“L’école n’a pas assuré ses devoirs et n’a pas initié les élèves à la citoyenneté, au civisme, au respect et à la solidarité. Nous sommes dans la mémorisation et nous nous inscrivons en porte- à-faux!”
«L’école algérienne ne produit plus l’acte citoyen, civique, sportif et culturel»
Ce n’est ni un journaliste, ni un opposant politique, ni même un pédagogue qui lancent cette sentence. C’est l’Inspecteur Général en exercice du Ministère de l’Éducation Nationale. M. Medjahed MESSEGUEM ne met pas de gants pour désigner l’école algérienne comme responsable de la violence qui prend de l’ampleur d’année en année.
N’est-ce pas là, un aveu d’échec consommé, fruit d’une politique d’éducation initiée dès la fin des années 70 par Ahmed Taleb et parachevée magistralement par BENBOUZID
Sur les 40 000 actes de violence recensés dans le milieu scolaire durant l’année 2014, 6 000 cas (15%) ont été provoqués par les enseignants contre les élèves, plus de 4 000 cas (10%) par le personnel contre les élèves et plus de 5 000 autres cas (13%) entre les personnels. Le reste 25 000 cas (63%) sont enregistrés entre élèves.
132 cas relatifs à la consommation de drogue, de psychotropes et d’alcool dans les écoles ont été enregistrés, la même année. Selon M. MESSEGUEM, ce fait gravissime est le résultat d’une démission de la société toute entière, à commencer par les parents. L’acte pédagogique va mal. Au vu des développements enregistrés,
Il révélera que des élèves filles ont introduit des fumigènes au lycée d’Hussein-Dey qui serviront à provoquer un incendie. À Baraki, sept élèves, dont un exclu de cet établissement, ont également introduit des fumigènes et provoqué un autre incendie. “Vous savez tous que le lycée de Baraki est limitrophe de Bentalha. Et vous savez également que Bentalha est une société qui a beaucoup de problèmes.
D’ailleurs, parmi les mis en cause, il y avait un élève exclu. »
Le lecteur aura remarqué cette tendance à vouloir trouver un alibi à chaque dérive. Vouloir mettre en corrélation l’incendie du lycée de BARAKI avec la tragédie de Bentalha des années 90 est absurde et pose la nature de l’alibi à opposer à l’incendie du lycée de Blida.
En fait, cela fait longtemps que l’Algérien a été «formé» à la violence. Cette tendance a tellement pris de l’ampleur qu’elle a épousé toutes les formes imaginables :
Nous avons la violence physique qui se caractérise par les agressions, les mutilations, les tortures, voire les assassinats. Ce genre de violence très répandu se trouve à tous les échelons de la Société : Dans la famille où c’est le mari qui bat la femme juste pour le plaisir où le frère qui bat la sœur pour le même motif, si ce n’est l’enfant qui s’attaque à ses parents. Dans les stades où le plaisir sadique consiste à canarder les joueurs et officiels avec des pierres, lorsqu’on n’étripe pas son voisin de siège avec une arme blanche parce qu’il a juste souri suite à un dribble. Dans les écoles et lycées juste parce que le sujet d’examen a été jugé inabordable….
Nous avons la violence par la parole: L’Algérien ne sait plus tenir un débat. Le ton se hausse à la moindre contradiction. «Et apportez la contradiction avec ce qui est meilleur » devient un commandement inutile, chez l’Algérien qui, à défaut de sa raison, personne n’a raison. Cette forme de violence se retrouve également au niveau de la presse qu’elle soit écrite, parlée ou avec image. Le ton est acerbe, inquisiteur, souvent diffamateur.
Le comportement au niveau des administrations et les problèmes bureaucratiques que rencontrent les citoyens est une autre forme de violence qui engendre la violence, d’un autre type plus grave.
Enfin, la corruption, le népotisme ainsi que tous les fléaux sociaux constituent des violences qui sèment l’anarchie.
La responsabilité première à cette situation incombe à la famille et à l’école surtout.
L’école a failli. Depuis le temps où elle a été jugée sinistrée, depuis le temps où tous les universitaires, pédagogues, anciens professeurs tiraient la sonnette d’alarme, sans succès. On continuait allégrement à produire non seulement des illettrés, mais également des monstres malheureusement. Au lieu des matières « Morale » et « éducation civique » que l’on nous enseignait chaque matin de chaque jour dès la première année primaire où l’on nous conditionnait à l’amour du prochain, au respect des parents et des personnes âgées, à l’amour de la Patrie, à l’honnêteté, à la vertu et à la générosité, on se complait présentement à vouloir leur apprendre la reconnaissance des mots par l’image. Au lieu des enseignements sur la tolérance de notre Sainte Religion, sur les versets du Saint Coran en rapport avec l’amour du prochain, la générosité et les qualités vertueuses du Prophète (SAWAS) en préfère terroriser les pauvres chérubins avec les «tortures de la tombe » et les endoctriner par des appels au Djihad.
Depuis le jour où nous avons commencé par orienter ceux qui subissent l’échec scolaire vers le métier d’enseignant, nous avons failli. Nous avons entamé le harakiri de l’école.
Depuis le jour où nous avons préféré enseigner les préceptes wahhabites importés et stéréotypés à la place de notre Religion Malékite, alors nous avons formé des armées de Djihadistes, mais aussi des Médecins qui racolent les malades vers les cliniques privées, des enseignants qui racolent des élèves pour les cours de soutien grassement payés, des mutants qui ne lésinent sur aucun moyen pour mettre en évidence un « ego » en mal de reconnaissance…
Alors quand je lis que J.M. Le Pen déclare : «J’ai décidé de me convertir à l’Islam, pour emm…. Ma Fille. J’ai déjà commencé les préparatifs de la cérémonie avec la Mosquée de Paris. Sous peu, vous me verrez aller à la Mosquée pour accomplir la prière, avec une longue barbe blanche et … des chaussures de sport Nike !» Voilà c’est dit, le stéréotype du Musulman, la barbe et la chaussure de sport Nike!
En attendant, et puisque nous sommes au stade des statistiques, relevons que près de 35% des Algériens de plus de 35 ans sont hypertendus. Je n’en fais pas – grâce à Dieu – encore partie, pour le moment du moins, mais à ce rythme, je crains que cela ne saurait tarder.
djillali@bel-abbes.info
@le cygne
Le cygne
C’est vrai ibnou khaldoun est une reference sure, car ces ecrit etaitent composé par des algerien pour les algerien.
Apres l’inavasion de l’algerie par les othomons tout a été boulversé.
Les arabes et leurs alliés ont été mis a l’equart et les othomons ont été entouré par une plaiyade de profiteurs de differentes couleurs.
Apres leur chute l’algerie a balancé vers le pire le dechirement entre les monarque et les empereures..
Apres la guerre a changé de forme et de fond »elle est redevenue froide sans tire de feu apres la fin de la deuxiemme guerre mondiale. La guerre de l’inteligence a remplacé la guerre des muscle.
C’est pourquoi dans telle situation inconnu à l’epoque de ibnou khaldoun.
Si les methode de ibnou khaldoun sont bonnes, il faut voir comment les placer dans leurs contestes actuel de guerre froide entre different centre et milieux ..
C’est pourquoi j’ai proposé que les Titres comme Ingenieur, Docteur, Proffesseur, soit delivrés seul par le ministere de la justice..
