Prendre position sur l’opportunité de détruire ou conserver un édifice architectural est un ancien débat, animé bien évidemment par des intérêts très divergents. Il s’agit ici de la Koubba ou disons le Mausolée de Sidi-Bel-Abbès El-Bouzidi. Dans cette ville ce motif marque assurément beaucoup de désaccord s’il n’est pas exposé sur toutes ses facettes. Mais, avant de dégrossir le sujet. Rassurons-nous et consolons-nous en définissant les différents termes qui alimentent le débat mais qui sont trop souvent confondus. Il y a là sans doute une bonne part de pensée mystique.
À l’heure où de plus en plus de sites et monuments historiques de notre chère ville sont détruits ou tout simplement laissés à l’abandon et en tant que citoyen de la ville et simplement en tant que tel (Voir notre contribution : L’abandon des sites Archéologiques du 8 Octobre 2018). Je m’interroge ici sur la préservation du patrimoine local loin d’avoir l’intention d’orienter le débat vers le terme de la destruction ou encore soumettre le sujet de ce patrimoine collectif à des supplices inventés par la mémoire et l’histoire ! Puisque d’une part, il est à mon sens déjà trop tard pour « poser des questions ». Mais, d’un autre coté, il faudrait reconnaitre aussi, qu’il est sans doute encore trop tôt pour exercer une vraie « questure » du point de vue administratif et financier ou du moins en faire une priorité. Même si assurément, on s’approche de la fin d’une époque historique dans notre pays.
Pouvait-on protéger et donc ne pas « supprimer » l’ancien monument architectural colonial de la Koubba de Sidi-Bel-Abbès ? Autrement dit : Que faire si on ne sait pas quoi faire ? À priori, la « protection » de la Koubba, pouvait être réalisée par manières différentes. D’abord, par son inscription au titre de site protégé ensuite comme site classé. Cela n’a pas été fait. Pourtant, madame la ministre Khalida TOUMI avait gaspillé énormément d’argent dans les 12 années de son règne (2002-2014). Une reconnaissance aurait conduit à la mise en œuvre d’un périmètre de protection. Une démarche postérieure au sein d’un plan local du service d’urbanisme aurait peut être sauvé le monument. Preuve à l’appui, l’enquête ministérielle du premier plan 2009-2014 et deuxième plan de protection 2014-2025 se sont désintéressé complètement du monument en question.
J’aurai voulu savoir s’il serait possible d’évoquer ici la question de la restauration de la Koubba ou disons le mausolée de Sidi-Bel-Abbès El-Bouzidi ? Mais, ne ditons pas que faire de l’histoire avec des si est une chose bizarre ! On sait pertinemment que la « restauration » se fait en respectant les logiques de construction. Autrement dit, que s’il s’agisait d’une remise en état du bâti dans son état ancien. Il aurait fallut remonter au début de XXème siècle plus exactement en 1903 selon notre propre conviction. Sans omettre bien sur les réhabilitations antérieures effectuées depuis 1865 et 1849 et même plus depuis la moitié du XVIII ème siècle. Cette démarche peut prêter à discussion entre spécialistes à titre historique (Voir Photo 1). L’administration communale a bizarrement laissé peu de traces. Encore faut-il que pour cela, que le monument en question doit d’abord être reconnu dans le classement national du ministère de la culture.
C’est vrai qu’on peut aussi soulever le terme de « réhabilitation » afin de préserver le caractère historique du bâti. Mais, cette opération nécessite un plus d’éléments contemporains. Ainsi, l’initiateur de la réhabilitation est souvent attendu au tournant. Ainsi, l’éternelle question du non respect des aspects historiques revient à chaque fois. Le passé finit toujours par nous rattraper. Nos amis architectes diront surement encore plus sur ce sujet. Même si, la discussion d’école finit toujours par un compromis inévitable et souvent très subjectif.
