aux voisinages qui n’en peuvent plus. Et les récurrentes bagarres rangées suite à des vols ou des agressions verbales ou physiques, qui font le quotidien des habitants des quartiers et cités, dont bon nombre s’achèvent dans le sang
Ces opérations de salubrité publique , sont en cours dans diverse autres villes du pays,afin de rétablir l’odre public ,est d’assurer la quiétude citoyenne. A Sidi bel abbes , ces opérations annoncées à diverses reprises ,n’ont pas eu lieu à ce jour et ,en attendant l’informel de dévelloppe de plus belle,dans l’indifférence totale des services publics ,qui semblent ne pas étre concernés par cette prolifération anarchique de marchés informels qui narguent,l’ordre public. A croire que la ville de Sidi bel abbes n’est pas préoccupée par cette remise à l’ordre qui s’effectue dans les autres ville de la république. Ici on est beaucoup plus occupés à transformer le boulevard de la Macta. On dit bien que le ridicule ne tue pas ……..heureusement !
Oui, mr Nass, les malversations sont partout dans notre pays à cause du laxisme avéré des pouvoirs publics. Même certains exploiteurs des eaux soit disant minérales ou de source( je dirai plutôt des eaux embouteillées) ne respectent pas la législation nationale qui est très claire; à savoir respecter :
-le périmètre d’exploitation des eaux qui doit être éloigné des zones agricoles ( d’où pollution due aux entrants)
-le périmètre d »acheminement de l’eau jusqu’à la mise en bouteille (le lieu du forage et l’usine d’ embouteillage sont éloignés de plusieurs Km l’un de l’autre d’où possibilité de pollution des canalisations).
Alors vous pouvez douter sur la qualité des eaux embouteillées que le citoyen boit.
Pollution pour pollution, je préfère boire d’eau de robinet, elle me coûte moins chère.
savez vous que l’eau minérale sous appelation Missregine , Benbadis et bien d’autres je suppose, est rempli directement du robinet..et que les limonadiers de SBA se servent dans les cuves d’eau du CHU..bientôt on nous vendras l’eau de l’oued mekerra ou du barrage sarno en bouteille…les types de l’informel sont capables de tout !!!