La confirmation du SG du FLN Djamel Ould Abbas de la liste de huit ministres candidats aux législatives a, curieusement, révélé une information quin’a pas été traitée par certains médias : C’est l’absence de Houda Faraoun ministre des PTIC dans le quota des places réservées aux membres du gouvernement candidats aux Législatives. Et pourtant, elle était annoncée depuis longtemps comme candidate dans son fief à Sidi Belabess ; mais finalement elle n’a pas été retenue. Renseignement pris, la mise à l’écart de la ministre des PTIC est le résultat d’une fronde dans son propre Fief, déclarantleur ferme opposition à la candidature de Houda Faraoun.
D’autres sources affirment que c’est l’actuel directeur de Communication du FLN et ancien ministre des PTIC Moussa Benhamadi, qui lui aurait barré la route, pour lui faire payer l’utilisation de son texte de loi sur les télécoms qu’elle a soumis au Conseil des Ministres. Et pourtant Houda Faraoun était quasi sûre d’être en bonne place dans ces législatives, elle qui avait investi avec brio le comité central et qui était devenue une personnalité importante dans l’échiquier du FLN suite à son intronisation dans le paysage politique national. Militante du FLN depuis 2010, elle s’est illustrée en prononçant lors de meetings importants du parti majoritaire, des discours avec une éloquence inégalable. Elle était toujours placée au premier rang lors de la tenue des assemblées du Comité Central. On l’a voit notamment dans la photo en Une avec Khebri, l’ancien ministre de l’énergie et aux cotés de Boudjemaa Telai, le ministre des transports, qui lui, a été retenu dans la liste des ministres candidats aux législatives.
Une source proche du ministère affirme qu’elle voulait s’approcher encore plus du parti FLN au point qu’à chaque déplacement dans les wilayas, Houda Faraoun n’oubliait pas de faire un tour dans les Kasmates du parti, pour discuter avec les militants. Il faut dire que le département des PTIC a toujours été dirigé par des hauts cadres du FLN: Amar Tou, Boujamaa Haichour, Zine Eddine Youbi, ou encore Moussa Benhamadi.
Mais depuis quelques temps, sa gestion du secteur des télécoms est décriée, au point de gêner le premier ministre, qui a reçu plusieurs plaintes de responsables la critiquant. Est ce pour cette raison qu’elle a été écartée du cercle fermé du FLN ? Les prochains jours nous le dirons.
Salim AGGAR-DIA
on reve d un pays ou les gens du pouvoir et le peuple seraient d accord dans les fondements de l evolution de la nation.
MIEUX vaut « UN MAILLON FORT
dans un système pourri comme vous dites qui te propulse en avant ou les TIC et l’information sont une ARME redoutable ,
qu’un maillon misérable qui te fait revenir des siècles en arrière !!!!!!! eLire la suite …
tous les pays aiment leurs enfants .leur jeunesse…croient en eux en leurs capacités.. leurs ambitions..
leur dynamisme sauf nous les bicos qui aiment reculer.regresser.personne ne reussira ds ce pays à vaincre les loups
C’est une enfant du système pourri qui est en place , donc elle ne peut être que pire !!!!
c’est le mépris des jeunes compétences qui peuvent prendre le relais . comment la soutenir comment ? afin de continuer son programme .Lire la suite …
Une de moins !!!
Papa y pourvoira