L’heure de dire bye bye à BAI est arrivée. Elle ne s’encombrera pas de gravité désuète car tirer sa révérence ce n’est pas s’effacer devant la vie, mais lui faire confiance.
La confiance est placée en ces énergies et projet pour inclure le lointain et le proche, et tenter de décoder la complexité du monde avec le souci permanent de défendre l’âme du pays.
Je remercie BAI de m’avoir accueilli, averti qu’il était de ma volonté d’être et de demeurer un électron libre qui ne courtise ni la bienveillance ni la protection d’un chef ou d’une coterie.
C’est cette liberté qui a permis de faire vivre trois années durant ce dialogue, ce souffle qui n’a jamais eu la folie de se prendre pour harmonie céleste.
Longue vie à BAI!
À Mémoria et Karim 10 qui auront contribué à enrichir le débat et qui ont manifesté leur attachement désintéressé à l’agora citoyenne, à mille lieux des récupérations des printemps “colorés”, des arrières pensées prosélytes, je dis un grand merci.
AL-HANIF