Bref, parlant maintenant de cette « rénovation » du patrimoine qui consiste à faire du neuf à partir du vieux. C’est le cas de le dire ici. Mais, la rénovation dépend à chaque fois d’un cas particulier. En fonction de ce qui est fait ou à faire et en fonction de ce que le rénovateur veut fait pour le projet de la future Koubba ou mausolée (Ici les responsables de la Wilaya). Il est vraiment étonnant de savoir que cette rénovation n’avait inclus que le mausolée ! Sans doute à cause des particularités du cimetière. Les anciens premiers responsables de la wilaya auraientt dû et cela depuis longtemps promulgué un arrêté interdisant toutes inhumations et autres cérémonies funèbres dans un périmètre d’au moins cent mètre de diamètre .J’atteste qu’aucune pancarte officielle n’est visible. Quoi qu’une phase de sensibilisation est plus que nécessaire. On peut remarquer que le périmètre est pratiquement un carré d’inhumation presque familiale des : Mami, Badsi, Abdeldaim, Salah , Adim, Sabri, Issad, Bendimred, Allal,Taleb,Zazou, Lasouli …et autres. Sachant que le dernier enterrement dans le périmètre date de l’année 2018.
Dans tout les cas, une rénovation d’un monument historique tel que ce mausolée mérite d’être pensée au cas par cas, afin d’identifier les points sensibles de du monument historique à solutionner notamment ce fameux toit en tuiles vernissées et bien sur les deux à cinq tombes à l’intérieur du monument ou encore cette spécificité du lieu lugubre qui évoque le deuil et l’obscurité bizarrement banalisé par huit grandes fenêtres en plus d’une double porte large comme s’il s’agissait d’un abri de voitures ! Paradoxalement, dans ce cas de mausolée de Sidi-El-Bouzidi le principe consistait à détruire la dénaturation coloniale dans le but de rénover un vieux monument du XVIII ème siècle. Le comble de l’histoire est que les historiens Français eux mêmes nous avaient dressé une liste d’une dizaine de mosquées, et plus encore des marabouts (Koubba) et nombre de d’édifices du culte musulman ayant purement et simplement été démolis lors de grands travaux d’urbanisme et de voierie, tandis que d’autres étaient convertis en églises. Mais, on savait déjà que la liste était loin d’être exhaustive. Donc, la municipalité coloniale avait certes détruit l’ancien mausolée et bien sur sa koubba tout en construisant un autre avec une bizarre toiture en tuile au style mauresque. La même démarche a été enclenchée à Marrakech au Maroc pour Sidi-Bel-Abbès Essebti (Voir photo 2). La question se pose par elle-même. Fallait-il détruire l’ancien édifice pour rénover l’ancienne Koubba de Sidi-Bel-Abbès ? Je trouve cela bizarre parce que finalement on pourrait dire ainsi que ce n’est pas d’une rénovation qu’il s’agit mais elle serait plutôt une réhabilitation !
La tradition aurait voulue qu’une plaque commémorative en marbre blanc soit placée à l’entrée. Mais rien de cela n’a été fait. Selon nos sources les travaux ont duré du 02/04/2016 au 24/01/2018. Les travaux de peinture autrefois blanchie à la chaux se poursuivent jusqu’à maintenant. Pourtant le chantier est terminé. (Voir photo 3).
Cette rénovation, qu’elle soit anticipée ou qu’elle ait été réalisée à moitié, devait nécessiter l’embauche d’une main d’œuvre qualifiée, notamment un entrepreneur et un architecte spécialiste dans la rénovation. On ne sait pas si l’entrepreneur (Apparemment Mr Abdenabi selon nos sources) à qui ont avait confié les travaux avait déjà réalisé des rénovations pareilles ? Il faudrait souligner aussi que l’architecte et l’entrepreneur devaient demander l’avis à des spécialistes en rénovation notamment les architectes et les historiens pour s’inspirer ou pour obtenir de l’information. Apparemment, le rénovateur avait gardé la surface et les murs en forme de rectangle sinon un carré long en ajoutons des piliers à la figure géométrique du quadrilatère tout en ajoutons deux coupoles (koubba) au style ottoman. Une coupole (Koubba) à l’intérieur en plus d’une autre plus petite à l’extérieur. Quelques témoins internes et externes non gênants ont tout de même subsisté, ils ne donneront alors qu’une touche de charme ancien et ne permettront qu’une belle image éclectique. Il est utile de signaler, à vrai dire non acceptable à mon sens que le toit en béton c’est-à-dire la coupole interne ne soit pas étanche à l’eau de pluie. Je vous laisse imaginer la scène à l’intérieur du mausolée dès qu’il fait mauvais temps.