En delivrant ces titre le juge va ordonné une serie d’enquete sur le postulant depuis son enfance jusqu’a son etat de demande. La gendarmerie va collecter une masse d’information et de temoignage
En oprant une autre series de verification des diplomes »pour voir l’integrité morale et ideologique du postulant »
Il est claires que dans cette procedure les gens qui ont fai tune partie ou la totalité de leurs formation a l’etranger n’auront pas le droit de postuler a ces postes du simple fait le juge ne peut ordonner une enquete a l’etranger , nos gendarmes ne peuvent pas operer a l’etranger. Dans ce domaine y’a pas d’equivalence,
Les ministeres doivent retirés tous les titres qu’ils ont délivré. Le ministere ou une sociéte privé ou publique n’a le droit de délivrer que les grades c’est tout. Un hopital privé ou publique ne délivre que grade et les gradés doivent osculté et agire en groupe. Si quelqu’un n’a pas obtenu le titre de docteur il n’a pas le droit d’osculter un patient en privé il faut etre deux pour le faire. Donc les medecin peuvent ouvrire un cabinet a condition d’etre un binome ou teinome ou plus. Un medecin n’a pas le droit d’ouvrir un cabinet ou une pharmacie ou une chirurgie dentaire seul.
Il faut s’associé pour le faire..oobtenir le tire de docteur pour le faire…
La meme chose por l’enseignement, il faut etre 3 maitre de conference pour corriger une copie et donner un cours, seul celui a obtenu le titre de prof est en mesure de donner un cours et corriger des copies..
Ce systeme est adapter pour l’algerie apres 1830..le maroc par exemple
N’a pas ce genre de contrainte, car la monarchie a tout balisé en introduisant le titre de »chourfa »… meme avec un titre de proffesseurs tu ne peux rien faire dans certain milieu si tu n’a pas le titre de chrif..
Ouedboul
Dans l’exemple que tu as cité est ce que entand que directeur d’ecole ou orienteur pedagogique ou investisseur tu vas laisser libre cours au enseignant de donner leurs objectifs ou tu vas leurs donner des objectifs..
Tu va a oued mekera pour ceci cela
dans le syteme PBL PSA sont organisés les choses?
J’ai introduit ici les orienteur pédagogique qui n’existe pas
Bouterfas
Les compétences visées sont l’objectif, par exemple le team Work, l’autonomie de la recherche du savoir,les connaissances nouvelles etc…Le role de l’enseignant se résume a la facilitation, l’encadrement et le soutien..
El guelliti
Désolé Mr Elgueliti le texte était entrecoupé
Je voulais seulement savoir, qui fixe les objectifs, l’enseignant ou autre?
Parceque si vous laissez libre a l’enseignant de donner des théme
Aux eleves cela suppose que tu as fait passer les enseignant par une formation préalable ou dans laquelle tu les as montré les differents théme a proposer une fois en exercise..ici tous les enseignants formés dans cette école vont faire le meme enseignement partout ou ils seront..
Si le systéme que vous proposez ne prevoit pas ou ne se base pas sur ce principe je pense vous allez avoir des disparités surtout si dans une wilaya les enseignants sont logés dans d’autre non..votre systéme parle de la pedagogie absolue en dehors des réalités du terrain de chaque pays. Aux etats unis le systéme est liberal, il se base sur la monnaie, tu es enseignant t’a l’argent, tu vas acheter ton terrain tu vas a la banque elle t’ouvre un credit, ensuite tu vas chez l’architecte il te fait un quart habitable et le reste atelier ou tu vas ouvrire une salle de formation.
Tes éléves payeront leurs cours chez toi. Les americains ont cette culture »payer pour apprendre » ce n’est pas une honte..on avait cette culture avant 62…il y’ avait les regles préétabli, c’est a dire lorsque nos parents livraient leur petits enfants au menuisier au charpentier au maçons, il ne va pas lui faire un cours »fait ceci cela a mon fils » le menuisier sait se qu’il va faire et le parents sait qu’il va payer rubis sur ongle..
Nous sommes plus dans cette situation, nous avons copié le systéme pas socialiste mais au fond imperial…maintenant nous sommes tombé dans un systeme rentier…a moins que certains parents cherchent comment revenir vers notre ancien systeme d’avant 62..là oui c’est discutable..je suis pour..
Alors elgueliti comment tu vas faire pour adapter et imbriquer les systémes?
Désolé Mr Elgueliti le texte était entrecoupé
Je voulais seulement savoir, qui fixe les objectifs, l’enseignant ou autre? Parceque si vous laissez libre a l’enseignant de donner des théme Aux eleves cela suppose que tu as fait passer les enseignant par une formation préalable ou dans laquelle tu les as montré les differents théme a proposer une fois en exercise..ici tous les enseignants formés dans cette école vont faire le meme enseignement partout ou ils seront.. Si le systéme que vous proposez ne prevoit pas ou ne se base pas sur ce principe je pense vous allez avoir des disparités surtout si dans une wilaya les enseignants sont logés dans d’autre non..votre systéme parle de la pedagogie absolue en dehors des réalités du terrain de chaque pays. Aux etats unis le systéme est liberal, il se base sur la monnaie, tu es enseignant t’a l’argent, tu vas acheter ton terrain tu vas a la banque elle t’ouvre un credit, ensuite tu vas chez l’architecte il te fait un quart habitable et le reste atelier ou tu vas ouvrire une salle de formation. Tes éléves payeront leurs cours chez toi. Les americains ont cette culture »payer pour apprendre » ce n’est pas une honte..on avait cette culture avant 62…il y’ avait les regles préétabli, c’est a dire lorsque nos parents livraient leur petits enfants au menuisier au charpentier au maçons, il ne va pas lui faire un cours »fait ceci cela a mon fils » le menuisier sait se qu’il va faire et le parents sait qu’il va payer rubis sur ongle.. Nous sommes plus dans cette situation, nous avons copié sans le savoir le systéme pas socialiste mais au fond imperial…maintenant nous sommes tombé dans un systeme rentier…a moins que certains parents cherchent comment revenir vers notre ancien systeme d’avant 62..là oui c’est discutable..je suis pour.. Alors elgueliti comment tu vas faire pour adapter et imbriquer les systémes?
@mme le cygne
Je ne suis pas specialiste’du domaine de la pedagogie, en vous lisant je crois que vous vous metiez devant une situation complexe..l’algerien n’est pas compliqué il lui faut de simple chose pour se developper.
La chose devient compliquer lorsque le milieu est trop precis, certains pays sont au niveaux des nano, c’est a dire il n’offrent aucun espace pour placer une erreure..mais ici en algerie l’ecart est trop important, nous sommes hors mesure, nos menuisiers tracent avec des batons de craies..trouver et proposer’une solution reste facile..
