Des ordures au quotidien, une odeur insupportable qui infeste tous les alentours de l’établissement sans épargner les cités limitrophes, celle d’En Nassr et El fourssen, des chiens, des rats, sont désormais le quotidien d’une existence que doivent subir, en particulier, des enfants dans un milieu censé leur apporter de l’éducation et de la sécurité.
Cette image d’une désolation indescriptible ne veut désormais pas lâcher cet endroit d’une sensibilité particulière. Un flot de requêtes, de cris depuis des années du directeur de l’établissement n’ont sensibilisé aucune autorité.
Des ordures entassées, des sachets éventrés par les animaux, laissent couler des restes de liquide que le sol absorbe jusqu’à former une couche noirâtre d’une odeur puante et piquante, que les enfants et le personnel de l’établissement en particulier sont obligé de supporter à longueur de toute la journée. Les fenêtres des classes justes à coté, qui sont fait pour changer l’air et créer un climat sanitaire favorable, sont désormais fermer à double tour. La cour et le terrain réservés aux pratiques physiques juste derrière le mur où se trouve cette décharge sont quasiment infecté par l’odeur, racontent des élevés.
À qui relève cette responsabilité ? Pourquoi parle-t-on de compagne de nettoyage et de sensibilisation sur la propreté, si des élèves innocents sont condamné de supporter un climat fertile à tous les risques, à toutes les maladies et à toute disposition de créer de cet enfant l’homme idéal de demain. S’ajoute à tout cela, la présence de chiens qui sont attirés par ces ordures suite à l’ignorance des uns et l’irresponsabilité des autres, constituant un autre danger réel pour la sécurité des enfants. à bon entendeur !
Djillali Toumi