Il s’agit du binational Ali Benouari , candidat malheureux à la candidature présidentielle Algérienne qui a osé défier un ordre bien ancré et établi dans nos mœurs. Mettre le FLN au musée , dissoudre l’assemblée populaire, revenir à deux mandats présidentielles et beaucoup d’autres initiatives dans son riche programme qu’il allait présenter au peuple s’il avait été retenu Mais le conseil constitutionnel en a décidé autrement à sa candidature jugée « inéligible ». Il a été évincé de la même façon que son homologue Rachid Nekkaz, ce dernier continue de défrayer la chronique en recourant, une deuxième fois, au recueil de milliers d’autres signatures de citoyens pour démontrer qu’il a fait l’objet d’un coup monté pour l’écarter de la course .
Mais revenons à M Ali Benouari qui a abandonné sa deuxième nationalité et son parti PLR de Suisse pour se porter candidat en Algérie , n’a-t-il pas agit prématurément en déclarant les mêmes propos que feu Boudiaf ? D’aucuns estiment qu’il avait anticipé un scénario qui risque d’éclabousser un jour ou l’autre, d’autant plus que le vieux parti se trouve dans de sales draps enclenché par son secrétaire général M Saidani lorsque ce dernier s’en alla en guerre contre une institution de l’état, attaquer cette même institution qui avait libéré le pays du joug colonial, c’est mettre son propre fondement en danger.
M Benouari , un ancien ministre délégué au Trésor algérien de 1991 et vivant à Genève depuis 1984,avait souligné dans son programme présidentiel que le FLN n’avait plus droit d’exister comme l’ a été l’ALN redevenue ANP. Il a aussi dit que l’APN actuelle sera tout simplement et purement dissoute pour entamer une « deuxième république ». Son programme conçu pour corriger les échecs du pouvoir depuis l’indépendance et déplore que « Plus d’un demi-siècle après l’Indépendance (1962), et en dépit des progrès indéniables accomplis, nous devons avoir la franchise de reconnaitre que nous avons échoué à créer un État moderne et social tant rêvé »
Bonsoir
Pourquoi ce titre ??
« Il faut oser ou se résigner à tout. »
Ce Monsieur , n’a pas osé et il n’a pas agit prématurément en déclarant les mêmes propos que feu Boudiaf comme le décrit notre ami Salim.
Ali Benouari a dû renoncer à sa nationalité Suisse pour pouvoir se présenter à l’élection présidentielle en vertu de l’article 73 de la constitution algérienne, donc tout est en ordre , alors pourquoi a t-il était évincé ainsi que son homologue Rachid Nekkaz .
Que ce conseil constitutionnel pro gouvernemental nous donne les causes de leur éligibilité ??? au moins on dira « Maalich ya sidi »
N’oublions pas que cet ex ministre, dès son jeune age,a occupé des postes de très haut niveau, il était trésorier et responsable des salles de marché de groupes bancaire,responsable de la trésorerie de changes et des marchés financiers à la banque centrale d’Algérie donc il doit connaitre « les magouilles de « certains ignards » qui pour moi ont fait tout pour l’éloigner du jeu » daroulah assafra tarbah » pourque » al goffa » ne se vide pas.
De toute les façons ,le peuple Algérien doit faire un choix ; continuer dans son mutisme comme c’est le cas depuis l’indépendance ou changer carrément son avenir . L’Algérie est à la croisée des chemins où seul le peuple trouvera le bon .
Le fait de jouer sur la peur des gens est elle une stratégie qui réussira?
La démocratie a t-elle plusieurs définitions canoniques en Algérie ?
Qui n’ose rien n’a rien et il a osé pour ne rien avoir et cela rentre dans les probabilités pour ne pas dire dans les règles du jeu. Hada Essayed,soit il est fou pour avoir laisser tomber sa nationalité suisse et tout ce qui va avec ,soit il nous prend pour des imbéciles pour choisir ses ex compatriotes comme des cobayes de laboratoire pour assouvir ses ambitions démesurées .L’erreur de certaines têtes pensantes est d’assimiler le poste de Président de la république à un érudit d’une science quelconque comme si on cherchait un messie pour redresser l’université algérienne qui souffre de l’incompétence de son encadrement;le poste de PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE répond à des critères politiques d’un engagement sur le terrain et une lutte au quotidien pour faire admettre ses idées et son programme par un militantisme à toutes épreuves dans l’adversité et l’adhésion ,en une phrase d’une expérience de la proximité et des besoins objectifs des citoyens en conformité avec leurs tendances idéologiques et politiques;ce n’est pas se présenter, l’échéance venue ,à une élection et solliciter le soutien du peuple sous prétexte que les autres n’ont rien fait ou profiter de certains faits divers pour en faire son cheval de bataille ,le peuple n’est pas dupe malgré les apparences .
COMMENTAIRE RETIRÉ PAR ADMIN
Motif : Aucun lien avec l’article ci-dessus mis à part les premiers mots !!!!!!!!
comment hors sujet??
ce type parle de mettre le FLN au placards moi
je parle du financement des partis qui est fondamentale
et je réitère le fondement de la démocratie qui repose non pas sur le droit de vote mais » le droit a un financier ou a un industriel ou a groupe de PME:PMI de constituer un groupe de pression dénommé parti »
. l’État ne doit pas financer les partis politiques et doit se contenter de son role »gérer les plaintes des uns et des autres face a un programme »..et pour le faire le ministère de la justice doit être très fort physiquement et scientifiquement. si tu veux la force physique il est là en face de toi il va te plier en deux si tu veux par contre poser les arguments en discussion là aussi il te suit. ce n’est pas seulement modifier la constitution de 2 ou n mandat ou sans mandats
mais bien de revoir la formation des juges qui doivent passer par la formation du parachutisme et des études approfondies du droit musulman et du droit comparé.