« Le ciel ne donne pas l’herbe, mais si la terre l’accuse d’être stérile, elle n’aura jamais de lait ».
« Les caprices sont les privilèges de la beauté ».
« Quand les feuilles tombent ce n’est pas l’affaire des racines ».
(De Wole Soyinka, Nigéria. Né en 1934).
C’est parce que c’est notre ville, qu’on rue sur les brancards, c’est parce que c’est notre ville qu’on râle à satiété, c’est parce que c’est notre ville ancrée dans nos viscères qu’on en fait une vision cauchemardesque, c’est parce que c’est notre ville qui nous a tant donné que nous écrivons sur tout le lot d’incertitudes qui pointent. Cœur et raison guident notre démarche en dépit que le premier a ses raisons que la seconde ne connaît pas comme le dit l’adage.
Oui ! Nous avons maintes fois déclaré, peut-être pour la prospérité, que la démarche présidant à la réalisation d’espaces verts aussi attractive qu’elle n’y paraisse, n’est pas la bonne, non seulement sur le plan administratif mais surtout par son inexplicable aspect volontariste qui émane d’une vue étriquée, indigente, jalousement et hermétiquement gardée. Afin d’éviter tout raccourci conduisant à l’émission d’une conclusion malencontreusement hâtive qui aplanirait le lit à un jugement inapproprié, Nous dirons le plus sereinement, que loin de nous l’idée de clamer que le projet n’est pas réalisable sauf que l’on se questionne : qui pourrait garantir sa durabilité ? Nous en doutons si l’on doit se référer aux expériences qui ont abouti aux malheureux résultats que l’on sait, avec les coûts exorbitants que cela a dû engendrer et qui commanderaient de faire une halte pour en faire le bilan avec un historique qui dégagerait un horizon éclairant avec un diagnostic tempérant certainement un enthousiasme tant aléatoire que débridé et surtout non partagé eu égard aux perspectives cauchemardesques qu’on entrevoit.
Oui ! Si l’on rechigne à la réalisation du projet tel quel et dans sa prise en charge actuelle, c’est parce que nous n’avons vu nulle part, dans notre pays, des espaces verts résister plus d’une saison hormis quelques réalisations récentes telles que le Méridien et les Sheraton d’Oran et d’Alger. Ailleurs, à mon grand désespoir, ce n’est que broussailles et désolation qui manifestent leur état naturel faute d’entretien expert et durable que nécessite une vie où la botanique exhibe tout l’étalage de sa beauté et de son éclatante magnificence ? C’est à l’homme qu’est confiée la tâche de dompter cette nature qui, sans sa dextérité et son savoir – faire aiguisé, reprendra son cours naturel fait de ronces et d’herbes folles. Où sont les hommes capables de maîtriser la gestion rigoureuse d’un parc ou des espaces verts qu’on a, par le passé, voué aux gémonies.
Il suffit du reste d’en faire un état des lieux pour s’en convaincre. Ce n’est pas médire que de le rappeler. Personne n’aimerait faire le corbeau d’une autre fable pour signaler la charogne ou pour continuer à broyer du noir. N’est-ce pas humain d’être de la fête et applaudir sans rompre à l’instar de ceux qui tambourinaient la veille du massacre du Lac de Sidi M’Hamed Benali. Ils sont là et toujours du côté du wagon, du bon wagon soit précisé, celui qui paraît être le plus indiqué pour juger et parader.
Si nous avons évoqué la qualification, l’expérience et les références de ceux à qui l’on confie les destinées du projet, c’est parce que nous considérons que c’est plus que déterminant pour la suite. Or les rumeurs fondées s’avèrent une incontournable vérité dès lors que l’expert du bureau d’études retenu s’avère plutôt versé dans la biologie à l’Université de Sidi-Bel-Abbès, bien loin de disposer de l’expertise requise pour s’aventurer à conseiller dans une discipline qui lui est étrangère. Ne conçoit pas des espaces paysagers qui veut : c’est un métier qui implique la sensibilité artistique, compréhension, l’analyse, la conception, l’aménagement des « espaces paysagers » et ce à plusieurs niveaux jusques y compris…la philosophie et la mystique qui, quoi que l’on dise, apportent une bonne dose dans la symbiose et d’harmonie entre la nature et l’homme. Tout cela pour dire que nous avons affaire à une profession spécifique appelée « Architecture du Paysage » qui exige des connaissances multidisciplinaires tout aussi bien en botanique, horticulture, climatologie, géologie et aussi en histoire, urbanisme, architecture, génie civil etc. On ne peut faire fonction, on sait ou on ne sait pas, on ne pourra jamais convertir un biologiste en paysagiste sinon on le saurait ? Les dynamiques naturelles ne peuvent, elles, s’en accommoder. Ce domaine d’intervention est d’une telle exigence qu’il est douteux qu’un biologiste, tout compétent qu’il puisse être dans son domaine, tente de l’aborder. La science ne saurait voisiner et n’accepterait pas de faire bon ménage avec l’improvisation et l’aventure qui peuvent faire surgir des supputations malheureuses. En revanche, la science fait exclusivement appel à la rigueur et au sérieux pour maximiser ses chances de réussite.
