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Crime de lèse chamelier. Sissi l’impératrice et tous les satrapes de droit divin devront s’y faire.*

Bycourrier

Avr 7, 2015

Air Algérie au Yémen : L’exfiltration qui a failli tourner au drame

K. A., http://www.impact24.info, D. 05.04.2015 23:49

La tension est à son paroxysme entre l’Arabie Saoudite et l’Algérie. Même si aucune déclaration officielle n’est venue le confirmer, de nombreux signes parfois flagrants trahissent le secret qui entoure ce conflit larvé.

Par Kamel Abdelhamid
D’abord, 250 Algériens bloqués à Djeddah depuis vendredi dont le rapatriement est en cours, l’interdiction aux équipages d’Air Algérie de descendre de leur appareil et de passer la nuit à Djeddah et enfin la fermeture de l’espace aérien saoudien aux appareils portant pavillon algérien, qu’ils soient civils ou militaires.

Désormais, les appareils d’Air Algérie devront contourner l’Arabie Saoudite pour joindre Dubaï et donc allonger les distances et augmenter consommation en carburant et traverser des zones dangereuses.

La raison de ce pic de colère de Riyad est l’audacieuse opération d’exfiltration, en pleine guerre aérienne, de plus de 200 ressortissants maghrébins, dont 160 Algériens, qui se sont conclue samedi sur le tarmac de l’aéroport Houari Boumediene à Alger.

Cellule de crise

Tout commence au début de l’offensive aérienne « Tempête décisive » qu’a lancée, le 25 mars, une coalition menée par l’Arabie Saoudite contre les rebelles Houthis au Yémen.

L’Algérie décide à ce moment précis de mettre en place une cellule de crise pour suivre les évènements. La présidence de la République, le ministère de la Défense nationale et celui des Affaires étrangères coordonnent leur action. Le 26 mars alors, que des navires chinois et saoudiens se dirigent sur Aden pour rapatrier leurs ressortissants ; l’Algérie commence à étudier un plan d’évacuation.

Aucun navire des forces navales n’est dans la zone. La Chine qui se charge de récupérer le 31 mars, un grand nombre de ses ressortissants mais aussi ceux d’autres pays asiatiques par voie maritime. Cette option ne représente pas une solution pour les autorités algériennes d’autant que le personnel diplomatique et la majorité des nationaux se concentrent dans la région de Sanaa.

L’Arabie Saoudite qui a réussi à cristalliser autour d’elle la quasi-majorité des pays arabes dans sa guerre au Yémen a du mal à accepter l’attitude défiante d’Alger. Car non seulement l’Algérie refuse de participer à cette offensive, mais elle argumente de fort belle manière sa décision et ose même proposer une alternative pacifique pour le règlement du conflit.

Pis encore, le dédain avec lequel la diplomatie algérienne a accueilli la proposition égyptienne de créer une force militaire arabe pour « lutter contre le terrorisme » a été ressenti par l’axe Riyad-Le Caire comme un véritable affront, d’autant que ses événements ont eu lieu sur le territoire égyptien et lors d’un sommet de la Ligue Arabe.

Planification

Alger ne le sait pas encore mais Riyad semble vouloir faire payer la capitale frondeuse. A Sanaa, les fonctionnaires de l’ambassade algérienne sont sur les charbons ardents. Ils subissent, comme l’ensemble des habitants de la capitale yéménite les bombardements de la coalition. Ils sont occupés à recenser les ressortissants et à établir le contact avec les différentes parties sur les lieux pour s’assurer de la réussite d’une exfiltration. Ces deux missions sont primordiales, car il en découle le dimensionnement des moyens que devront mettre les autorités algériennes pour réussir l’opération.