Si on revient a la nature des choses. L’etre humain a besoin d’avoir un produit entre les mains pour pouvoir l’echanger car la planete terre est fondee sur le principe des echanges..en algerie le caractere des villes est du type residentiel et commercial et peu de service…y’a pas une activité de creation de transformations…nos villages en majorité sont encore dans le type agro pastoral..a part quelques regions qui sont du type arboriculture..le milieu est donc simple ça ne dema’de pas une école tres performantes..y’a pas un industriel qui exige des performances specifiques qu’on dois integrér dans un processus de formation..c’est pourquoi tout l’a remarqué en disant »on forme pour les autres pays »
Un ingenieur est formé sur 22 ans alors qu’en finalité dans son travail il n’utilise meme pas le milliemmes des sommes des connaissances acquises sous de forte tension..des nuits blanches, des depressions, des stress, des echecs, des cachets, des insomnies, des cités universitaire invivables, des bourses miserable, pourquoi tout cela?pourquoi tout ce gachis?en france y’a des français qui ne savent ni lire ni écrire, aux etats unis pareil..ça ne veut pas dire qu’il ne savent rien faire, certe il vont touver de dffiultés das l’usage des distributeurs de billets, mais il finiront par trouver une solution..nos imigres en france utilisait des pieres dans leurs poches a chaque station de metro ils déplace une pierre..a la derniere pierre ils descendent..a leurs ages on doit les obliger a apprendre a lire le français pour prendre le metro?
Le developpement d’une société se fait en dehors du programme scolaires et universitaire c’est a travers les normes que tu imposes a chaque étapes..chaque fois on introduit une nouvelle petite norme applicable ou on amende une ancienne en la rendant un peu plus contraignante….le developpement sur plusieurs siecles..Ne vous precipitez pas car Dieu a tout le temps devant lui il restes des milliards d’année lumiére a parcourirs…
Tout le monde est démissionnaire, depuis l’état jusqu’à la cellule familiale en passant par les enseignants, et nos chérubins sont livrés à eux-mêmes (échec scolaire, drogue, alcool, agression, vol..etc..)….!!! Ce cercle infernal de violence qui épouse des formes de plus en plus dangereuse est là pour nous rappeler que le choix du système éducatif et culturel est un fiasco total surtout pendant l’ère du fameux ministre devenu sénateur de la Oumma… !!!
Il y a plus de confort et de moyens dans les prisons que dans les écoles, alors certains préfèrent les établissements de rééducation que ceux d’éducation….!!!
En tout cas, les responsabilités et les complicités sont partagées, mais le premier responsable reste l’état. En plus des mauvais choix de programmes, de méthodes, des critères de sélection d’enseignants, de directeurs, d’inspecteurs, de directeurs d’académie, quand c’est l’académie qui intervient, sur ordre du ministère de tutelle, pour imposer aux établissements de réintégrer les exclus pour mauvais résultats ou pour indiscipline, comment voulez-vous que les élèves respectent tout ce beau monde..?? ? A l’instar des autres secteurs, dans l’éducation, les lois ne sont pas respectées….!!! Ajoutez à toute cette grande débandade l’incompétence des associations de parents d’élèves qui ne savent que réclamer de l’argent, et les présidents de connivence, ne pensent qu’à placer et faire réussir leurs enfants avec des notes qui leur permettent de faire telle ou telle spécialité , pour occuper tel ou tel poste par la suite, et on retrouvera le même cercle infernal à l’université…!!!
Au fait, pourquoi les adultes crient au scandale, c’est le fruit de leur absence et laisser-aller, donc, il faut d’abord commencer par éduquer les parents avant tout le reste… !!! Quand des parents incitent leurs enfants à tricher ou à copier, et leur offrent les moyens de le faire, la fraude est ainsi devenue le chemin le plus court vers le sommet. Lorsque certains enseignants se familiarisent avec leurs élèves et participent au trafic des notes d’examen, au lieu de dénoncer les programmes inappropriés, les classes surchargées, le manque de matériel pédagogique ,les cours supplémentaires, la corruption, il ne faut pas s’étonner si la violence s’est instaurée à l’école….!!!
Sans oublier les programmes TV nationaux et internationaux, les sites internet et tout ce qui incite à la violence….!!!
En résumé, les projets de société et les systèmes de gouvernance qui ont été concoctés pour la nation algérienne depuis l’indépendance ont été un fiasco monumental….!!!
Je répète donc, les projets de société et les systèmes de gouvernance qui ont été concoctés pour la nation algérienne depuis l’indépendance ont été un fiasco monumental….!!! Et malgré cela, les uns essayent de nous convaincre que c’est la pédagogie du communiste Freinet qui va résoudre les nombreux problèmes du système éducatif et les autres nous proposent d’essayer la méthode du libéraliste humaniste John Dewey…!!! Allez qui dit mieux…???!!!
Alors où va-t-on comme ça…??? Supposons que c’est un Freiniste qui va accéder au ministère de l’éducation, puis viendra le tour d’un Dewiste, que vont devenir nos enfants, plutôt nos Cobayes…??? Il vont rester en balottage entre les Minus créatus de différentes couleurs, mais, on ne sortira jamais de l’auberge…!!! Hé, est ce qu’il y a quelqu’un qui pense à nos valeurs, nos repères et notre religion….. etc qui va nous les enseigner…???!!!
Au fait, qui est Dewey et qui est Freinet ainsi que leurs supporters…??? Ce ne sont que des Minus qui peuvent se tromper, changer d’avis et le plus important ce sont des « prophètes » de leurs sociétés, pas la nôtre; alors pourquoi on nous présente leurs œuvres comme s’ils étaient des versets coraniques…!!!!
Vous connaissez Ibn Khaldoun, par exemple…??? Pourquoi personne ne parle de ce père de la pédagogie et de la sociologie reconnu par l’occident avant les siens….!!! Pourquoi, personne ne parle de son œuvre qui peut être développée et adaptée à l’ère des « fous »…!!!
Tout à fait normal lorsqu’on est imprégné, parfois même colonisé par la culture des autres on oublie plutôt on ignore la nôtre…..!!!
« Le système éducatif et culturel de l’Islam a engendré une abondante littérature qui en présente l’organisation et le fonctionnement et analyse ses normes et ses valeurs. Des philosophes comme al-Farabi et Ibn Miskawayh ont proposé une théorie de l’éducation dont la finalité est de permettre à l’homme d’atteindre la perfection propre à sa nature. Dans un autre registre, al-Mawardi a proposé un programme éducatif qui concilie les intérêts mondains et religieux, et al-Ghazali, dans son célèbre Ihya’ `ulum al-din [Vivification des sciences religieuses] a élaboré une base théorique et défini une démarche pratique en vue d’atteindre l’idéal religieux du bon musulman. Toutes ces théories éducatives, dans le sillage d’une tradition qui remonte à l’antiquité gréco-latine, s’intéressent à l’homme comme tel, considéré dans la totalité de son être. Elles ne s’attachent pas à une étape particulière de la vie humaine ni à tel ou tel type de formation ou d’institution; cependant, bien que de façon subsidiaire et cursive, elles posent quelques principes pédagogiques fondamentaux: l’usage tempéré de l’autorité et du châtiment corporel, la nécessité d’éveiller l’intérêt de l’enfant, la valeur de l’exemple, la progression dans l’apprentissage ; surtout, elles insistent sur l’importance de la relation pédagogique et définissent les rôles et les devoirs respectifs du maître et du disciple. » (par Abdesselem Chaddadi )
On verra ce que pense Ibn Khaldoun dans un autre commentaire Inchaallah..!!! Freinet, Dewey et puis quoi encore.. peut être Georges Snyders, Rabelais, Rousseau ou Sébastien Faure qui a créé une école libertaire..etc..!