Or, en ce qui nous concerne, nous avons l’exigence d’une autre ambition qui est celle de pérenniser une noble filière en l’enracinant définitivement dans les habitudes du pays et, à fortiori, dans notre cité en engageant une collaboration profonde et durable avec une entreprise de niveau international, capable de nous transmettre un savoir – faire reconnu dont on peut faire bénéficier l’Université, une entreprise à créer et un centre de formation modèle dispensant les métiers de cette filière absente de nos mœurs actuelles et de notre lexique.
C’est certainement prétentieux, ambitieux mais pas irréalisable. C’est à ce prix et cet effort qu’on distingue l’entrepreneur du pionnier à qui le mérite n’est reconnu qu’à titre posthume.
Et si les projets devaient arriver à bon terme tels que relatés dans « El – Watan » du 23 juillet 2014, objet de l’article signé M. Nadjah et Habchi, dans une dynamique de continuité dans l’entêtement, nous ne pouvons que le déplorer et demandons à être contredit. La postérité en sera seule juge. Nous aurions quand même fait notre devoir. Nous insistons avec force pour dire que, sans vision d’ensemble, toute action actuellement menée ou à venir ne sera que sporadique et la postérité n’en tirerait rien si notre horizon se limitait à la perspective d’un fond de couloir.
Je fais de la beauté un synonyme de rêve et le rêve n’a pour seule source que la vie. Ceci m’engage à être solidaire du l’auteur de l’article qui a eu le courage de remettre en cause la réalisation de la Macta et qui a dû essuyer une volée de bois vert pour avoir clamé sa désapprobation. La constatation des faits amers et têtus est éclatante au sens où le gazon étale il n’y a pas si longtemps se transforme d’ores et déjà en chaume que les dernières moissons n’envient pas en respectant le même cycle naturel et ce n’est point médisance que de le signaler.
Nulle priorité n’impose une reconsidération de la Macta telle que réalisée par la mandature précédente. Un simple entretien suivi aurait suffisamment pallié les petites agressions subies çà et là. En revanche il y a bien d’autres urgences à inscrire telles que les méandres de la Mékerra avec ses eaux pestilentielles et nauséabondes qu’il faut recueillir et assainir en pensant à résoudre le problème des rejets qui reste entier et suffoquant et ce, particulièrement lorsqu’on sait qu’à l’avenir, une ÉCONOMIE de l’eau devient nécessaire tout d’abord par le traitement de celle dont nous sommes sûrs de disposer. Cette eau traitée peut renflouer le Lac agonisant et lui rendre vie et ce qui précède n’émane pas d’une utopie.
La Macta II n’étant pas d’une nécessité vitale, le budget qui lui est affecté pourrait être consacré à une étude d’ensemble relatif à l’aspect environnemental de la cité intégrant tout autant la Macta, le Parc, les espaces verts et même les trottoirs, la levée des déchets et leur traitement – la ville étant devenue sur cet aspect précis – un dépotoir à ciel ouvert en dépit des 250 éboueurs de la commune. En sachant pertinemment que la rumeur ne vaut pas sondage, nous signalons que même les riverains de la Macta sont mécontents du devenir de leur perspective qui faisait leur fierté et la coquetterie de la ville et qui rappelait le point d’horizon dans Paris remodelé.
Et pour ne pas avoir une mémoire hémiplégique, rappelons la gestion approximative du stade du 24 février qui doit nous inciter à plus de réflexion et de prudence lorsque l’on sait qu’on a fait subir à son terrain toutes les expériences entamées d’abord par le gazon naturel (deux fois) pour passer ensuite au tartan en programmant un autre et enfin en prévoyant un retour inéluctable à l’expérience du gazon naturel.