Ils sont un peu plus d’une centaine, dont beaucoup de femmes, s’y ajoutent les diplomates et leurs familles. En tout 160 Algériens figurent sur le listing des personnes à évacuer. La liste est ouverte aux ressortissants des pays voisins qui n’ont pas pu quitter le Yémen : quarante Tunisiens, quatorze Mauritaniens, huit Libyens, trois Marocains et un Palestinien. Ce sont au final, près de 230 personnes à évacuer.

A Alger l’on a pris la mesure de l’opération, on décide d’envoyer le plus gros appareil civil de sa flotte, un Airbus A330 d’Air Algérie. Même si la ligne aérienne Alger-Sanaa n’a jamais été desservie par la compagnie nationale, les pilotes sont confiants malgré les difficultés qui s’annoncent.

L’obstacle majeur devant cette entreprise est d’abord le survol et l’atterrissage en zone de guerre, avec d’un côté, plus d’une centaine de chasseurs occupant l’espace aérien et de l’autre une rébellion qui dispose de missiles anti-aériens, de différentes portées.

Autre difficulté, l’Altitude de l’aéroport de Sanaa, plus de 7 300 pieds, fait que l’avion aura du mal à décoller à pleine charge de carburant. Le rapport poids/portance lui est défavorable. Le ravitaillement à Sanaa est exclu pour des raisons de sécurité. L’équipage devra faire l’ensemble du trajet avec un seul plein, ce qui mettra l’appareil aux limites de son rayon d’action.

Menaces …

Jeudi l’avion décolle d’Alger, direction Sanaa, le ministère des Affaires Etrangères prévient l’Arabie Saoudite et l’Egypte de la mission. Le plan de vol de l’appareil civil est partagé avec l’ensemble des pays qui seront traversés ou qui risquent de l’être de manière classique. Le vol se passe normalement jusqu’à l’approche de l’espace aérien saoudien. Alors que l’équipage d’Air Algérie s’attendait à une escorte militaire à partir de l’Arabie Saoudite, ils sont surpris par l’attitude de chasseurs envoyés pour les dissuader de pénétrer dans l’espace aérien.

Le contrôle saoudien prévient l’équipage de l’interdiction et le somme de rebrousser chemin. Surpris et pensant à un problème de communication ou à un danger quelconque au-dessus du Yémen, les Algériens demandent un déroutement vers Dubaï. Là encore, ils sont étonnés par la fermeté du ton du contrôle aérien. L’espace saoudien est fermé à l’ensemble des appareils algériens.

… séquestration

L’équipage n’a pas le choix, rebrousser chemin vers le Caire et attendre que la machine diplomatique fasse son travail. En moins d’une heure et demie l’A330 atterri au Caire. Mais la situation s’aggrave. La petite délégation algérienne est malmenée, ses membres sont dirigés vers l’hôtel habituel où logent les équipages d’Air Algérie puis y sont assignés à résidence avec interdiction de quitter l’établissement. Cette séquestration durera 48 heures.

A Alger l’affaire surprend, les Saoudiens font la sourde oreille. La demande algérienne de rapatriement de sa communauté au Yémen est rejetée. L’affaire prend une tournure sérieuse. C’est la présidence de la République qui gère désormais ce dossier. Alger prévient Riyad que l’avion effectuera sa mission malgré tout, vu son caractère humanitaire.

L’avion décolle samedi, se pose à Sanaa, les officiels de l’ambassade ont réussi à regrouper et acheminer tout le monde en bon ordre à l’aéroport. Le vol retour se fait sans soucis, mais l’équipage ne souffle qu’après avoir atteint la méditerranée. Les officiels algériens et les dirigeants de la compagnie aérienne ont choisi de ne pas communiquer sur cette affaire. Les quelques personnes qui ont choisi de l’évoquer mettent en avant le courage de l’équipage et sa détermination à aller jusqu’au bout de sa mission.