Comme a dit un professeur de philo (Didier Delsart) : « Et certes, les pédagogues d’aujourd’hui ne plaisantent pas lorsqu’ils vous parlent d’un «changement en profondeur » puisqu’il paraît que « sous peu, nous n’aurons plus besoin des écoles pour instruire nos élèves ». Fichtre ! La relativité générale ou la révolution quantique, ce n’est rien quand on songe au génie des pédagogues contemporains qui n’en finissent pas, depuis quarante ans, de tout renverser, avec une audace si… contagieuse ! Difficile, de nos jours, d’échapper au génie — du moins dans le monde des sciences de l’éducation, qui réalise la prouesse cosmologique de tourner à la fois sur lui-même et autour de lui-même ! On rivalise ainsi, dans cet univers de l’entre-soi, de « retournements absolus », de « renversements complets de la perspective », de « changements de paradigmes » et autres « révolutions bouleversantes »….!!!
Et ça ne va pas finir encore….!!!
On recollte ce qu’on seme. Punkt
Une société ressemble a un mécanisme d’horlogerie ou chaque part doit assuer sa partition pour faire fonctionner l’ensemble.Il ne faut pas évoquer la problématique de l’école d’une maniére parcellaire car la notion du contexte en pédagogie sociale est si déterminante, tellemtent déterminante que toute appréhension sera érronée sans une prise de considération scientifique du contexte d’évolution de l’éleve.
l’enseignemet en Algerie est bancal, basé sur la mémorisation des textes sans exigence de compréhension.Celui qui avale des pages et des pages par Coeur est un bon éleve selon les criteres d’évaluation de cette méthode.Par contre l’autre méhode est le problem solving approach, developpé par l’Americain john Dewey et perfectioné par les européens sous forme de la théorie des intelligences multiples, elle consiste a développer les capacités congénitives de l’éleve, en l’initiant a la reflexion, au sens critique et a la recherche scientifique dés son jeune age..
Dans cette méthode , le flux de savoir est a deux sens, c’est a dire de l’enseignant a l’éleve et de l’éleve a l’éseignant, le gain psychologique est important quand c’est l’éleve qui transmet le savoir a sa classe.
Pour aboutir a sa mission, l’enseignant doit maitriser les outils pædagogiques de l’apprentissage, je cite la pédagogie de la reconnaissance et la pedagogie de la relation tout en excluant la pedagogie des conséquences communement connue sous forme des chatiments infligés a l’éleve.
C’est toute une réforme qu’il faut mettre en place, d’abord par un recyclage et mise a jour didactique, psychologique et pédagogique.
Nous évoquerons le » contexte! prochainemt.
Sallam Djillali
En ce qui concerne l’école car elle est touchée par la violence ,je pense qu’il faut revenir aux formes traditionnelles de notre éducation ,qui sont à mon avis la seule solution qui pourrait éradiquer cette violence au sein de l’école mais aussi dans la société .Inculquer à nos enfants dès leur plus jeune age et pourquoi pas jusqu’ au cycle du secondaire « al tarbia al islamiya » , une matière qui implique autant l’esprit que le corps .
La solution est entre les mains de nos « gouvernants » , »pédagogues » ainsi que les parents ,nous n’avons qu’à suivre l’exemple de notre prophète Mohamed(SAW) ,pourquoi aller chercher « des méthodes » d’ailleurs.
Il est souhaitable que les éducateurs, les pères et les mères, s’en inspirent , qu’ils en suivent les traces et qu’ils mettent notre Exemple en application dans l’éducation de leurs enfants , à la maison ou à l’école ……..Sans cela la violence gagnera d’autres secteurs …..Si ce n’est pas déjà le cas ! …..
Nous sommes trop trop loin de notre Exemple
Bonne soirée
Mr Amirouche , je suis sûre que vous connaissez Ibn Khaldoun, eh bien, il a dit que « La corruption des moeurs est presque une fatalité pour les citadins. La vie d’abondance entraîne la recherche des plaisirs et l’apparition de nouvelles habitudes et de nouveaux besoins. Ceux-ci sont de plus en plus difficiles à satisfaire, surtout vers le déclin des dynasties, quand les taxes deviennent plus lourdes. Pour faire front, les citadins usent de tous les moyens, bons ou mauvais et s’engageant ainsi inéluctablement sur «les voies de l’immoralité» »
« En milieu rural, à l’inverse, une vie où l’on se contente du nécessaire impose en permanence le contrôle des appétits. Les vices et les défauts qu’on peut contracter sont peu nombreux par comparaison avec ceux des citadins, et l’homme reste proche de sont état de nature originel et est plus enclin au bien »
On arrive au point crucial qui est l’imitation, le mal qui nous ronge….!!! Il dit que » l’imitation un phénomène général: ceux qui sont dominés imitent toujours ceux qui les dominent. Ainsi en va-t-il des enfants avec leurs parents, des élèves avec leurs maîtres, des sujets avec leurs princes, des nations dominées avec les nations dominantes et cela tant dans les usages, les comportements que dans tous les aspects de la civilisation. »
Maintenant, vous avez deviné le reste du scénario , n’est ce pas Mr Amirouche…??? Depuis la violence dans les écoles, jusqu’aux Aras bleus qui nous proposent telle ou telle méthode pour nous embourber un peu plus dans le cycle du Tabba3isme, tantôt à gauche, tantôt à droite…!!!!!
Dans un article du Professeur Abdesselam Cheddadi, on peut lire concernant les conditions de l’enseignement chez Ibn Khaldoun:
« À sa naissance, nous dit Ibn Khaldun, l’homme est dépourvu de tout savoir; il n’est encore qu’«une matière première». Il accomplit ensuite progressivement sa forme «grâce au savoir qu’il acquiert avec ses organes». Par essence ignorant, l’homme ne s’accomplit en tant qu’homme que par le savoir. Ibn Khaldun distingue trois types de savoir qui correspondent à autant de «degrés de la pensée». Un savoir pratique, produit de «l’intelligence discernante», qui lui permet d’agir dans le monde de façon ordonnée; un «savoir de ce qu’il faut faire ou ne pas faire et de ce qui est bon ou mauvais», qu’il acquiert grâce à son «intelligence empirique» et qui le guide dans ses relations avec ses semblables; enfin, un savoir théorique de tout ce qui existe dans le monde, qu’il conquiert par «son intelligence spéculative». Seul ce dernier savoir, qui fait l’objet des différentes sciences, lui assure la possibilité d’atteindre la perfection de son âme .
L’enseignement des sciences découle d’une double nécessité: d’une part, leur maîtrise exige un long apprentissage qui ne peut se faire qu’avec l’aide de maîtres ; de l’autre, leur développement même exige qu’elles soient communiquées à autrui. »
A suivre…!!!
Je suis sûre et certaine que si Freinet ou Dewey parle ou adoptent des principes pédagogiques d’Ibn Khaldoun tous les Aras bleus seraient les premiers supporters de ce grand savant….!!!!Allez, voyons la suite du menu….!!!
Concernant les principes pédagogiques: « La conception pédagogique d’Ibn Khaldun est fondée sur le concept central d’habitus (malaka), qu’il s’agisse de l’enfant ou de l’adulte, des arts pratiques ou des sciences, des valeurs morales ou religieuses, le but de toute action pédagogique est la formation dans l’âme d’une disposition stable. Une fois acquise, cette disposition ne disparaît plus. Ibn Khaldun la compare souvent à la teinture d’un tissu qui ne se perd qu’avec la destruction de celui-ci.