Est-il si difficile d’en voir chez nous?
Qui admettrait un tel gaspillage ? Même un pays très riche crierait au scandale. En le signalant, Monsieur Beldjilali, mériterait les honneurs du pays voire même de la nation.
De grâce, éclairez-moi : est-ce que l’Algérie est un pays riche et sans institutions pour admettre des dépenses sans rapport avec l’utilité ? Une société civile telle qu’appréhendée universellement est aussi comptable de tels écarts et n’est-ce pas là un bien commun qui requiert l’avis de ses citoyens modèles et avertis des choses de la cité pour la sublimer sans en attendre quelque intérêt ? A moins que je sois naïf.
Si nous nous taisons, la nature reprendra fatalement ses droits et tout se volatilisera dans l’indifférence charriée par la bêtise l’ayant fait éclore. Le propre de la nature c’est qu’elle ne saurait mentir. Accepter de subir sans réagir, n’est-ce pas trahir son idéal républicain fait de rêve et d’espérances?
Savoir dire non conforte la promesse jurée à nos Martyrs de répondre à leurs attentes non assouvies. Notre fidélité et notre inventivité en seront le témoignage et, la reconnaissance de leur sacrifice éternel, le rappeler en cette circonstance est notre fierté plus un impérieux devoir.
le probléme de la macta est beaucoup plus un problème morale que technqiue ou technologique. ce projet ressemble a un père de famille qui se tape une mercede dernier cris alors que ces petits enfants sortent comme dit 3raya. Personne ne l’acceptera a moins qu’il a acheter un camion, un moyen de production là oui on le comprendra. Donc les gens de la wilaya sont dans la misère la plus totale il fallait investir l’argent dans un autre secteur productif.
Pour le cas des bassins d’eau de loisir, dans les années jusqu’à 70, il y avait un bassin d’eau avec des poissons juste devant le lycée Azza. ce bassin n’existe plus. Comment faisait le paysagiste pour l’entretenir et maintenir l’eau sans résidu ni développement de mousse avec des poissons en vie toute l’année là c’est un savoir qui n’était pas transmis. Qui forme ces gens là?l’université algérienne??
on ne sait rien
IDKOUM MABROUK
J’ai suivis quelque débat sur la question, et puisque les biologistes sont cité j’aimerais bien donné mon avis sur la question, pas sur la macta mais puisque c’était question de imprimante 3D et robotique j’aimerais parler sur une spécialité nouvelle, la Bioengineering. Cette spécialité a vu le jour lorsque les accidents de la route sont devenus endémique et beaucoup perdait des membres. Le but c’était de créer des membres artificiels afin de remplacé les amputés. La Bioengineering était née. En dehors de cette application les biologistes ne voient pas encore d’autre issus. Dans les années 85 j’étais dans des laboratoires a Oran qui travaillaient sur l’ultra structure cellulaire. A l’époque le but n’était pas été trop claire, il parait qu’il travaillait sur la fibre, cellulosique, c’était plus dans le domaine technologique du papier de l’alfa que du fondamental. Il ya avait une sorte de couverture que je n’arrivais pas ôter. Au cours d’une simple observation j’ai remarqué une nouvelle structure, cellulaire, qui m’avait révéler par la suite un petit filon très intéressant celui de vouloir orienter les feuilles vers des feuilles de réserve. Au lieu d’attendre la formation de la fleur, la pollinisation, ensuite la formation de la graine et enfin la fructification, il était presque possible de découvrir l’étape d’un breakpoint pour que les feuilles soient ils prennent la destination d’une graine soit ils prennent la destination d’une feuille. En comparaison avec les graines des céréales, ces graines ont un autre comportement. Au cours de la formation de la graine, le tissu de réserve est bloqué et la fleur opère un stockage dans un autre organe. Donc il existe bel est bien un automatisme de blocage déblocage, qui aboutie a une orientation..Tout le monde croyait que je travaillais en biochimie, mais j’étais versé sur ce filon, c’est-à-dire comment orienter a un moment donné la plante a changer de cape pour produire des feuille de réserves. Si on arrive a ce résultats nous n’aurons plus besoins d’attendre la moisson. La chose n’est pas facile, car le processus de formation est lent, c’est ce qui complique la tache au scientifiques. Personne ne pourra suivre une mise en place d’une architecture, si la formation d’un bébé dure neuf mois. Après observation de la mise en place des vaisseaux au cours de la formation, j’ai remarqué le principe le principe d’orientation. L’architecture cellulaire repose sur la structure du ressort.