Mais l’Arabie Saoudite a décidé maintenir la pression sur l’Algérie. Le pavillon national n’a toujours pas le droit de survoler l’espace aérien saoudien, seule la desserte de Djeddah est maintenue avec interdiction aux équipages de passer la nuit sur place. La moindre formalité conforme aux codes de l’organisation de l’aviation civile internationale prend des heures. C’est ce qui explique les difficultés rencontrées par la compagnie pour rapatrier les Algériens bloqués à Djeddah ces dernières 48 heures. Au Caire Air Algérie souffre également de lenteurs des procédures et de pressions.

Ce sera, en partie, le prix à payer par l’Algérie pour son refus de participer à la guerre au Yémen.

K.A http://www.impact24.info/?p=6886

* Titre attribué par Djeha

5 thoughts on “Crime de lèse chamelier. Sissi l’impératrice et tous les satrapes de droit divin devront s’y faire.*”
  1. l’Arabie saoudite sait que ni la Mecque ni la Elmadina lui appartiennent. Pour garder le caractère religieux et universel de la Mecque l’ordre a été donné au prophète de faire la politique loin a 600 km a Elmadina. El madina doit donc rester une zone neutre pour tous les musulmans de la planète. Nous avons un droit absolument d’atterire a Médine. L’arabie saoudite en englobant les deux zones de medine et de la Mecque passe outre le passé politico religieux du prophète. Si la mecque est une affaire familiale des koreiches entre les banou hachime et les autres, c’est leurs propres affaires familiale, en revanche Médine et l’affaire de tous les musulmans et c’est notre affaire. Si il ya une guerre a laquelle l’Algérie doit participe c’est bien la récupération de Médine et on le fera un jour ou l’autre…Normalement l’affaire du yémene est une affaire de Natanyahu, car la mére des juif est une yéménite…lol

    1. Ne vous en faite pas alger-newyork, Natanyahou, n’est pas très loin de tout ce qui se passe au Yémen….!!! Selon Global Research (29 Mars, 2015), le Netanyahu avait donné des ordres directs pour l’armée de l’air israélienne d’envoyer des avions de chasse pour prendre part au raid aérien mené par l’Arabie sur le Yémen.
      Le remodelage du GMO a été concocté par la pieuvre du mal depuis les années 50, puisque que dès 1957, le Premier ministre dit Israélien avançait l’idée de dépecer, le Liban sur des embasements confessionnels. Dans un article publié, en février 1982, par la revue de l’Organisation sioniste mondiale Kivunim (Directions), sous le titre « Une stratégie pour Israël dans la décennie 1980 », un journaliste dit Israélien qui avait travaillé pour son ministère des Affaires étrangères, révélait que leur stratégie devait consister à favoriser l’éclatement des pays arabes sur des bases confessionnelles ou ethniques.
      Dans sa livraison de juin 2006, la revue militaire états-unienne Armed Forces Journal, publie un article, signé par le lieutenant-colonel de réserve Ralph Peters (un ancien spécialiste du renseignement et membre du think-tank néoconservateur Project for the New American Century), dont le titre est évocateur : « How a better Middle East would look » (« Comment améliorer le Moyen-Orient »). Selon lui, , les nouvelles frontières « doivent se remodeler en fonction du critère ethnique et confessionnel » et il présente sa thèse contenant un nouveau redécoupage des frontières dont les grandes lignes sont les suivantes : constitution d’un « grand Liban ; création d’un Etat kurde ; éclatement de l’Irak, formation d’une grande Jordanie au détriment de l’Arabie saoudite, laquelle perdrait également la région des Villes Saintes de La Mecque et Médine (Etat autonome) …Outre, sa région kurde, l’Iran perdrait le Baloutchistan qui deviendrait indépendant mais récupérerait la région Afghane de Herat. Le Pakistan serait considérablement réduit avec la séparation du Baloutchistan et une extension de l’Afghanistan dans les régions pachtounes. Le monde arabe serait donc fractionné selon des découpages irrationnels qui mèneraient tout droit à des altercations et divisions sans terminus.
      Le lieutenant-colonel Ralph Peters a déclaré : « Le rôle imparti de facto aux forces des États-Unis consistera (dans le futur) à tenir le monde pour la sauvegarde de notre économie et ouvert à notre assaut culturel, « A Ces Fins, Nous Devons Commettre Un Bon Paquet De Massacre ». Ce Mr Peters est aussi l’auteur d’une autre formule laconique qui synthétise bien l’idéologie des néoconservateurs : « Gagner Signifie Tuer »
      Dans le même raisonnement, on peut enregistrer la dernière version parue dans le New York Times, le 29 septembre 2013, sous la plume de Robin Wright. Il rattrape les travaux de ses devanciers et balkanise à tout va la Libye et les pays de la péninsule Arabique en fonction des critères religieux (sunnites, chiites, druzes, alaouites…) et ethniques selon des critères politiques fédéralistes. Pareil à la multiplication des pains, Robin Wright explique comment on passerait de cinq à quatorze États en précisant que les frontières étatiques pourraient être facilement modifiées suite aux guerres et aux conflits ethniques. Son auteur évoque même l’idée de créer trois cités-États : Bagdad, Misrata et Djébel el-Druze….!!!

