« Les gens disent » il est intelligent parce que vous êtes de leur avis »J.Vallès
On peut discerner aussi et bien vite par la force, l’aptitude et l’intellection d’un peuple. La négation de la force passive, la grandeur de la ressource naturelle suivit par une agitation culturelle en folie ne mène qu’au désastre sociétal, par contre le positivisme de la force active est une lumière produite par ses enfants talentueux, qui portent le serment de leur savoir et savoir faire plus loin que leur sentiment égoïste et sait écarter toute sorte d’enfumage. Il semble que la vraie intellection est celle qui fascine profondément et impressionne de sa connaissance et son savoir et savoir faire allant dans le sens du changement vers le bien et le bien être. L’esprit situé au milieu des bancs de l’université algérienne, plein de vitalité révolutionnaire, le vécu du temps des années 70, avec la révolution agraire qui chassait la bourgeoisie terrienne ou féodale, elle ne pouvait avoir lieu à travers nos jeunes neurones, est emmené aujourd’hui à délaisser les idées nobles pour une servitude matériel afin se croire que l’ on devient un grand Monsieur.
Il faut rappeler que le propre de l’action de bien concevoir avec l’esprit positif est de susciter les questionnements trouver la voie salutaire vers la résolution des problèmes qui se posent, de les identifier, de les évaluer, et de les préciser par une connaissance exacte avant d’être juste et vraie ; se sont ces causes du mal qui rongent l’inertie de cette ressource humaine d’un pays comme le notre.
Il semble que les êtres humains équipés d’une parcelle intelligente puissent se mettre au service de la stupidité pour survivre dans un environnement pétri par la stupidité des médiocres.
Dans cet environnement incohérent, l’intelligence apparait comme un mirage au milieu d’un désert. Par principe l’intelligence doit se manifester et briller en même temps dans l’obscurité afin de tester sa vitalité et sa pertinence, elle était bien presente hier sur les bancs de l’université. Alors si d’intelligence et le génie des ressources humaines sont mises au service de ce bled, qu’ils pensent une bonne fois pour toute de cesser de se soumettre plutôt aux bons principes de vie qu’ aux stupidités des incompétents et médiocres, ils peuvent et pensent peut être porter l’éclairage de leur connaissance, de leur génie de leur intelligence de leur savoir plus loin pour la réussite professionnelle au profit du bien être de la société.
La réunion, le groupement et l’union pour une convergence de vue de l’intelligence, du génie et de la connaissance dans un cadre organisé et réglementé ; la nature de l’état de fait se soumettra par la force de leurs lumières, ces rayons effaceront certainement la faim, l’insécurité ( peur) et donc l’injustice.
Il faut bien rappeler que la ou il ya de l’intelligence, du génie et de la connaissance ; il y a forcement une vision, une stratégie, une méthode, une démarche, une volonté, un leadership, un Zaim et une organisation administrative technique, politique, culturelle, sociale et économique pour conduire le pays sur de véritables rails pour la mise en œuvre des transformations positives que se soit d’ordre sociale, économique et culturelle pour le bien être de la population d’aujourd’hui et d’avenir pour ce bled meurtri.
« Chaque génération se croit plus intelligente que la précédente et plus sage que la suivante ». G. Orwell
Dans un pays comme l’Algérie ou la stupidité déshumanise au nom de la précarité sociétale qui instaure de nouvelles règles ou il faut fournir plus de travail inutile (médiocrité) pour la survie. Un changement radical à commencer par les perspectives pour nous guider à faire face à la transformation autrement de la vie de notre quotidien savoir faire un coup de phare pour mieux avancer dans la nuit.
Dans ce contexte ou le dénuement tend à se faire une place dans le société et s’impose en tant que modèle qui produit plus de mal pour le peuple et plus de bien pour les riches ; ou le bien va vers les riches et le mal se colle aux pauvres sans aucune résistance ; cette situation ne pourrait être absorbée que par une intelligence sorcière, car le génie n’a de sens que si et vraiment si une assistance sans relâche permet de faire face à toutes les impostures et contre toutes les médiocrités pour retrouver cet ultime intelligibilité de l’être humaine qui se réfère à l’éthique ; unique référence de valeur universelle, de morale et de normes standardisées.
« La liberté individuelle n’est nullement un produit culturel » S. Freud
Le malheur qui s’abat sur nous ces temps ci ; comment est-on arrivé a ce que les génies se soumettent devant les médiocres et les incompétents riches par la triche et puissants par l’impunité une seule force capable de faire cela : c’est l’argent bien sur !
Les incompétents et les médiocres se prennent pour de hauts intellects et de grands génies car ils sont aidés par un environnement de larbins propre à eux celui qui vénère la médiocrité et la stupidité au nom du profit de ce petit oligarque .
Il faut dire que le mode de vie en général en Algérie en particulier est modelé par un management culturel, politique,économique,éducatif social et entrepreneurial, malheureusement, il est secoué par ce phénomène ou l’incompetence prime et la médiocrité cristallise encore plus ce phénomène par des effets néfastes; dans tout cela, s’ajoute au syndrome hollandais un syndrome dit de « PETER ».