Tous les habitus, nous dit Ibn Khaldun, sont nécessairement corporels. Cela veut dire, pour lui, que l’habitus est quelque chose que l’âme ne peut acquérir que par les sens, par opposition à un autre type de connaissance, propre aux prophètes et aux mystiques et qui ne s’obtient que grâce à la contemplation par l’âme de sa propre essence. Cela concerne aussi bien les aptitudes physiques que les aptitudes intellectuelles, à commencer par le fait même de penser . La formation d’un habitus requiert au départ une répétition continue jusqu’à la fixation de sa forme. Pour avoir le maximum d’efficacité, celle-ci doit être pratique (bi-l-mubashara), élaborée à l’exemple des modèles les plus parfaits et avec le concours des meilleurs maîtres, de préférence suivant des méthodes d’observation directe (bi-l-mu’ayana). Ibn Khaldun pense que l’âme n’à qu’une réceptivité (isti’dad) assez limitée. Tout d’abord, elle ne peut pas recevoir plusieurs «teintures» à la fois; ensuite, quand elle en reçoit une, sa capacité à en accueillir d’autres diminue progressivement. La formation doit donc intervenir dès l’âge le plus tendre, quand l’âme est encore vierge, «car les premières choses à s’imprimer dans les coeurs sont comme des fondations pour les habitus; et l’édifice vaut ce que valent ses fondations.»
Le choix du contenu du premier enseignement a, par conséquent, une importance déterminante. Par ailleurs, aussi bien dans le domaine des arts que dans celui des sciences, Ibn Khaldun déconseille formellement d’enseigner plus d’une spécialité à la fois. D’ailleurs, remarque-t-il, les faits d’observation nous montrent qu’«il est rare de trouver une personne habile dans un art qui soit capable d’exceller ensuite dans un autre art et au même degré» .
Ibn Khaldun signale un autre important facteur dans la formation des habitus, celui de l’autorité. Une attitude trop sévère des maîtres a les conséquences les plus néfastes, surtout pour les jeunes enfants. Il rappelle à ce propos la situation des esclaves et des serviteurs, et aussi celle des nations opprimées. La contrainte et l’oppression brisent le caractère, briment les énergies, et finissent par détruire chez ceux qui la subissent la capacité de réaliser «leur fin et leur pleine humanité».
Il prône donc un usage modéré de l’autorité et des châtiments, prenant en considération la personnalité de l’étudiant et le souci de l’«instruire sans l’affliger et tuer son esprit». En définitive, les habitus peuvent être bons ou mauvais; ils peuvent revêtir la forme de la vertu ou du vice, du bien ou du mal, du bon ou du mauvais goût, du raffinement ou de la rudesse, de la clarté et de la rigueur ou de la confusion. Ils comportent aussi des degrés en raison de la qualité de l’enseignement et des modèles imités, ainsi que du niveau général du développement de la civilisation. » Il est très intéressant, ce dernier paragraphe…..!!!
Qu’en pensent nos fameux pédagogues….???
A suivre….!!!!
Mme le cyne
Ibn khaldoun est beaucoup plus un sociologue qu’un pédagogue, n’empéche qu’il a brillament apporté sa piérre a l’edifice..La question est pourquoi cette civilisation, jadis si vivace et si lumineuse, ne l’est plus ?
Ibn khaldoun sembla voir répondu a la question comme il le doit, une société ou une cicilisation devient décadente quand les generations tardives se dérésponsabilisent…..
…..IBN khaldoun ne savait surtout pas l’existence de 2 centres de langues dans le cerveau de l’enfant, lui permattant d’apprendre jusqu’a 5 langues avant l’age de 7 ans …. c’est åpour Vous souligner l’évolution des sciences depuis l’époque khaldouniénne.
Étant familier avec la pédagogie,L’approche des resolutions des problémes (problem solving approach) est la méthode Unique de l’enseignement des pays développés, je répete cette méthode consiste a développer les capacités congénitives en initiant l’eléve ( enfant ou adulte) a la reflexion et au sens critique. Mais aussi a la recherche scientifique ,la curiosité intellectuelle et l’approfondissemt tématique.
L’autre méthode est le banking concept ou l’enseignemt bancal, elle est basée sur la capacité de mémorisation, les reflexions superficielles etcc et la passivité des receveurs
Quant a la pédagogie Freinet, elle est hors commun. imaginez une école sans cloche, sans livres, sans devoirs etc…Elle peut etre bonne pour certaines catégories d »éléves avec des difficultés d’attention ou autres troubles de comportement.Cette méthode requiert un nombre limité d’éleves dans une classe allant jusqu’a 10 par classe et surtout des parents aux fortes ressources qui assument une forme de relai de l’esseignement a la maison.Elle peut etre trés couteuse.D’ailleurs meme en Europe les nombre des écoles utilisant la métode se comptent au bout des doigts et sont tous privées.
El guelliti
Mr El Guelliti, vous ne m’en voudriez pas si je vous salue quand même, c’est la moindre des politesse, envers un « frère-ennemi » (sans donner toutes les proportions négatives à ennemi bien sûr..)..!!!!!
Comme d’habitude, je suis d’accord et pas d’accord avec vous….!!!!
Vous avez bien fait de poser cette question pertinente qui nous taraude l’esprit: pourquoi cette civilisation (musulmane) , jadis si vivace et si lumineuse, ne l’est plus ? le jour où l’on saura la réponse, on renaîtra dans nos cendres….!!!
Selon le sociologue français Gustave Le Bon (1841-1931) : «L’idéal créé par Mohamed (saws) fut exclusivement religieux, et l’empire fondé par les Arabes présente ce phénomène particulier, d’avoir été le seul grand empire uniquement établi au nom d’une religion, et faisant dériver de cette religion même toutes ses institutions politiques et sociales ». « Avec un génie politique bien rare, les premiers califes comprirent que les institutions et les religions ne s’imposent pas par la force…Ils traitèrent les populations avec la plus grande douceur, leur laissant leurs lois, leurs institutions, leurs croyances, et ne leur imposant en échange de la paix qu’ils leur assuraient qu’un modeste tribut, inférieur le plus souvent aux impôts qu’elles payaient auparavant. Jamais les peuples n’avaient connu de conquérants si tolérants, ni de religion si douce». C’est cette tolérance qui explique pour l’essentiel, aux yeux des historiens, la rapidité d’extension des conquêtes arabes et la facilité avec laquelle leur religion fut acceptée et ancrée chez les peuples des territoires conquis.
Après les conquêtes, les Arabes se sont sédentarisés et se sont fondus dans les populations locales en une osmose exceptionnelle, historiquement sans équivalent. Ils ont créé de nouvelles villes qui sont devenues des centres de civilisation: Saragosse, Tolède et Cordoue en Andalousie; Fès et Marrakech au Maroc; Béjaïa et Tlemcen en Algérie ; Kairouan en Tunisie ; Le Caire en Egypte; Damas en Syrie; Bagdad en Irak; Maragha, Rayy (l’actuelle Téhéran), Shiraz et Ispahan en Iran; Samarcande en Ouzbékistan.
