Les changements structurels opérés par le Président de la République dans l’armée, le DRS, le gouvernement, le Conseil Constitutionnel, l’administration, ne sont que le prolongement d’une opération planifiée, du moins dans sa partie visible, pour maintenir en place le « système Bouteflikien ».
Pris de court par la maladie depuis quelques mois, le Chef de l’Etat et son entourage sont décidés, à tout prix, à accélérer la cadence pour s’assurer le pouvoir définitif sur le pays pour un nouveau cycle de 50 ans.
Désormais, il n’est plus exclu de faire subir à la Constitution des amendements pour rallonger le mandat actuel. Cette procédure est, bien entendu, en totale contradiction tant avec l’esprit que la lettre de la loi fondamentale du pays. Mais qu’importe, la constitution sera amendée autant de fois que le maître du moment le décidera. L’Etat de droit, les lois du pays, la raison, les intérêts de la nation ne font pas partie des critères de choix. Faut-il rajouter à la situation le ridicule, sur le plan international, conséquence d’un entêtement irresponsable
Si pour d’autres considérations cette voie anti constitutionnelle sera abandonnée, le 4ème mandat ou en dernier recours le successeur désigné aura alors à assumer la tâche.
Aujourd’hui, le système politique qui a eu à gérer le pays depuis au moins 1962 est en phase terminale. Dans un avenir proche, il muera en un nouveau régime qui sera plus autoritariste et qui agira sous vitrine démocratique factice pour museler toute opposition réelle qu’elle soit dans la société politique ou civile. L’argent, l’affairisme, les lobbies nationaux et internationaux régiront alors le pays et assujettirons sa souveraineté
Cependant ce scénario n’est pas inéluctable. Une autre voie pourrait s’offrir à l’Algérie : l’effondrement interne du régime à la suite de luttes intestines graves et dont les conséquences seraient funestes pour la nation.
Pour éviter ces deux issues malheureuses qui guettent l’Etat National, il y a urgence et nécessité que les patriotes, de tous bords, transcendent leurs différences et fondent une coalition large et responsable, pour éclairer l’opinion publique sur les enjeux à venir, rassurer nos partenaires et peser de tout leur poids sur la suite des événements.
Alger le 13.09.2013
Le Président du Parti Djil el djadid
Soufiane Djilali
depuis son intronisation je ne l ai jamais cautionne ni lui ni sa constitution ni sa concorde civile bref toutes ses echeances electorales li n operera pour aucun changement les partis et leurs bouches cousues plaident pour une continuite avec en contre partie des nominations et avantages divers . je vous assure que je nesuis partisan d aucune formation politique et je n ai pas a rougir . n a t ilpas promis au peuple algerien que son regne est fini tab jnanou a setif le 08 mai date de cele bration des 45000morts. si la constitution ne comporte pas les points suivants je n aurai jamais la force de la plebiscitee. primo pas plus de 02 mandats consecutifs et a vie n ayant pas le droit de se representerpour un troisieme. retrait du droit de grace de ses prerogatives ne pas avoir droit et a n importe quel moment au changement de la constitution a sa guise que tout elu a la presidence ne daigne abroger ces articles. et s est a partir de la qu etant simple citoyen je veillerai a accomplir mon droit et donner mon point de vue. c est ma raison et ma devise et je la respecterai je ne vendrai jamais ma dignite mon honneur ma parole mes engagements pour finir en enfer. je ne suis ni hypocrite ni malsain je vis une situation difficile certes mais je ne tendrai jamais la seconde joue pour recevoir une deuxieme gifle.a bon entendeur salut et merci mille fois. un citoyen qui refuse le pouvoir actuel.