Le principe ou encore le syndrome « Peter » est formulé par une loi empirique qui permet juste de constater la prise de pouvoir au niveau hiérarchique des institutions de toutes les structures sociétales par des incompétents. Ce syndrome né du despotisme est formulé ainsi :
*une situation née du système despotique, qui lie de façon relationnelle les incompétents qui se prennent par leur poste à des génies et les vrais compétents qui se voilent par un marchandage suborné pour vendre la médiocrité des incompétents pour de l’intelligence afin d’assurer l’ascension au pouvoir au nom de leurs propres intérêts.
*cette piste permet de démasquer l’imposture culturelle (culture de la chitta) pour tisser des liens solides entre la politique, l’économie ( oligarchie) pour préparer les noces de cette alliance.
* cette situation générale qui sévit dans l’ensemble des lieux communs (institutions de l’état), il est difficile de bousculer l‘inertie et surtout la paresse qualité des médiocres et incompétents) qui ne prête pas du tout au changement.
Il n’est pas du tout facile de s’investir autrement dans le but de réduire le bordereau de l’indigence qui clochardise nos institutions d’état, ceci nécessite pour finalité une intelligence qui booste le développement positif sur l’ensemble des secteurs d’activité de l’état et d’éliminer les médiocres et incompétents qui ne cessent de faire des promesses insensées par la force de la « chitta » et c’est peut être avec le « Hirak » une révolution du sourire arrivera de faire de la 2ieme république un etat de droit ou seule la compétence serait une valeur de mérite.
C’est une forme de critique directe sans voile à nos hommes politiques, et à nos premiers décideurs ; il est clair que le contexte politique, économique culturel et sportif…. Se prête bien sans aucun complexe à la comparaison avec d’autres contextes qui nous dépassent dans le sens du rationnel, de l’intelligence, de l’efficacité et le comportement de notre génie entrepreneurs. Les éditorialistes d’une certaine presse qui se sustentent de la rente en utilisant le moyen de bien brosser( Chitta), c’est une imposture qui nous fait voir une stabilité politique et économique comme signe d’excellence alors que l’absence d’innovation économique, culturelle et sociale fait défaut.
Il existe bel et bien de jeunes talents algériens qui ont préféré la fuite vers d’autres cieux (forme de Harga- fuite des cerveaux- fugues…) , mais ce système despotique préfère un médiocre et estime un incompétent pour assurer une continuité politique ou la corruption et le statu quo politique social et économique se manifeste par une politique d’exclusion comme gage de stabilité des institutions existantes. Certains économistes à ordre ou a sous se sont mis à faire des projections de croissances négatives à partir de discours et de la mise en place d’un discours nouveau dont le contenu est : des mots et du vent.
Disant le clairement et nettement que peut produire un contexte politique, économique, social et culturel nageant au fond de la bureaucratie soutenu par l’irresponsabilité, par des accointances politiques, administratives et mafieuses bénéficiant de la complicité des responsables de l’ensembles des institutions de l’état ou la règle de droit est ignoré pour le lambda et surpassé pour le si « flène ».Ce système est protégé par une impunité modelée par la stérilité et la dépendance de l’institution judiciaire.
Par conséquent, la logique de la chose nous amène à ce que cette institution de droit est mise au service des incompétents sinon de la médiocrité, autrement par une imposture des incompétents se prenant pour une intelligence de la culture qui permet de stabiliser le système despotique ou le pauvre malheureux encaisse tous les maux sociaux.
C’est une véritable scénette relaté par certains medias médiocres, car l’incompétence des politicards qui sustente le soit disant succès des faux génies, certains éditorialistes qui savent déguiser le mal en bien, ou encore les nouveaux érudits et certains doctes universitaires faisant le troc du savoir pour la vente d’un module à un faux étudiant. Par conséquent, il faut se demander sur l’avenir des médiocres et des incompétents patentés et reconnus de tout bord.Tant qu’il existe dans un système despotique badigeonné par une démocratie de façade ou la dictature reste cacher par derrière être présentée par une cour, un cabinet noir qui utilisent de véritables hauts techniciens du mal constitués par de brillants universitaires doctorants et des cocheurs de cases incapables de concevoir la construction d’un modèle politique ou économique à succès avec du vent, de l’eau, de la terre et du feu.
« Moins le blanc est intelligent plus le noir lui parait bête ».A. Gide
. Car la politique de « chez nous » reste, de toute évidence et de tous les espaces et dimensions, la partie visible de l’iceberg de l’incompétence et de la médiocrité. C’est l’arbre qui cache la forêt où poussent toutes les mauvaises herbes qui ne vivent que des arbres colonisés par la pourriture.