Le mérite et l’ingéniosité des premiers docteurs de la loi musulmane ont été incarnés par leur prodigieuse capacité à intégrer le monde qui les entourait aux valeurs de la religion musulmane, pour en faire une force redoutable. Leur mérite a été d’avoir su faire, avec les peuples et les nations qui leur ont préexisté, une nation nouvelle, qui dominera pour de longs siècles d’immenses étendues. S’ils ont réussi, c’est parce qu’ils ont su s’adapter à ce qui leur a préexisté. En un mot, ils ont su faire du neuf avec de l’archaïque. Ils ont su répondre aux besoins de leur temps par les solutions les plus appropriées. C’est là le facteur déterminant à l’origine de l’éclosion de toute grande civilisation.
L’extension du monde arabo-islamique a mis en contact plusieurs civilisations différentes. Les dirigeants musulmans ont encouragé la recherche scientifique et la diffusion du savoir comme Haroun Arrachid (786-809) qui imposa l’usage du papier dans toutes les administrations de l’empire. Sous l’administration de ses vizirs barmécides (baramika), Bagdad devint la capitale intellectuelle de son époque. Le calife était le protecteur des savants et des poètes. Des écoles et des bibliothèques furent construites. Le calife Al-Maâmun (813-833) avait réuni à Bagdad des savants de tous horizons. En 832 fut fondée la Maison de la sagesse (Beït al-hikma). Al-Biruni y calcule le diamètre de la Terre, et affirme que la Terre tourne sur elle-même, et cela bien avant Galilée.
Et m
Restez c’est mieux sur le probleme interessant de la pedagogie ibnou khaldoun vs le retes du monde
…ou mieux
enfant de Mohamed vs enfant de Moise vs enfant de Jesus vs enfant de David vs enfant de Iblis vs Enfant de Satan….lol..
Apprement 6 écoles chacun est psecialisé dans un domaine..
Pardon, un mauvais bouton et hop le commentaire est parti avant de le finaliser , mais bon…!!!!
Je voulais dire, et maintenant les gouvernants arabo-musulmans sont les protecteurs de quoi et de qui…et ils encouragent quoi…???
Quand j’ai parlé d’Ibn Khaldoun, cela ne voulait pas dire qu’on devrait prendre ses méthodes telles qu’elles sont, nos fameux pédagogues doivent se pencher sur le problème et bosser un peu pour ajouter, supprimer, développer et actualiser ces méthodes, au lieu d’aller voir tout le temps ailleurs….!!!
Voici la suite très intéressante de l’article du Professeur Abdesselam Cheddadi:
« Méthodes et contenus:
C’est en partant de son concept d’habitus qu’Ibn Khaldun pose le problème de l’enseignement des sciences. Pour maîtriser une discipline quelconque et la posséder à fond, il faut, dit-il, acquérir «un habitus permettant d’en cerner les principes et les règles, d’en connaître à fond les problèmes et des principes tirer les questions secondaires» .
La formation d’un tel habitus exige une démarche rigoureuse où il faut prendre en considération d’un côté, la «réceptivité» de l’étudiant et son pouvoir d’assimilation, et de l’autre, la quantité d’informations et le degré de complexité de la matière à enseigner. Ibn Khaldun estime que l’ensemble du processus doit se dérouler en trois étapes progressives, dont il prend soin de définir les objectifs et les moyens .
La première est une étape préparatoire. Elle a pour objectif de familiariser l’étudiant avec la discipline enseignée et de le préparer à en saisir les problèmes. À ce stade, on se contente donc de donner une vue d’ensemble de la discipline, en insistant sur les points principaux. Les explications doivent être simples et générales et tenir compte des aptitudes de l’étudiant à comprendre et à assimiler.
La deuxième étape est celle de l’approfondissement. On doit y «faire le tour» de la discipline en sortant des généralités. Les explications et les commentaires doivent être exhaustifs et tous les points de vue divergents seront exposés.
La troisième étape est celle de la consolidation et de la maîtrise. L’étude de la discipline est reprise in extenso mais en attaquant cette fois aux points les plus complexes et les plus obscurs. Ibn Khaldun insiste beaucoup sur le principe de progressivité. C’est une grande erreur, dit-il, que de commencer par les problèmes les plus abstrus, comme le font de nombreux enseignants qui ne tiennent aucun compte de l’état de préparation de l’étudiant. Une telle pratique est des plus néfastes: l’étudiant se fatigue rapidement et se décourage. Pire encore, croyant que les difficultés qu’il rencontre sont intrinsèques à la discipline qui lui est enseignée, il s’en détourne et l’abandonne. D’autre part, Ibn Khaldun perçoit clairement que l’inculcation d’un savoir ne peut être séparée du développement des aptitudes mentales nécessaires à l’assimilation de ce savoir. «Au début, remarque-t-il, l’étudiant est littéralement incapable de comprendre quoi que ce soit, hormis quelques rares points qu’il ne saisit d’ailleurs que d’une manière approximative et sommaire et quand ils lui sont expliqués avec des exemples tirés de l’expérience sensible. Puis ses dispositions se développent progressivement: les problèmes de la discipline lui deviennent plus familiers, ils lui sont répétés à plusieurs reprises, et il passe alors d’une connaissance approximative à une assimilation de plus en plus approfondie.»
Le cygne
Nous les scie tifique du technologique, on choisit l’outil en fonction de l’objectif…ici dans cette demarche du pr chadadi apprement c’est l’inverse, il choisit l’outil et essaye de voir ce qu’ip va faire avec..comme par exemple un qui achete un outil ensuite le regarde le tourne essaye de faire ces differentes partie, il constate un genre de marteau avec un bec de lievres..apprement c’est un marteau utilisé par les charpentier car c’est un arrache clou…
Lorsqu’on lit nos politiques et nos ministres on constate l’absence des objectif..tous le ministére courent deriere les equipements mobiliers imobilier et techniques mais personne ne sait quoi faire avec….
En general lorsque tu place une personne qui est formé dans les sciences social dans les domaines des »techniques et technologique » tu constate ce genre de distortion..tu constate un arsenal comme la 6 iemme flote americaine d’equipement pedagogique mais qui reste sans exploitations,,ça ne tourne pas..comme si on achéte un arrache clou alors que la construction n’est plus basé sur la charpente mais sur la dalle en beton…
Mr El Guelliti, il ne s’agit pas seulement de méthodes, car Dewey est aussi un libéral, darwinien, humaniste, un esprit, une philosophie, une idéologie, une culture, des valeurs, une morale qui ne se recoupent pas forcément avec les nôtres…!!! Lui qui ambitionnait de changer la moralité de son temps qu’il estimait comme n’étant plus adaptée au monde moderne…!! Donc, c’est un Tout…!!!
Dans un article d’Eric Aeschimann, intitulé: « John Dewey, le philosophe qui inspire Obama’ on peut lire que « deux idées maitresses structurent la pensée de Dewey :
1) l’individu n’est pas une entité immuable, mais un processus permanent d’adaptation à son milieu, ce qu’il appelle «l’expérience»;
2) il n’y a pas de vérités révélées ou éternelles, mais seulement des croyances que nous construisons parce qu’elles nous permettent d’habiter et de transformer notre milieu…!!! C’est là, où nos chemins se séparent…!!