En effet, pourquoi donne-t-on une valeur de patrimoine à cette Koubba de Sidi-Bel-Abbès ? La prompte réponse est qu’elle a une valeur emblématique. Oui ! Elle représente l’histoire et même plus puisqu’elle a une analogie directe avec le toponyme de la ville. Dans, une récente communication concernant le deuxième colloque sur les personnalités marquantes de l’histoire de la région de Sidi-Bel-Abbès durant la période coloniale le 21-22 novembre 2018. J’avais scruté ce sujet en rapport avec le toponyme de la ville.
Cette koubba constitue notre patrimoine. Elle rejoint ainsi l’idée que nous nous faisons des composantes de notre identité. C’est donc une des raisons pour lesquelles on conserve le patrimoine local. Notons, qu’il est quasiment certain que l’administration coloniale en Algérie en a détruit plusieurs monuments. Aussi paradoxalement que cela puisse paraitre, c’est l’administration communale coloniale française qui avait « construit » l’ancien monument dont en parle ici. Tout en sachant, que c’est elle qui avait « détruit » la première koubba authentique construite probablement au milieu du XVIII ème siècle et dont les sources historiques gardent la trace. Voilà pourquoi il y a des souvenirs attachés au patrimoine, qui font qu’on met de côté, plutôt que de les détruire. Les raisons pour lesquelles on ne supprime pas ces objets, sont celles-là mêmes précisément, qui définissent une valeur de patrimoine. C’est le concept même de patrimoine qui nous interpelle.
Pour conclure cette question du patrimoine architectural de la ville et notamment ce mausolée, il est vrai qu’il ne s’agit pas d’un monument inscrit officiellement comme patrimoine historique donc les règles ne sont pas « strictes ». Ainsi, le rénovateur n’est pas obligé de faire appel à un spécialiste en la matière. L’urgence n’est donc pas signalée. Mais, en parlant d’urgence, y avait-il une urgence à aller plus loin en rénovant sans ouvrir un débat de spécialistes ? S’il s’agissait d’un nombre très conséquent de villas coloniales ou de « châteaux » ici et là et notamment dans les quartiers du faubourg Thiers ou Mon plaisir ! Les commis de l’état et autres élus locaux nous auraient répondus promptement « On ne peut pas tout conserver ! ». En définitive, on s’aperçoit donc, que rien ne va de soi. C’est difficile d’opérer des choix et même d’adopter des critères. Certes, mais, là il s’agit d’un seul monument. C’est d’ailleurs, le seul monument architectural authentifié « existant » avant l’arrivée du colonialisme Français. Il était aussi la seule preuve archéologique ! C’est triste de l’affirmer.
Par : AL-MECHERFI. K
Aidekom Mabrouk. Dans ce sujet très communautaire, il y a aussi cette question du rituel du sacre et la vie cultuelle des Béni-Ameurs (Une population rurale).Théoriquement, on peut définir ce qu’est une religiosité rurale et une religiosité urbaine. Toutefois, mon questionnement vise à connaitre comment se pratiquer la prière du vendredi ou il n y avait pas de mosquée ? Voilà il faudrait revenir à cette Koubba et autres zaouïas, sanctuaires ou même la hawita bien de chez nous et cela pour éviter les annotations le plus souvent regrettables.
On sait que la prière du vendredi est accomplie collectivement (sans parlé de celle de l’Aïd ou encore ces jours de marché/éco -Souk). Elle remplace la prière de Dohr (midi). J’ai lu qu’il suffisait la présence de trois hommes résidents pour la célébrer. C’est-à-dire un imam, muezzin en plus d’un fidele. Ceci-dit que la présence d’une population est authentifiée par les documents notamment les cartes et Alexandre Dumas le consul chez l’Emir Abdelkader.
J’avais bien évidemment consulté l’histoire rurale de l’Islamologue Jacques BERQUE. Il distingue deux niveaux étagés de la vie religieuse. Celle lié à la sainteté des grands individus et des grands espaces. En bas, le niveau communautaire dominé par les petits sanctuaires ruraux. Toutefois, je n’ai toujours pas de réponse.
Le colonialisme avait tout chamboulé dès son arrivée dans la région. N’oublions pas qu’il y avait une source d’eau ! (Preuve à l’appui). En plus, les premiers colons chrétiens en majorité des Espagnoles avaient d’ailleurs construit une église (Sacré cœur) tout près du stade koura actuel. D’un autre coté, quant aux militaires français, il est évident qu’ils ne pouvaient tolérer une présence de population autochtone. On peut affirmer aussi que le vrai poseur de bombe fut le colonel Paul Azan . Parce que c’est lui le premier historien de la ville.
