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La presse: Hamrouche pour une « nouvelle concorde nationale », 24 nouveaux cas de Sida à Sidi Bel Abbès,

ByLu dans la presse

Déc 21, 2014

Lors d’une conférence animée hier samedi à Sidi Bel-Abbès
Hamrouche appelle à une «nouvelle concorde nationale»

Toutes les composantes actuelles de la société –partis politiques,mouvement associatif, syndiats, élites– sont appelées, aujourd’hui plus que jamais, à se mobiliser comme un seul homme pour asseoir les bases d’une nouvelle concorde nationale qui soit en mesure de garantir la régénération d’un état national porteur d’un véritable projet de société garant des libertés et des droits individuels et collectifs du peuple
algérien.C’est le sens du message qu’a voulu transmettre, l’ancien chef du gouvernement, Mouloud Hamrouche, lors de la conférence-débat animée, dans l’après-midi d’hier samedi, à la maison de la culture ‘Kateb Yacine’ de Sidi Bel-Abbès,autour du thème « concorde nationale et
bonne gouvernance.»
Dans sa magistrale intervention, l’ancien chef de gouvernement a fait montre d’une grande sagesse et d’une lucidité parfaite dans son propos en suggérant une nouveau modus operandi politique et économique qui soit en mesure d’ouvrir de nouvelles perspectives pour notre pays et  le préserver ainsi des malheurs et tragédies qui frappent de larges territoires de la sphère arabo-musulmane. Reprenant pour l’essentiel les fonde-
ments théoriques et pratiques des réformateurs, Mouloud Hamrouche explicitera les concepts et notions de la nouvelle concorde nationale qu’il appelle de tous ses vœux ainsi que la question de la gouvernance nationale qu’il limitera, pour la clarté de son discours, à son seul aspect économique. Il ne manquera pas cependant d’être intransige ant en ce qui concerne la nécessité pour la viabilité du système d’état à édifier de disposer de mécanismes de contrôle et de contre-pouvoir pour éviter les dérapages et les excès éventuels des sphères décisionnelles.
A la fin de sa conférence, l’hôte de l’union nationale des fils de chouhada (UNFC) de la capitale de la Mekerra répondra à une batterie de questions posées par des citoyens venus en grand nombre, ce jour-là pour l’écouter.

Mir Mohamed (La voix de l’Oranie)

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24 nouveaux cas de Sida recensés en 2014 à Sidi Bel Abbès
24 nouveaux cas de Sida ont été recensés, durant cette année, par le service des maladies infectieuses du CHU de Sidi Bel Abbes, a-t-on indiqué, jeudi dernier, lors d’une rencontre sur cette pandémie placée sous le thème « Lutte contre le VIH/Sida ». Les participants ont mis l’accent sur la prévention, le dépistage, le traitement et la prise en charge de la pathologie. Les médecins, qui avaient brosse un tableau sur ce virus dans la région, ont rappele que depuis les quatre dernières années, Sidi Bel-Abbes a enregistre 300 cas parmi lesquels 30 enfants. Le docteur Boubchir a signale la mise en place d’un dispositif visant le traitement gratuit réservé aux personnes séropositives et le suivi régulier de l’équipe médicale. Pour sa part, le docteur Boursali, chef de service de la prévention à la direction de la santé, a souligné qu’actuellement 47 sidéens suivent un traitement au niveau du service des maladies infectieuses du CHU Abdelkader-Hassani, dont 24 nouveaux cas. Mais, selon lui, l’on assiste a une régression grâce à la mobilisation sur terrain.

Medjahdi M. (Horizons)

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Sidi Bel Abbès
Les habitants de la ferme Kabrio demandent leur relogement
Les habitants de la ferme Kabrio située dans la commune de Tessala dans la wilaya de Sidi Bel Abbès vivent l’espoir d’être recasés dans des logements décents et quitter les taudis qui les abritent depuis des années. Ces locataires disent vivre des conditions très difficiles sous les toits de tôles en zinc et dépourvus de toutes les commodités d’une vie décente, ce qui laisse leur quotidien des plus insupportables, surtout durant cette saison de froid et de pluie où les baraques sont inondées. Une telle situation les oblige à passer leur nuit dans la rue à chaque averse, s’ajoute l’état des routes qui mènent à leur ferme très défectueux, et l’éclairage public qui fait défaut, les rendent impraticables tout l’hiver.

Lire la suite de l’article de Salima D.  à sa source ICI