« Pour Dewey, la théorie ne sert à rien si elle n’a pas une visée politique. En 1935, il prononce trois conférences, véritable plaidoyer en faveur du «libéralisme radical». Au XVIIe siècle, explique-t-il, John Locke invente le libéralisme pour défendre les individus et leurs biens contre l’arbitraire du pouvoir royal. Mais l’industrialisation change la donne: parce que le pouvoir n’est plus aux mains du monarque, mais des propriétaires, la philosophie de la liberté individuelle devient «une justification des violences et des inégalités de l’ordre établi». »
« Dewey déjoue l’antinomie entre qui doit primer, l’individu ou la société, en montrant que l’individu et la société sont l’enjeu d’une construction mutuelle et permanente. Seule une société de liberté peut produire des individus libres ; seuls des individus libres peuvent construire une société libre. »..!!! Reste à définir les concepts et les limites de cette liberté…!!!!
Dès lors, le retrait de l’Etat, qui était valable au temps de Locke, n’a plus de sens sous le règne des grandes fortunes. Pour rester fidèle à l’objectif d’émancipation des individus, l’Etat doit au contraire mettre en oeuvre une politique de planification seule capable de «créer un ordre dans lequel l’industrie et la finance seront socialement orientées [versDewey déjoue l’antinomie en montrant que l’individu et la société sont l’enjeu d’une construction mutuelle et permanente. Seule une société de liberté peut produire des individus libres ; seuls des individus libres peuvent construire une société libre.
Dès lors, le retrait de l’état, qui était valable au temps de Locke, n’a plus de sens sous le règne des grandes fortunes. Pour rester fidèle à l’objectif d’émancipation des individus, l’état doit au contraire mettre en œuvre une politique de planification seule capable de «créer un ordre dans lequel l’industrie et la finance seront socialement orientées [vers] la libération culturelle et le développement des individus»
« Après sa mort, les opposants aux méthodes progressistes en pédagogie, comme Allan Bloom, ont eu tendance à faire de Dewey le coupable dans tout ce qui ne va pas dans le système éducatif américain et à en faire le représentant d’une école centrée sur l’enfant d’inspiration romantique et rousseauiste.. »
La question qui se pose, pourquoi ce regain d’intérêt tardif pour les méthodes de Dewey dont son école ne dura pas une décade à son époque….!??????
Quant à Freinet, c’est une catastrophe d’un autre genre….!!!!!
Cordialement…!
Regain d’interet !! Je trouve la question un peu bizarre.
Si des nations se trouvent dans a tete du peleton et d’autres dans sa queue, ce n’est par hasard Mme le cygne.
Le vaisseau de la suprématie des pays développes st tenu par des ancres bien solide et cesse perfectionés.
1-enseignement de qualité basé sur le concept PBL ou le problem-based learning ou problem solving approach.
2- l’ésprit de rebond d’un champs a l’autre, c’est a dire les sciences humaine et les sciences technique sont complémentaires et indissociables , c’est la fameuse synergie.
3- la quiétude de l’ésprit , l’eprit libre est celui qui innove, invente, développe ..
Amicalement
Tout à fait d’accord, avec ‘le problem solving approach’ ou le pragmatisme américain, tant décrié par les français. Et il s’avère que l’implémentation du LMD en Algérie et par conséquent toute la réforme du système éducatif a été basée sur l’approche française que sur celle beaucoup plus pragmatique du système anglo-saxon. Malgré toutes ses tares, le système anglo-saxon est celui qui produit les meilleurs ingénieurs, les meilleurs avocats, les meilleurs médecins, les meilleurs comédiens, les meilleurs sportifs, par la synergie, le pragmatisme, la compétitivité , l’évaluation continue, les sanctions et les récompenses.
Si Abdelkader, dans notre pays tout est biaisé. Même le « copier-coller » n’est pas appliqué correctement . Le plagiat a une autre définition à l’algérienne selon la tête pensante de la Direction Générale de la Recherche.
Si si, je veux dit que tout est biaisé, car même le week-end n’est pas « normal » chez nous. Il est appelé week-end semi-universel. Rien que ça! Et puis, il paraît que notre pays est le pays de « Moudjizates ».
@Abbassia
Je vous laisse méditer une réflexion d’un homme politique français dans les années 60 interpellant l’establishment militaire de son pays au sujet du développement de la bombe thermonucléaire. » Les anglo-saxons ont tout raflé, les chercheurs et les recherches. Puis les russes se sont approprié par espionnage tous les secrets des anglo-saxons. Puis les chinois en ont profité à leur tour. Il n’y a que nous qui ne nous sommes pas foutus de féconder nos recherches en allant chercher du pollen chez les autres.. »
Aek 2015
Mme le cygne
Le PBL(problem-based learning) ou le PSA(problem solving approach) constituent la colonne vértebrale dans la maniére de transméttre le savoir.Je prends la peine de creuser un peu plus cette pédagogie.
Depuis le concordat de Damien l’école européenne est en constante mutation, basée sur des principes scientifiques, fruits de plusieurs siécles de récherches,cette école atteint le paroxysme de l’éxellence depuis mrJon Dewey.
La méthode Dewey basée sur ses ´decouvertes scientiques est perfectionné en une pédagogie qui n’a rien d’égale. Cette pédagogie consiste a développer simultanément des connissances disciplinaires et des stratégies de reflexions profondes de résolution de problémes.Justement , c’est autour d’un probléme que le procéssus d’apprentissage commence .Les éléves en groupes de 4 a 5 individus coopérent a résoudre ce probleme dont ils n’ont recu aucune formation au préalable.
Les éleves vont chercher, a expliquer la phénomenologie en formulant des hypothéses et les vérifier par la recherche d’informations et la constitution des synthéses de savoir receuilli .Le role de l’encadreur est confié a l’énseignant( ayant recu une formation supplémentaire sur l’encadrement des recherches)
Ces démarches ont pour objectif l’aquisition des connaissances nouvelles , construire une autonomie de l’apprentissage ,developper la curiosité intellectuelle, le sens critique et la motivation a apprendre .
Quant au modus operandi , le problem posé est basé sur les soucis du monde réel, cette phase est celle de l’authenticité. La spécifité du champ du cursus comme 2eme phase.La structuration, ele doit etre définie et analysée par une enquete minimale des informations collectées.La derniere phase est celle de la proximité du monde réel, l’éleve se trouve désormais engager face a face a des problemes dont il a l’habitude d’etre un simple spectateur.
Je donne un exemple:
Une classe de 3eme année primaire
Groupe 1 La pollution de Oued Mekerra
Goupe 2 Les airs de jeu a sidi Djilali
Groupe 3 Salubrité a Graba
Groupe 4 L’engagement des parents d’éleves dans l’ecole X
Groupe 5.Délinquace juvénile a SBA
Goupe 6 chomage a Sba
Les groupes s’échangent des exemplaires de leurs recherches et auront la tache de défendre et débattre leurs recherches avec le reste de la classe.
