Dans la cité : la bonne parole et l’ action utile coutent peu et achètent tout
« Les philosophes des terrasses de café disent souvent que les citoyens font la république »
Vivre en société, et plus particulièrement à Benisaf, à travers le fond de ses principaux quartiers qui l’a compose. Cette vie bien ou mal se manifeste ,s’affiche, et s’affirme suite à une attitude particulière de l’un comme de l’ autre , ou la règle du jeu sociétal pour ne pas dire la norme citadine , se dissipe comme une peau de chagrin, dont la raison d’être ne fait plus partie de la vie au quotidien. La règle de l’ordre public est belle et bien piétinée par les pseudos coquins qui croient que la force irrationnelle représente la règle du titan seulement ;et de faire en sorte le contraire de la règle.
La politesse , le respect ,la capacité de venir en aide, et de céder la place au plus petit, au plus faible ,et au plus pauvre sinon au plus gentil que soi dans le but d’éliminer les désagréments des règles de la vie sociétale, et par ricochet les principes considérés comme les véritables critères, sinon les éléments capitaux ,et cardinaux de la « citoyenneté » qui devrait se distinguer ou s’imager dans le quotidien de notre belle ville trop déshumanisée par l’errance d’une culture sans âme .
Liberté sans civisme n’est pas la vraie émancipation, donc c’est une Liberté sans l’adaptation de vivre en paix,
En effet ,il agit de ce fait de bien vivre , de s’enrichir par la création de valeurs toujours en plus , par d’expériences nouvelles, de culture saine, et de technologie ouverte pour le bien ,au profit général, et par delà savoir aider les autres , l’entourage, et l’ environnent pour un service utile qu’ il soit nécessaire, et agréable à la société.
Ceci est une opportunité permettant de développer et de la mettre sur un diapason de nouvelles compétences prometteuses pour le savoir vivre en paix et en toute liberté émancipatrice.
Le principe noble du « Devoir » de respecter autrui, vu dans un sens à dimensions variables du devoir du commun des mortels c’est-à-dire de respecter les êtres, les lois, les règles mises en vigueur ainsi que le bien commun qu’il soit corporel ou incorporel tout cela font l’équilibre des normes de la balance des mesures sociétales.
“On a de tout avec l’argent, hormis des cœurs et des bons citoyens »citation
C’est pour et dans le juste que le droit se nourri pour mieux apprécier le civisme qui n’est en fait de compte que le respect, le dévouement, la tolérance, la considération, la réserve, la retenue, du citoyen fière de son être au centre du milieu de la société dans lequel il s’active.
En plus du respect de ses propres convictions éducatives et règles. Cette panoplie de règles de conduite dite « norme » sociale entraine en conséquence la régulation de la vie dite « normale » de la société qui sert en fin de compte à facilité la vie en communauté pour bien se perfectionner
Ce sont en fin de compte des valeurs intrinsèques qui s’ identifient dans la :
* la civilité
*le civisme
*la solidarité
Un citoyen français a deux sortes d’ennemis également redoutables : ceux qui violent les lois et ceux qui les observent avec rigueur.
Le comportement civique est une donnée essentielle dans une société donnée menant une vie commune sous la forme vulgaire ,elle est dite le »train train » qui nécessite bien sur dans la règle de l’ art un comportement civique nourri par un
· Patriotisme
· altruisme
· respect des normes sociétales……..
« C’est de l’ignorance de nos droits que l’arbitraire tire sa plus grande force »citation.
Une éducation fondée sur la volonté amène nécessairement le citoyen a un nouvel enseignement d’ordre morale et républicain destiné en première instance pour la municipalité( mairie, commune) et qui soit la plus avantageuse pouvant mener le P.A.P.C et l’A.P.C a confectionné ce nouveau passeport contenant une matière conceptuelle créative en cette noble valeur dite :
*du civisme :qui signifie le respect du citoyen pour la collectivité. La société devrait ressembler dans ce cas la à un navire ou tous les passagers doivent contribuer à la direction du gouvernail, et non comme il vient de se passer actuellement à Benisaf et plus particulièrement à la plage du puits ou le refus d’une disposition bénéfique pour la réglementation routière ; a pousser certains « zigotos » de procéder à falsifier des panneaux de circulation en les effaçant avec de la peinture pour créer le désordre publique.
Cette manière incivique d’être au milieu de la société d’ une cité et en plus elle permet de combiner la négation de la politesse, de la courtoisie et le non respect à l égare de l’ autre.
« Riche ou pauvre, puissant ou faible, tout citoyen oisif est un fripon »citation
Par conséquent les principes qui puissent guider la société civique ne peuvent être que l intérêt général, une forme d’accessibilité par une intégration totale de la composante de la cité, la complémentarité ainsi que l esprit d’initiative qui formule la citoyenneté dans son véritable socle social tel est le respect de ce statut de la cité citée par « Platon »
En plus des principes, il ne reste que de résumer les valeurs du véritable citoyen ;qui sont :
la civilité, la solidarité ,l’intégrité, la tolérance, la sauvegarde de l intérêt général, le savoir faire, le savoir vivre en commun ou en collectif , le savoir de préservation de l’ordre public garni de respect du bien public avec les bonnes mœurs. Pour terminer « Être libre, c’est se gouverner soi-même comme disait par cette citation : « tout le monde veut gouverner, personne ne veut être citoyen » ;ou est donc passée la cite de Platon, enfin je préfère mourir debout que de vivre à genoux.
BENALLAL MOHAMED : P.APC de BENISAF W.46