Il était grand temps que cet institut Pasteur d’Alger sort de son emprise « bouteflikienne » et autorise les énergies existantes et le savoir-faire des nombreux laboratoires exerçant à l’intérieur du pays pour le soulager en ces temps de crise. En effet, de nombreuses analyses sont en attente dans cet institut en raison de sa faible capacité de traitement alors que le coronavirus fait des ravages dans le monde entier. On dit que le plus qu’on découvre et isole les foyers contaminés au coronavirus, le plus que cela réduit sa propagation.
Effectivement c’est un laboratoire d’Oran qui va prendre la relève pour des analyses de tout l’ouest Algérien , il est signalé que la durée de l’analyse ne dépassera guère les 4 heures alors qu’auparavant 24 h ne suffisaient plus pour apprendre le résultat des analyses d’un malade. À ce titre, il est utile de rappeler que le test de salive qui s’est répandu dans toute l’Europe permet de circonscrire les contaminés du virus corona et de les confiner.
Aux USA, la bataille semble être partie pour mettre en service un autre test de dépistage du coronavirus, il s’agit selon toute vraisemblance de faire un prélèvement via le canal nasal où le coronavirus s’y introduit facilement, le résultat est instantané cependant selon les intervenants dans une chaîne TV Américaine, le test est jugé douloureux pour le moment.
Enfin, il y a lieu de signaler une autre course effrénée des grands laboratoires de fabrication de médicaments pour la production de la chloroquine, ce médicament largement utilisé en Afrique pour combattre le paludisme et le malaria, en fait apparemment des miracles chez les malades contaminés au coronavirus, cependant plusieurs experts avertissent qu’aucune étude fiable n’est encore faite sur un large échantillon de malades