La recherche scientifique à l’université de sidi bel abbes est tout bonnement malade, elle est perpétuellement en quête d’équipements scientifiques. Les labos existants sont de simples bâtis qui portent cette identité illusionniste. Les candidats des filières scientifiques soucieux à leurs jeunes âges sont vidés de cette énergie par un laxisme qui fait froid au dos.
L’université, et après des modérations qui ont bouleversé la recherche scientifique créant un apport économique, social et culturel à travers le monde, et ont démontré la nécessité de développer ce secteur incontournable créateur de richesse, continue à faire le sourd dans ce secteur dans notre pays. Les conditions administratives de création ou de gestion des projets selon des procédés éliminatoires ségrégatives n’apportent rien de nouveau et tue toute volonté positive.
Tout enseignant ou étudiant a le droit de faire un projet de recherche sans être obligé de passer par des intermédiaires ou de partager son travail avec qui, la recherche serait une opportunité professionnelle ou pécuniaire. Le budget alloué annuellement à la recherche scientifique même dévalué par l’état, classé bien loin derrière la chanson et loisir débile, doit servir à couvrir sa vraie mission. Les laboratoires de l’université de sidi bel abbes sont totalement désertés par le manque affreux d’équipements. Les étudiants en chimie, médecine, et microbiologie sont égarés, il faudrait miser sur un miracle pour dénicher un lieu adéquat où pouvoir préparer son travail de recherche.
Comment se fait-il que l’université algérienne possédant des constructions à cet effet, après avoir prévu énormément d’argent soit dépourvue d’équipements, pourquoi qu’il n’y est aucune prévision alors que les responsables sont normalement sensé détenir la raison que la recherche scientifique a besoin d’équipements sur les lieux. Le déplacement intra-national sur les minimes endroits équipés s’ils existent ne permettra jamais un aboutissement souhaité.
L’équipement de recherche fait toujours défaut malgré l’avance dans le temps, les projets de recherche à l’université de sidi bel abbes font affreusement souffrir les étudiants, certains se trouvent contraint de cohabiter avec cette indescriptible situation cumulant des années sont réaliser aucun travail de recherche. Pourtant cela ne gène personne que l’étudiant passe sa vie à courir derrière un fantôme.
Les seuls travaux sont menés avec des équipements pédagogiques très anciens qui, s’ils ne fonctionnent pas faussent les travaux de recherches. Où va vraiment tout cet argent qu’on réserve à la recherche scientifique dans les universités de l’Algérie, y’a-t-il quelqu’un qui porte toujours sa conscience sur ses épaules pour crier après ce crime contre la recherche qui est le moteur de tout développement?
D’après les ouï-dire, les travaux de recherche ont besoin de gaz de ville pour préparer ou préserver certains organismes à une certaines températures parfois qui dépasse les 250 degrés, l’ironie du sort, le siège du rectorat à l’ITMA le gaz n’existe même pas, et l’année coule déjà vers sa fin. à l’hôpital universitaire hassani AEK, le seul laboratoire ne répond même pas aux besoins d’analyses médicales.
Que fait-on de la recherche dans les autres filières : sécurité, génie civil, électronique, informatique, biomécanique, mécanique, électrotechnique, médecine, en sport etc.…. Faudrait beaucoup d’énergie pour supporter cette lourde réalité et prendre son malheur en patience pour que ce jour vient, où cette prévarication prendra enfin fin.
Espérant qu’un jour la recherche scientifique trouvera sa place dans les soucis de l’autorité afin de fournir aux jeunes universitaires et chercheurs une université moderne équipée dans laquelle, ils évolueront et seront des vecteurs pour propulser la recherche dans les différents secteurs de la vie.
Prendre exemple sur les pays qui nous devancent comme les USA, la Chine, l’Iran ou le Japon ne demande pourtant qu’à suivre leur itinéraire, ne même pas fournir leurs efforts du moment qu’il ne s’agirait que de les imiter, faut-il supplié nos responsables pour tout juste qu’ils comprennent que notre valeur et notre crédibilité y vont avec ce que nous produisons, et que nous resterons rien sans donner de l’énergie à la recherche scientifique. Un chercheur et un appareil produisent un résultat.
Djillali T
LE PROFESSEUR HAFID AOURAG, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DU DÉVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE AVOUE
«NOUS AVONS PRIS BEAUCOUP DE RETARD DANS LE DOMAINE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE PERMANENTE», ET CE EN MARGE DES TRAVAUX DE LA CONFÉRENCE NATIONALE DES ÉTABLISSEMENTS DE RECHERCHE, PRÉSIDÉE PAR LE MINISTRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE,RACHID HARRAOUBIA, CE DERNIER EST Docteur d’État en sciences-physiques (chimie macromoléculaire) MAIS NE PEUT RIEN CHANGER CAR LUI AUSSI AIME LE MIEL!!!.