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donc il reste un grand travail au niveau du ministére des affaire religieuse de relancer un cycle de conference pour traiter ce probléme.
car la campagne en algerie surtout la ou il yavait une forte dconcentration de colons qui vidaient surtout les plaines et non les regions montagneuse c’est pourquoi je crois les regions de l’Est etait épargner de la polution religieuse induite par les colons catholique qui ont leur façons de concevoir les choses et reposent sur la sainteté les saints alors que les chretiens espagnole ont une autre façon de concevoir. je crois que l’espagne a cause de l’occupataion arabe muslmane il yavait un grand probléme entre les muslmans et les chretiens. pour éviter tout malentendu les espagnoles venerent plutot Marie mere de jesus afin d’éviter Jesus comme Dieu et fils de Dieu. sinon ils seront considéré comme mouchrikine et seront assujetie au payement de la jizya qui etait trop lourde..les espqgnoles ont adopté la culture de la sainte marie.. il faut faire une étude dans ce sens, je ne repose que sur quelques dires …
donc l’ouest du pays et le sud etait plus ou moins contaminé par la saintété importé et introduite par les colons catholqiue
et le vaudou africain importé et introduit par les esclave venue d’afrique a travers le maroc..qui etait esclavagiste..
les français dite laique n’etait pas dans la compagne mais bel et bien dans les grandes villes algerienne. donc yavait pas de grande polution de notre religion..
le madhebe maliki avait subit une tres forte influence..donc il reste a notre ministere de revoir tout cette polution et la corrigé au fur et a mesure..
par exemple la pratique de la dhabiha..pendant l’aid el kebir dans notre madhahbe malikite
il est interdit de mal traité l’animal et l’immolation doit se faire loin dans des coins isolé des femmes et des enfants.. maintenant on voit vers l’ouest des mouton ligoté et poussé dans les mâles de voiture..si notre imame ibnou malik est encore vivant il piquait une crise et infligé a ce genre de pratique 80 coup de fouets en publique.. parceque notre imame n’etait pas un khatib dans une mosqué mais un grand juge ou juge des juges »kadi el koudate »
l’imame en islame n’est pas un conducteur de pierres comme dans la tradition chez les chretiens et juif..c’est un juge un kadi …
il est claire que le mot sidi etait une derivation de saint. toues les villes en france porte le sufixe St..il est possible que cette culture du saint et chretienne…
a l’Est du pays la ou il n ayavit pas de colons a cause des montagne y’a pas ce sufixe de sidi donnée au ville..on dit pas sidi annaba ou sidi constantine ou sidi alger ..
l’ouest du pays a été fortement influencé par les marocains les espagnoles ..même le maraboutisme des fois chez certain colons a temouchent et environ on trouve les traces des voudou africain. tout le monde avait remarqué les pieds de poule accroché sur les palmiers a coté des kouba. surement a cause de l’esclavagisme qui est passé du Maroc vers le sud ouest algerien.
je ne pense pas que l’armée française avait quoi que ce soit avec le maraboutisme. l’armée coloniale etait une armée au service des financiers ..pour dire vrai la colinisation des amerique et l’afrique c’est une oeuvre de banquiers.
donc ça n’a rien avoir avec la france. peut etre que juste le banquier trouvait en france ce qu’il ne trouvait pas ailleurs en europe.
le maraboutisme c’est n’est qu’une forme d’exploitation basé sur les idoles. les idoles etaient partout exploité dans le monde. une idole c’est une figurine qui ne parle pas ..ça se peut une statue une image un cercuil ou meme un moulin a vent.. les colons a l’etranger par besoin de production exploitait ces idoles pour des raison non religieuse mais pour des raisons de production.
avec l’ecole et l’éveille ces histoires d’idole ne marche plus dans ce siecle.
en france qui ose dire st patron qui fait ceci cela?? qui va le croire??
l’ouvrier maintenant demande un salaire la monnaie palpable la securité sociale la retraite..l’époque de l’exploitation des idoles ne marche plus dans ce siècle..
sauf que dans notre culture elwalya etait respecter car ils maintienaient un ordre morale dans la société si vous travaillez bien dans l’équité et le droit un muslman peut atteindre un niveau de degres élever celui d’un walli salah. et le mot salih fauseur de bien est toujours collé au walli..