Mais un ressort spécial que les ingénieurs en mécanique n’ont jamais peut ter vu. Un ressort automatique munis par des électro aimant sur le long de la spire. A l’aide de ces minuscule point électro-aimantés, on pourra contrôler a l’aide signaux, l’élasticité a un degré bien définis afin d’obtenir un blocage d’une élasticité dans le linéaire ou dans un angle bien définit.
Donc nous sommes en plein Bioengineering autre que l’orthopédie. Il suffit maintenant d’extrapoler ces phénomènes pour concevoir une imprimante qui fait le montage non d’une maison mais des Tours cylindrique. L’imprimante de fait pas des va et vient sur un plan. Mais elle opère un mouvement circulaire ascendant. L’axe tourne et monte. En montant, La tête de l’imprimante, déposera pièces par pièces les éléments de base qui constituent la future tour.
Cette technologie baséE, sur l’ultra structure cellulaire végétale va permettre sans doute de faire une percer dans la construction dans l’espace. A l’avenir tu dépose l’imprimante dans l’espace et tu le quitte. L’imprimante travaille seule tant qu’elle aura les matières premières.
Tout cela pour confirmer et réconforter les constats de certains auteurs
Que je cite ‘’ Tout cela pour dire que nous avons affaire à une profession spécifique appelée « Architecture du Paysage » qui exige des connaissances multidisciplinaires tout aussi bien en botanique, horticulture, climatologie, géologie et aussi en histoire, urbanisme, architecture, génie civil etc. On ne peut faire fonction, on sait ou on ne sait pas, on ne pourra jamais convertir un biologiste en paysagiste sinon on le saurait’’ A.S. Abdedaim
on a telement parlé qu’on se créve de mauvais sang. désolé abdaime on ne comprendra pas ce que tu voudras dire. Le niveau que tu proposes est largement superieur a leurs épaule. Cette discussion d’habitude se fera dans ces cercles fermés composé par des élites. Malhereusement les élites du monde entier sont muselé, c’est le Dealer qui décide autour d’une table ovale. Pas la peine de vous décrire la composante humaine de la table, vous pouvez le devinez.
Retour ver ce biologiste qui a fait sois disant ce projet. Disant qu’on connais nos confreres de la faculté de biologie, tous agés plus de la 50 aines, ils ne leurs restent comme tout le monde que 2×10 ans. Ils doivent faire vite pour construire une villa, planter un oliviers, un figiuers selon la culture de chacun. y’a qui ne veulent ni du figiuer ni de l’oliviers mais d’un garage haut de 4 m pourque le garage puisse etre louer a un semi remorqueur. Tout le monde le fait pourquoi lui et eux…
Question de savoir maintenant le probléme ne se pose plus pour les tiers mondiste. Un proffesseur de bel abbes en mecanique ou un architecte on n’a pas besoin de lui.
Si la wialay avait donné ce projet au lyciens et collegioens je vous le jure a l’aide des logiciel gratuit ils feront une merveille architecturale. et je sais ce que je dis car l’elites est en dehors des universités et la majorité n’auront pas leurs bacs. Car celui qui pose la question, la réponse lui ressemble. Tu peux dénicher une lumière rienque qu’en examinant la qualité des questions qu’il pose a ces étudiants.
Bientot aussi les imprimante géantes de 100 metre de haut vont construire des buldings et des éspaces verts sans qu’un peut intervenir…
Un petit enfant du colleges peut ainsi confectionner un batiment et le lancer de chez lui et laisser l’imprimante dans un va et vien poser briques par briques….on n’a besoin ni de biologiste ni d’ingeneiur ni de peintre ni tralali ni de tralal..Mais ce jour les vaches on ne pourra pas leurs trouver une machine de bergers.. y’a que la fonction de bergers qui est disponible..ou tu bergera ou tu creveras de faim….vaus mieux donc pour les biologiste d’isoler les sillot qui ont été démolis par les colons en sortant et de faire de ce monument »un musée de la science et de la technologie » mieux que de faire une chose qui n’est pas de leurs domaine.. en tout cas a bel abbes, n’importe qui fait n’importe quoi..il ya des enseignants dans les facultés qui font 6 modules differents. puisqu’il s’agit du copié collé, »admare barque » a l’Est on dit va a bel abbes et »dazz barque » .. allons y »dazzous ensemble a bel abbes »..
idkoum mabrouk