      Alors, devant tout ce qui se passe, si certains ne sont pas encore convaincus et continuent à se gausser de ce qu’ils appellent le idées complotistes, ils sont libres, mais qui vivra verra….!!!!

      1. Le cygne ici c’est des calcul de labo, ca ressemble a du harcelement sans plus. Le yemen etait et restera un terroire familliale pour les juifs. N’ayant pas été d’acord avec son pere Abrahame que le salut soit sur lui quita le yemen vers le nord. Un jour ou l’autre des revendications territoriale vont se faire par les israeliens pour recuperer les terres de la femme d’abrahame qui etait d’une ligné royale.
        Rapelons que le yemen fut islamisé par Le prophéte Salomon en épousant sa cousine la reine de saba…Donc les calcul des labo face a ces donné historique ne vont rien pesé et seront ridicules. Les palestiniens ne sont pas en face des israelien mais en face de la bible.
        Durant 1000 ans sous domination araboislamique les palestiniens n’ont pas exploité toute cette periode en leur faveur car le coran venait d’appuyer quelques dires de la bible. mais le coran a laissé echapé une sourate de Jonas c’est la ou doit resider tout le travail des historiens musulmans palestiniens, pour garantir leur territoires. Les israeliens ne peuvent absolument rien faire face a Jonas, car c’est le seul prophéte de banou israeil qui n’etait pas déstiné pour le peuple d’israel…
        Les palestiniens ont un autre front de batail historique litteraire et archeologiques. Le combat militaire seul ne servira a rien.
        Les palestiniens sont en face d’une manupulation de l’histoire pas seulement de la part des israeliens mais en face des autres nations de reflexe royale, car les royaumes se basent sur le foncier…chaque royaume tente de faire venir la bible et le coran chez elle..les palestiniens doivent se calmer un peu en s’occupant de Younoussa coranique pas biblique version  »monarchique » ..lol