sauf que dans les periode de disette de pauvreté certain s’habillait en walli salah pour toucher quelques centimes en offrant des prières. mais les femmes savaient qu’il n’estait pas un vrai walli mais elle s’accomodait ..d’ailleur dans nos coutumes un walli salah ne demande jamais d’argent et si vous lui offrez quelques chose il va la redrisbuer pour les pauvres et les necessiteux. un walli son salaire est chez Dieu …il payé par Dieu que soit chez les musulmans les chretiens ou les juifs…nous avons avons a peut pres la même culture..
mais l’opportunisme et partout il n’est pas uniquement chez les religieux même chez les laics s’a existe beaucoup se targuait etre de la franc maçonnerie pour gagner la confiance des autres c’est tout. a peu pres la franc maçonnerie et les sainteté c’est pareil.. le franc maçon ça suppose de grande culture d’un grand secret d’un grand savoir etc qui peut tout faire..
Bonjour, Monsieur ABBAS, Dans mon commentaire l’allusion au Maraboutisme n’interférait qu’accessoirement pour dire que même » le bouche à oreille » de Générations à Générations n’a pas fonctionné réellement . C’est donc , chacun à aller de ses propres supputations. Je ne prétends pas détenir la vérité , ce qui est sûr c’est que mes aïeux combattaient l’idée que Sidi Bel Abbès a été baptisée par la garnison qui était chargée aussi d’implanter une ville en l’honneur de la colonisation. On rapporte également que cette appellation n’était pas du tout du goût des BÉNI-AMER qui ont combattus avec acharnement un fait accompli imposant une référence à un Saint/ Marabout que personne ne connaissait dans la région. J’ai été baigné dans cet esprit , peut-être suis-je baigné dans un subjectivisme influençant la portée de mon jugement , cependant que rien n’est venu soutenir une thèse contraire ,d’autant que l’Émir ABDELKADER N’EN AVAIT PIPÉ MOT SUR CE SAINT TOMBÉ DU CIEL , QUAND ON SAIT QUE » LES HORDES DE MOULAY ABDERRAHMANE » ont été pour beaucoup dans la Redition de l’Émir tant l’acharnement de ses troupes à le combattre était vivace .Je ne peux pas , ne pas vous remercier pour le » cours magistral » donné en notre faveur  propos de la réalité du maraboutisme et de ses aspects sociaux, comme si l’ÉVANGÉLISATION des LAVIGERIE ET CONSORTS N’A JAMAIS EXISTÉE.LES CAÏD ET AUTRES BÂCHAGHA ACQUIS À LA CAUSE DU COLONISATEUR , SONT AUSSI UNE VUE DE L’ESPRIT ET LES COLONS SONT VENUS NOUS CVILISER . Ce n’est pas une attitude victimaire que de relater des faits historiques longtemps tus et de n’évoquer un Génocide qu’en catimini . Le maraboutisme était une arme parmi tant d’autres et l’église sous l’autorité de l’Armée conquérant a même tentée de remodeler le SAINT CORAN à sa manière , comme elle a eue à le faire pour Jeanne-d’Arc , La Pucelle , qui aurait entendu des voix . Chaque peuple ses légendes avec la différence , notable, que le colonisateur impose les siennes en dévoyant celles des colonisés .
Vous nous déroutez avec vos affabulations , alors dites-nous si c’est nous (légionnaires) qui avons inventé ce Bouzidi, ce Cebti Espagnol ou bien que vous continuez à croire que ces Koubba sans âme,et sans tombeau, existent encore de nos jours. Messieurs, de grâce ! Soyez Cohérents dans vos interventions. Sidi Bel Abbes est une création pure et simple du colonisateurs pour vous tromper, ils ont trouvé en ce pauvre errant dans ce monticule qui dominait la ville , l’idéal pour vous faire peur comme dans de milliers de cas à travers l’Algérie et surtout respecter les morts (les vrais) qui y sont enterrés.
Notables dites-vous! S’il y avait des notables on en serait pas là, à tergiverser sur l’existence d’un tombeau ou non, cher Monsieur!