Merci Mr El Guelliti d’avoir voulu creuser un peu plus pour nous montrer que les bienfaits de la pédagogie de Dewey….!!! Je ne dis pas qu’il n’y a pas de bonnes choses dans sa méthode, mais moi quand je veux acheter une marchandise, je dois voir aussi toutes les prescriptions qui s’y rapportent….!!!! Quand on lit par exemple un livre intitulé: « John Dewey & The Decline Of American Education: How Patron Saint Of Schools Has Corrupted Teaching & Learning », de Henry T. Edmonson, (2006) ( J.Dewey et le déclin de l’éducation américaine : Comment le saint patron des écoles à corrompu l’enseignement et l’étude), ça nous pousse à vouloir creuser un peu plus dans les plaines abyssales de la philosophie de cet homme…!!!
L’auteur y dénonce le caractère hérétique des principes de Dewey qui subvertissent la tradition classique et chrétienne. (« Je suis convaincu que l’institut de formation des maîtres de Columbia [où Dewey et Kilpatrick furent tous deux professeurs] a causé plus de dommages aux USA que n’importe quelle autre institution éducative … Elle a été dirigée par des charlatans depuis le début et leurs charlataneries tournent maintenant partout à plein régime… Celui qui en est au premier chef responsable est probablement John Dewey, bien qu’il ne suive pas jusqu’au bout la procession de sa congrégation. Je crois que c’est le pire écrivain dont l’Amérique ait jamais entendu parler, et vraisemblablement le plus mauvais philosophe que l’histoire ait connu. Au demeurant, un homme des plus aimables et des plus honnêtes. C’est une association fréquente »).
Mr El Guelliti, revenons, à Ibn Khaldoun, un vrai trésor ignoré par les Minus arabus-musulmus et très prisé par les Minus occidentalus, en creusant un peu plus, on découvre que ce grand porteur de nouvelles visions qui trouvent leurs intérêts dans leur modernité (ce dernier mot si cher à certaines personnes), traite aussi de l’éducation, en voici quelques citations:
« Le comportement autoritaire dans l’éducation est à la source de paresse et handicap mental dans l’acquisition des valeurs et des savoir ».
« Celui éduqué par la violence perd le sens créatif, perd toute activité d’esprit et s’enfonce dans les mensonges et la délinquance ».
« Les objectifs de tout acte d’enseignement/apprentissage sont atteint par l’utilisation de supports didactiques et la concrétisation des notions scientifiques ».
« Le développement des compétences est atteint par la discussion, L’apprentissage collectif et la résolution des conflits cognitifs par le co-apprentissage ».
« L’utilisation de la méthode inductive comme approche pédagogique ».
Et ce n’est pas tout, alors qu’est ce qu’on veut de plus, le grand homme a tout mâcher, nos pédagogus n’ont qu’à avaler, bien sûr en décortiquant auparavant ce qu’il y a au menu et surtout en faisant attention à ne pas confondre entre le tube digestif et le tube respiratoire….!!!
Cordialement mon Cher monsieur El Guelliti…!!!
Je re…!!! Mr El Guelliti , Ibn Khaldoun n’a rien laissé au hasard, ce grand visionnaire, c’est comme s’il vivait parmi nous les Minus actualus sans foius ni loius, ni moralus………..!!!
Concernant le principe de la mondialisation culturelle et l’universalité de mon œil, il a dit: « “Le vaincu s’identifie à son vainqueur dans son comportement, ses traditions, ses valeurs et sa culture” (le vaincu est souvent une personne, un peuple, une nation ou encore une civilisation)…!!! Papapapapapap….!!! Il est trop fort…!!! A méditer…!
Par ailleurs, il affirmé pour qu’une civilisation persiste et s’immortalise, elle doit miser sur la reproduction des élites “صناعة القادة” (une réponse à votre question), enfin je suis sûre qu’il ne parle ni des élites des Aras bleus, ni des manchots qui se prennent pour des pingouins, ni des cachalots qui se prennent pour des baleines bleues….!!!!
Cher Mr El Guelliti, merci d’avoir parlé de quiétude de l’esprit, et là, permettez-moi de rapporter un passage de l’article du Professeur Mohammed Boudjellal, intitulé: L’Unicité de Dieu : tranquillité de l’esprit et quiétude de l’âme(canal Algérie, 2010):
« Il est de bon ton que bon nombre de choses ou de produits de valeur que nous achetons sont accompagnés d’un catalogue qui nous donne des informations sur le fabricant et nous indique le mode d’emploi qui nous garantit une utilisation sécurisée du produit. Il y’a des choses qu’il faut faire et d’autres qu’il faut éviter de faire. Plus le produit est bien fait, fiable, solide et performant, plus le fabricant est apprécié, mieux coté. Que dire alors de l’univers dans lequel coexistent les cieux et la terre, un nombre infini de galaxies, un monde qui fonctionne dans une parfaite harmonie où chaque astre, chaque étoile, chaque planète, chaque lune est placé là où il faut avec une précision incomparable qui ne peut en aucun cas être le fait d’un quelconque hasard ou d’une quelconque nature comme disent certains….. »…. »Comprenez-donc mes chers frères et sœurs, que notre existence sur terre n’est pas le fait de hasard, ni un événement sans but précis… »…………………………………………………………………..
En conclusion, je dirai que l’unicité de Dieu, la foi en Allah (SWT) procurent aux croyants une tranquillité d’esprit et une quiétude de l’âme qui n’ont pas d’équivalent dans la vie d’ici-bas, et un succès inégalé dans l’au-delà.
L’un des croyants qui a savouré la douceur de la piété décrivait en ces termes la sensation de bonheur qu’il trouvait dans la foi : « Nous vivons une félicité inégalée, et si les rois avaient goûté une infime partie de cela, ils nous auraient combattu par tous les moyens pour nous la prendre ».
Bonne soirée.
Bonjour le cygne. Pourquoi vous n’indiquez pas vos sources à la fin de vos commentaires?
Salam…! Mon ami La Cygogne, J’ai indiqué la source au début de l’article: « Professeur Abdesselam Cheddadi »…à vous de chercher le reste…!!!! Je ne savais pas que la cigogne avait un problème de ce genre, pourtant c’est grâce à la vue qu’elle détecte sa proie puis la capture à l’aide de son long bec…!
Au fait, vous êtes une cigogne blanche ou noire…???
Cordialement..!
vous avez bien fait djillali
de noter tout cela..je rapelle seulement une chose qui etait de tradition chez nos parents, jamais ils n’ont compté sur l’ecole poir former leurs enfants, chacun se debrouille tant qu’il peut pour placer son garçon et sa fille dans l’aprentissage d’un metier..et puis tout le monde sait qu’il faut surveiller un enfant…toit le monde constate les turbulance que nous subissons au niveau du gouvernement, c’est a cause d’une crise mondial qui ne dit pas son nom. beaucoup de pays du nord sont en crise, et le froid ne pardonne pas, les gens ne vont se laisser faire sans réagir, tout est bon et halale pour sauver sa peau.je ne veux pas vous dessiner le schema.
l’algerie se trouve dans une zone un peu chaude donc qui peut supporter un peu la crise..au cours des gueres mondiales, tout le blé a été transféré vers p’europe pour nourir les population, nous rien que les plantes nous avons passé le caps de 8 ans de miseres….
il faut apprendre a vivre dans l’economie de guerre..chacun doit tenir son enfant et les placer dans l’aprentissage des metiers menuiserie couture
feronnerie puericultrice etc…faut plus comptez sur l’enseignants ni du lycée ni de l’université pour former les enfants…ils n’ont meme pas un logement de fonction et ça veut tout dire