        1. Salam alger-newyork, j’arrive à peine à saisir le sens de vos pensées, car j’avoue que votre style d’écriture est un peu unique…, Mais bon…!!
          Vous connaissez les « Cananéens »…???? Eh bien, la Palestine est une terre arabe, selon plusieurs sources.
          Dans un article de Zeynel Cekici, intitulé: « L’histoire réelle de la Palestine antique et le mythe de la terre promise:‘’Israël’’, une position avancée du néo-colonialisme occidental » on peut lire ce qui suit: « les premières découvertes archéologiques mises au jour en Palestine remontent aux cananéens et aux amorites, Ces peuples étaient des tribus qui émigrèrent de l’Arabie vers le nord et s’installèrent en terre de Syrie (Ash-sham), et concrètement en Palestine. Ceci a été clairement démontré dans l’histoire de la Palestine et confirmée aussi bien par les historiens orientaux occidentaux. Par conséquent, les premiers faits historiques enregistrés sur les premiers habitants de la Palestine remontent aux Arabes cananéens et aux Amorites. Quant aux juifs, ils ne sont pas mentionnés dans cette histoire. Qui plus est, ils ne firent leur première apparition que plusieurs siècles plus tard, comme le démontrent de nombreuses évidences historiques corrélatives………..(….)……Lorsque les compagnons de moïse arrivèrent aux portes de la Palestine, celui-ci les informa que Dieu leur ordonnait d’entrer dans Jérusalem. Leur réponse fut que là-bas, vivait un peuple très puissant et qu’ils n’entreraient que lorsque celui-ci fût dehors. Moïse et Aaron leur conseillèrent d’y entrer tout de même car Dieu leur garantissait la victoire. Ils persistèrent dans le refus et dirent à moïse d’y entrer avec son Dieu et de lutter pour eux, car ils n’avaient pas l’intention de suivre les ordres de Dieu. (Sourate Al Maida)….(…)…

          Les tribus arabes qui émigrèrent depuis la péninsule arabique s’installèrent en Palestine 1000 ans avant l’arrivée des israélites, période pendant laquelle régnait David et son fils Salomon.  »

          L’abbé Pierre a dit: « …..Dans Le Livre de Josué on peut voir dans le massacre du peuple de Canaan par les Hébreux, le même geste génocide que celui de la fondation d’Israël envers les Palestiniens. Les Juifs ont rompu l’Alliance conclue avec Dieu. Je constate qu’après la constitution de leur Etat, les Juifs, de victimes, sont devenus bourreaux. »

          Dans un autre article de Shlomo sand, intitulé : « Comment fut inventé le peuple juif », on peut lire: « Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non…….les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. »

          On sait que le Juif ashkénaze, n’est pas Sémite mais Khazar…!!!!
          D’après certaines sources, en 1960, il y avait 500.000 juifs d’origine hébraïque dans le monde et 11 millions de juifs Khazars…!!!

          Alors si les Ashkénazes sont d’origine Khazars et non des Sémites, alors ladite Israël n’a plus la légitimité d’exister…, comme on peut lire sur un article intitulé:  » le juif Ashkénaze n’est pas Sémite, il est d’origine Khazar », l’auteur ajoute:  » Et ça bien entendu, les moutons ne doivent pas savoir… »

          Bonne soirée.

  2. Sit down Butterfly the sky is very high….!!! Bravo les gars, c’est du très bon travail…!!! Je salue la fermeté des autorités algériennes qui a bien fait de percer le blocus imposé par les orbitons de l’Oncle Sam et chapeau bas à nos pilotes qui ont toujours été à la hauteur,

    C’est clair et net, les Al Saoud n’ont pas gobé le refus de l’Algérie de participer à l’opération « tempête décisive »…!!! D’ailleurs, c’est une décision très sage des algériens qui ont compris qu’ils ne devaient pas être entraînés dans une guerre par procuration….!!! Et puis, il vaut mieux rester à l’abri des tempêtes, car on ne sait jamais ce qu’elles peuvent engendrer…!!!!!

    Par ailleurs, l’Algérie a toujours respecté ses principes de non ingérence, a tiré les leçons qui s’imposent et sait pertinemment que ce genre de conflit doit être résolu autour d’une table de négociation, comme elle le fait pour les cas malien, libyen, tunisien etc…..!!!

    Maintenant, il faut qu’elle fasse très attention, car les agents de la Roubla vont être très actifs……!!!!

    Oh…!!! « Sissi l’impératrice » a déjà oublié ses voyages en Algérie….!!! Il ne faut jamais faire confiance à ses marionnettes nourris au fromage puant et qui dansent sur tous les ponts….!!!!

    Je me sauve,……… à plus, Inchallah…!

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