Salem,
On le voit bien l’histoire de notre ville « Sidi-Bel-Abbès » a quelque chose de spéciale. Elle n’est vraiment pas comme les autres. En fait, il s’agit bien de deux sujets différents. Il y a d’abord, le faux débat représenté par le « Sidi » autrement dit le marabout qui est certes un sujet colonial fabriqué de toute pièce par un poseur de bombe. Un historien recruté par la municipalité (Il faudrait bien le souligner). Donc, rien à dire là-dessus. Je pense qu’il est sage d’éviter ici un débat d’école. Sinon il faudrait écrire tout un livre sur Sidi-Bel-Abbès Essebti Sbanyouli d’un coté et marouki de l’autre ou encore Sidi-Bouzidi qui eu surgi de nulle part ! Ceci-dit bien évidemment sans vouloir esquivé le sujet. Les « notables » de la ville qui avaient applaudi l’initiative coloniale de l’époque avaient en contre parti tracé chacun pour soi un carré pour enterrer ses proches. Eux aussi avaient participé à faire brouiller les pistes de la fameuse combinaison de la version de 1903 que les Bel-Abbésiens connaissent vaguement.
Mais le vrai sujet ici c’est la Koubba du Marabout (monument). Notons que Koubba aussi paradoxalement que cela puisse paraître est un mot français (Voir dico 19 ème sicle jusqu’à aujourd’hui). C’est d’ailleurs le même cas pour le toponyme de la ville. Un nom arabe avec deux trait d’union !? N’est ce pas bizarre !? Et pourtant les typographes Français, vous diront que c’est le préfixe qui détermine le trait d’union ! Mais bon ! Passons.
Ce monument historique a été reconstruit par l’administration coloniale mais pas dans le même endroit probablement à cause de la redoute (Il faut aussi connaitre sa triple histoire). Léon ADOUE, atteste dans son livre que l’architecture de la koubba a été modifiée au début du XXème siècle sans dire pourquoi. Bof ! Ain El-Fouara, Fort national, Santa Crus, Tipaza, Djemila, Timgad et autres monuments historiques d’Algérie contestés (Comprendre Massinissa et Sifax ) n’ont –il pas été construit ou réhabilité par l’ADM coloniale ? Ils sont pourtant « protéger » par l’état ! Encore faut-il comprendre ici que mon texte ne revendique pas la valeur patrimoniale qui incombe à mon avis à la seule commission ministérielle compétente dans ce domaine.
Bon ! On connait tous l’histoire du gentil petit chien noyé par son maitre ! Donc, il est facile d’inventer des torts et autres défauts coloniaux à une chose dont on veut se débarrasser. Nous sommes tous responsables et en particulier les autorités locales et surtout les élus et les associations notamment l’association de défense du patrimoine qui est en principe sensée protéger l’héritage collectif de toute une région. Justifier un point de vue ne sert à rien. Ne dit-on pas qu’une facture ne suffit pas à justifier un paiement !
Cette Koubba est un monument historique (stop et fin). Elle a donc une importance locale si ce n’est plus. Les personnes qui ont fait ce boulot nous doivent une explication tout au moins pour les générations futurs. Je pense avoir été suffisamment clair.
Je vais tout de même terminer mon commentaire par un optimisme déconcertant. Dans le texte il est bien écrit que : « Le rénovateur avait gardé la surface et les murs en forme de rectangle sinon un carré long en ajoutons des piliers à la figure géométrique du quadrilatère tout en ajoutons deux coupoles (koubba) au style ottoman ». Ainsi, les futures archéologues Algériens de la fin du 21ème siècle auront de quoi se mettre sous la dent puisque il est évident ici que j’ai le mauvais rôle en plus au mauvais moment. Je suis persuadé qu’un historien du terroir n’a aucune chance de réussir à braver tout seul les obstacles naturels qui sont le vent et les marées contraires pour faire avancer le bateau « Sidi-Bel-Abbès ».
Bonne journée à toutes et à tous.