COMMENT VOULEZ VOUS AVOIR UNE RECHERCHE SCIENTIFIQUE SÉRIEUSE ET AVANCÉE ALORS QUE SON DIRECTEUR LUI MEME {SELON « FOCUS ALGERIE »} JE LE CITE : « pour rédiger un texte pompeusement intitulé La Programmation de la recherche : concilier stratégie nationale et ambition des chercheurs, le professeur Aourag ne perd pas son temps : il copie, à la virgule près, un document du ministère français, en l’occurrence Stratégie nationale de recherche et d’innovation 2009. Il copie même la préface du document rédigée par l’ancienne ministre française Valérie Pécresse – See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2012/11/algerie-plagiat-au-ministere-de-lenseignement-superieur/
ARRÊTONS , EN TOUT CAS POUR LE MOMENT DE PARLER RECHERCHE ,CAR POUR MOI ELLE N’EST PAS AMER , ELLE EST TOUT SIMPLEMENT INEXISTANTE ,SAUF PEUT ETRE DANS LES DOMAINES DE SOCIO ,HIS, …………….!!!!!!!
Pardon !!
je ne vous ai dis ni bonjour ni au revoir , juste un oubli
Bien courtoisement
abassia
tu tires vraiment bien aujourd’hui. C’est vrai on peu devenir de grade professeur
sans gaz et sans électricité.
Le concept de recherche n’existe plus. on le trouves qu’en France pour les universités a forte dominance immigrés et dans le tiers monde. La recherche proprement dite es terminé par l’acheminement de la cartographie naturelle de la terre. Tous tes les espèces animales végétales bactériennes et minérales ont été cartographié et étudier.
Nous sommes actuellement dans le secteurs d développement car même la phase des essais est presque terminé. Prendre l’eau lui faire subir une centrifugation séparé l’eau lourde de la légère et ensuite faire la scission et constitué une source énergétique plus rentable. Les gens appellent ça faire de la recherche mais non. c’est plutôt faire »des essais » et le lieu ou se font les testes ce n’est pas les universités mais bien les instituts.
Dans les pays du tiers monde tut est mélangé car en réalité ils n’ont pas besoin de faire de la recherche. Ils ont besoin plutôt de faire des essais.
Coté matériel au contraire l’UDL a dépensé des milliards et des milliards, dans ce secteurs. Generalement l’UDL s’est convertie en Commerçant ». le but c’est d’acheter et les labos sont devenus des Stands d’exposition. Les étudiants et les chercheurs admirent les machines et appareils.
Mais que faire Abbassia???
Fermer vos yeux imaginez que vous etes dans ue salle de consulatio.n. imaginé que vous avez la blouse blanche. imaginez qu’on vient de frapper a la porte. imaginez une infirmière habillé en blouse bleu shangai vient de faire entrer un malade. fermez vos yeux serrez les biens, et imaginer que vous avez autour du cou un stéthoscopes imagine qu’ils constitué de deux éléments un élément froid métallique et l’autre tiède en caoutchouc. Fermer les yeux et serrez les bien maintenant faite comme si vous touchez le dos du patients, il est tiede. Attention e posez pas pas directement la sonde elle est encore froide. il faut la rechauffer un peu pourque le malade ne sent pas le choc thermique. la détente du malade est un gage de confiance et la confiance et un age de réussite du traitement. Ouvrez les yeux et maintenant suivez moi on va vers le labo de médecine. Pouvez vous nous dire c’est quoi cette appareils?? c’est un RMN commandé par les chimistes pour 500 millions d’euro. Et pourquoi il a été commandé le gas ne faisait pas la différence entre IRM et RMN…A moins qu’un IRM a été effectivement réceptionné et remplacé par RMN ramené du chimie. Il est fort possible que l’IRM soit quelques part dans une clinique privé.
Le mal du pays y’a chez certaine catégorie sociale qui je ne sais pas ou ils avaient reçus leurs » religion » et de quelle type. Dans cette religion y’a pas la notion de vol, de meurtre, de viol, de détournement ,d’apostasie, ils font tout sans être prie d’un malaise de culpabilité.
surement pas de juifs..car le coran était catégorique
»nous avons prescris sur le dos des fils d’Israël que s’il tue comme il a tué l’humanité entière et s’il fera vivre comme il fera vivre l’humanité toute entière »
donc ce ne sont pas des juifs ni des arabes car ils ont a peu près le même gêne.
Vous aurez dû Mr. Djillali T. exposait votre réquisitoire-article au responsable de la recherche scientifique qui a déclaré lors de la conférence sur les Maths ( voir article « Les mathématiques… une école de rigueur pour développer l’esprit scientifique »Un événement inédit à Sidi bel abbes) c’est « pour créer des passions et susciter des vocations scientifiques ». Donc, si on croit ce responsable, les labos n’ont pas besoin de matériels pour fonctionner. Il suffit de quelques micro-ordinateurs, des programmes et le tour est joué: vous pouvez alors créer des génies scientifiques. Ainsi l’université ferait beaucoup d’économie car ce n’est pas la peine d’avoir ni gaz, ni produits chimiques, ni … ni..
Par ailleurs, pourquoi vous préoccuper sur le devenir de la recherche scientifique quand certains chercheurs sont passés maitres dans la fraude pour se confectionner des diplômes sur mesure . sans en autre inquiétés. Vous pourrez constater que sans matériel scientifique , à l’UDL vous pouvez devenir Docteur Es science sans gaz, sans internet, sans matériel, juste un micro ordinateur et une imprimante pour tricher. ça c’est du génie scientifique!