De temps à autre les cadavres sortent des placards.

Une bonne conscience à bon compte. Et hop! On se replace dans le paysage. Pour que Macron n’oublie pas qu’il ne joue pas tout seul.

Les hautes consciences se traînent hors de leurs résidences de vacances cossues et daignent compatir aux malheurs de l’humanité à laquelle ils ont bien du mal à reconnaître qu’ils en font partie. Puisque même leur martyre est indicible, ineffable et incommensurable.

Oser une comparaison est en soi un délit.

S’ils avaient voulu se dresser pour défendre les valeurs du droit et de la morale, ils auraient pu le faire lorsque qu’au Proche-Orient, un “Etat”, le plus “parfait” de la région, s’est constitutionnellement doté de lois racistes qui rappellent les heures glorieuses de l’Afrique du sud (avec lequel d’ailleurs les sionistes avaient des relations intimes et des collaborations étroites).

Où sont donc passées les sublimes figures de la République et des valeurs humaines lorsque Israël a décrété que tout ce qui n’est pas juif est juridiquement subordonné.

Où sont donc passés les Kouchner, Badinter, les Finkielkraut, les Wiesel, les Klarsfeld, les Valls, les BHL, les Ockrent, les Zemmour…?

Djeha,
Mercredi 15 août 2018

Migrants: Kouchner pour un “mécanisme” européen de “répartition”
AFP 15/08/2018

L’ancien ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner le 30 juin 2018 à Villepinte ( AFP/Archives / Zakaria ABDELKAFI )
L’ancien ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner estime mercredi que l’Union européenne doit mettre en place “un mécanisme spécifique de répartition” des migrants, et plaide pour que la France soit “plus généreuse” dans leur accueil.

Alors que l’Aquarius a été autorisé mardi à accoster à Malte, M. Kouchner souligne que “finalement, c’est en forçant les choses – bravo l’Aquarius – qu’on finit par se répartir les migrants”. “A partir de là, il faut vraiment que l’on parvienne à une entente européenne, avec un comité de répartition qui puisse opérer au plus près des départs”, estime-t-il dans un entretien au Parisien.

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