Qui est compétent quand les repères sont désaxés ? Alors nous nous contenterons, de soulever des questions pour nous ramener à nos malheurs et tenter de comprendre pourquoi nos génies et nos doctes universitaires ne peuvent rien proposer pour stopper le mauvais triomphe des incompétents alors qu’ailleurs ils se font valoir. Pourquoi n’y a-t-il pas de révolte des génies contre les incompétents qui, en plus de se faire passer pour des surdoués, triomphent partout, alors que se sont les lambadas qui font la révolution en un « Hirak » de sourire..
Au vrai, le constat est longtemps établi : en politique, en affaires, dans l’éducation, dans la culture, dans les finances dans les administrations ce sont les médiocres qui mènent la barque . Il se peut qu’il yait une capitulation volontaire des génies qui expliquent ces faux succès individuels.
, Aujourd’hui un président mort vivant qui n’a pas soufflé un mot à son peuple, il est souffrant et malade à la fois et sa maladie est notoirement connue par le commun des mortels sauf par l’institution habilitée à semer le mal en pire, a été porté à la candidature du 5iem mandat pour les présidentielles. Et le fait, curieux, on cherche encore les génies qui avaient courageusement protesté et dénoncé cette forfaiture. Bien au contraire, le nombre de ceux qui se sont tus par opportunisme ou qui se sont faits serviteurs volontaires, par solidarité crapule, est infiniment plus nombreux que les intérêts en cour. Celui qui nous a promis de rendre Mascara semblable à San Francisco va encore nous promettre des simulacres.
Mais cela n’a pas empêché à de brillants universitaires, d’imposantes sommités littéraires et de prestigieux talents culturels, tous des génies dans leur genre, de se soumettre à l’incompétence de son ministère et se sont d’éminents artistes comme Ouled El Bahja, Ania Tanis ou une Rania Meziane qui ont bouleversé les esprits des lambadas capable de bouleverser l’ ordre établi.
Face à cette absence étrange de contestation de notre élite, on est en droit de se demander qui est intelligent et qui ne l’est pas dans un pays où tout est sens dessus, sens dessous ?
Dans un pays où les faux génies se proposent volontairement à la servitude des médiocres, comment reconnaitre et identifier l’intelligence ?Est ce par :
* Par un titre, un diplôme ?
*Par l’expérience, par l’emploi ?
*Par les publications en folie de culture ou autres ?
*Par les accointances culturelles, politiques…. ?
* Par les distinctions honorifiques ?
*Par les explorations d’études ?
Comment reconnaitre un génie d’un médiocre, quand génies et médiocres appartiennent au même réseau de la désinformation, de l’inculture et de l’enfumage et agissent solidairement pour leurs propres et uniques intérêts destructeurs par interférence du despotisme ?
Qui n’est pas incompétent, quand chacun contribue à structurer l’écosystème médiocre en défendant sa zone de confort, en complicité avec les réseaux de corruption pour une meilleure déliquescence du contexte en général ?
* Combien de génies travaillent pour une entité administrative ou économique puissante mais non moins incompétente, puisque tous les indicateurs montrent que seule la corruption marche dans ce pays ( « Ragda ouat mangi ») ?
* Combien de génies sont des cadres techniques influents ou experts nationaux dans un projet national sans valeur ajoutée et sans culture de progrès ?
*Combien de génies servent comme consultants dans les cabinets privés ou publics dont le fonds de commerce est l’arnaque ou l’escroquerie, puisque faisant affaire avec les mêmes politiques médiocres cas des médecins spécialistes( du public au privé pour un sous de plus)?sans mentionner les oligarques de l’import-import.
*combien d’éminents universitaires se font serpiller, insulter, humilier, tandis que d’autres rampent, dansent et couchent pour sauvegarder un poste de ministre non ministrable, de directeur général soumis ou de consultants gracieusement rémunérés, il faut être prudent pour ne pas confondre intelligence et titres académiques, prestation culturelle indigente ou enfumage fonctionnel.
L’intelligent ne doit être pas considérée comme une sorte de malice, d’être plus roublard, plus habile. Nous vivons dans un contexte ou l’intelligence n’est pas cotée et ne peut être revendiqué la ou la prolifération des diplômes coïncide avec la prolifération des ordures et de la saleté à tous les échelons de la société et de la vie ?
pour terminer on ne peut pas être un génie et un intelligent compétent et s’adapter à un écosystème dans lequel la corruption, la prédation, la saleté, l’incohérence, la mal vie, passe droit, l’injustice, « hogra » , « h’arga »…. Triomphe pour que reste ce système à succès médiatisé par la rente de l’ANEP.
Le mot de la fin attention de l’eau qui dort , ce peuple algérien ressemble fortement à ce liquide indispensable qui dort pour un temps, l’autre temps il « reve -olutionne » l’ impensable pour chasser le médiocre et l’incompétent qui nous a fourré dans de sales draps.
H. Boumediene disait :Certes, il est possible à un gouvernement de tromper son peuple durant quelques temps, mais ce peuple fini toujours par prendre conscience de toutes les supercheries et par dénoncer tous ceux qui ont abusé de sa confiance et exploité ses nobles sentiments » H. Boumediene 18/ mars/76 Tiaret.