Sidi-Bel-Abbès/ paralysie faciale à frigorie : Une intervention réussie
Le service d’Oto-rhino-laryngologie du CHU Hassani Abdelkader, a réalisé, pour la première fois dans l’Ouest du pays, une intervention sur un jeune patient présentant une paralysie faciale à frigorie, a déclaré le Dr. Saadaoui Hadj, maître assistant au service ORL, expliquant que la paralysie faciale à frigorie, est une déformation persistante au niveau du visage, où l’œil reste ouvert, et où il est constaté une déviation de la bouche, en plus de la gêne à la mastication.
« L’intervention a été faite à un patient, B.M âgé de 25 ans originaire de la ville de Chlef, qui n’avait pas répondu au traitement médical. Le résultat a été spectaculaire, une intervention, d’une durée de 3 heures, réussie qui a été réalisée par les Drs. Ayad Djilali, maître assistant et médecin chef du service ORL, Saadaoui Hadj et moi-même », a déclaré Dr Beddak Zahir.
LA NATION
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Il a fallu moins d’une demie heure pour que la ville de Sidi Bel-Abbès frôle une catastrophe naturelle que les habitants n’ont pas vécue pendant plus d’une vingtaine d’années. Les mauvais souvenirs des inondations causées par les crues du Mekerra sont ressuscités dans la quasi-totalité des quartiers de la ville.Cette fois ce sont les avaloirs qui visiblement n’ont pas fonctionné. Pratiquement toutes les artères étaient inondées et à certains endroits les bouches d’égouts refoulaient carrément à une puissance considérable les eaux usées qui se mélangeaient aux eaux pluviales. Ce qui remet en cause tout le travail fait sur les avaloirs dans les points jugés noirs durant l’année 2008. Les habitants médusés, à tous les coins de rues tentaient, au moyen de pioches et d’outils de fortune, de dégager les caches poussières des bouches d’avaloirs afin que la flotte en furie puisse trouver un moyen de ruissèlement susceptible d’atténuer la montée des eaux. Une fois les précipitations calmées, place aux grandes flaques d’eau qui sont restées devant des avaloirs et des bouches d’égouts certainement quasi étanches. C’est malheureusement le spectacle auquel ont assisté les milliers de citoyens prenant leur mal en patience.
par M. D.
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Les fortes pluies diluviennes qui se sont abattues dans la nuit de dimanche à lundi sur la région de Sidi Bel Abbès ont fait d’importants dégâts au niveau des grandes agglomérations. De nombreuses maisons et locaux commerciaux ont été envahis par les eaux. Les trombes d’eau qui sont tombées ont inondé plusieurs routes et ruelles. Partout des torrents d’eau et de boue ont dévalé les rues de plusieurs cités de la ville. Les avaloirs bouchés ont été à l’origine des inondations de différents axes. De son côté, la Protection civile a enregistré plusieurs interventions au niveau des cités résidentielles et des établissements scolaires. A travers la wilaya de Sidi Bel Abbès, il existe un bon nombre de chantiers, mais beaucoup reste à faire pour en finir définitivement avec le problème des crues, notamment la mise en place d’une structure dotée de moyens humains et financiers qui sera chargée de l’entretien et du curage permanents des oueds et des ouvrages de protection, et surtout une bonne gestion des avaloirs. Il est important de noter que parmi les risques naturels majeurs auxquels la capitale de la Mekkera doit faire face, on cite les inondations, qui sont une source de catastrophes fréquentes et dévastatrices sur les plans humain et matériel.
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