Deux historiens , reconnus entre eux,ne peuvent que se faire des amabilités ,même si leurs salamalecs n’ont rien de profonds. SIDI BEL ABBES, étant à l’origine une ville de garnison chargée de faire rayonner la colonisation par l’occupation d’un espace appartenant à plusieurs tribus des Béni-Amer . C’est en raison de sa situation géographique qu’il a été décidé d’en faire une ville exemplaire de colonisation . C’est à ce titre et dans la continuation de la politique ottomane de la Sublime Porte que la hiérarchie militaire que l’occupant a opté pour un maraboutisme dévoyée et formatée à leur guise et pour leur compte, à l’effet de manipuler la population autochtone . C’est ainsi qu’un itinérant ( un hère tout bonnement) ,de passage dans la région , et qui fut affublé de titre de Saint ( M’ RABET) par la garnison . Cette illuminé comme il y en avait légion en ce temps ètait originaire de CEUTA( Sebta) occupée déjà par le Royaume d’Espagne .C’est devenu SIDI BEL ABBES ESSEBTI en remplacement de ce qui fût désigné auparavant par » BISCUIT VILLE » .Ceci pour dire que » le MAUSOLÉE » dont on parle comme étant une empreinte historique n’a aucune valeur patrimoniale ,sauf à lui attribuer ce que la Colonisation à voulu faire croire , delà à donner au M’RABET l’attribut couleur locale , il n’y avait qu’un pas à franchir Et c’est devenu EL BOUZIDI facilement acceptés par des béni-oui-oui chargés de propager » la bonne nouvelle » manipulée. L’historiographie de l’EMIR ABDELKADER , a-t-elle évoquée la dénomination de cette ville, je n’en ai pas souvenir, n’est-ce pas une preuve d’une perfidie. Alors il y a de quoi revoir ce que l’histoire du colonat a laissé comme » BOMBE À RETARDEMENT » .
Bonjour monsieur Tobji.
Tout sujet ayant trait à l’histoire d’une cité engage automatiquement un débat respectueux. Nul n’est censé détenir la vérité, surtout lorsqu’il s’agit des événements historiques à élucider. Dans ce sens, le débat demeure un espace d’échanges et d’apprentissage, je dirai plus un lien où se tisse une amitié(fictive soit-elle à travers la toile) .Sans prétendre porter un jugement, votre commentaire est pertinent et dénué d’ambiguïtés.Dans mon commentaire, j’ai cité le « quartier Bairro Alto », qui veut dire « quartier haut », point culminant qui dominait le bassin de la future cité appelée « Sidi Bel Abbès ». A ce point précis, l’armée coloniale avait dressé un poste de surveillance pour contrôler le mouvement des tribus.Y avait-il un cimetière des autochtones à cet endroit? Si la réponse est positive, cela veut dire qu’il existait une population qui vivait aux alentours.Reste à vérifier.Pour dater le cimetière, il faut engager sérieusement une étude sur les sépultures et épitaphes, et consulter parallèlement les archives administratives pour apprécier les périodes.Aussi, concernant la « kobba », si on désire connaitre le type d’architecture et les matériaux utilisés, il est d’usage de procéder à la consultation du permis de construire, s’il existe bien sûr. Concernant le personnage de Sidi Bel Abbès, il est clair que l’énigme ne sera jamais levée et ce par rapport à Sidi Boumédiène ou Abderahmène etha3alibi qui possèdent de riches biographies et bien archivées. Essebti, elbouzidi….C’est de la masturbation inutile des neurones.
Bonjour mon ami Karim Al MECHERFI.
C’est toujours avec un très grand plaisir que je lis vos sujets sur l’histoire de la cité « Sidi Bel Abbès ». A Tlemcen, Oran, Alger les mausolées construits portent le nom du personnage historique enterrée à l’intérieure.La sépulture porte les indications de l’état civil du « saint homme ». Le site que vous évoquez construit à l’entrée du cimetière musulman voisin au quartier populaire « Bari Alto », peut-il être considéré comme « mausolée(Kobba) »?
La question demeure pertinente du fait que le personnage de Sidi Bel Abbès n’est pas encore situé du point de vue historique, encore moins dans son état civil.Toutes les données avancées restent encore et à ce jour à l’état de supputations, c’est à dire qu’il demeure inconnu du fait qu’il Il n’existe pas de sépulture au nom de « Sidi Bel Abbès ». Mausolée ou DARIH , il est érigé pour porter le nom de la personne enterrée à l’intérieur. Malheureusement, ce n’est pas le cas pour la « Kobba » construite à l’intérieur du cimetière. Le cimetière de « Moula Abdelkader » est aussi dépourvu de mausolée.Cher ami, la vérité est souvent difficile à accepter, mais la réalité apaise les esprits pour se rendre à l’évidence, surtout quand il s’agit de l’histoire d’une cité qui porte le nom d’un personnage dont on arrive pas à le situer à travers le temps. A mon humble avis, la bâtisse construite n’a aucune valeur historique, et elle ne peut être inscrite dans le registre du patrimoine de la ville.