Citation de Stefan ZWEIG in « La guérison par l’esprit « page 22,
» DE MÊME QUE LA NATURE D’UNE VAGUE EST DE VOULOIR SE DÉPASSER , LE PROPRE D’UNE IDÉE QUI ÉVOLUE EST DE RECHERCHER SA FORME EXTRÊME «
Pour la seule envie de faire l’actualité ou de s’exposer dans les réseaux sociaux à tout rompre, des vermines de la parole inutile se font un malin plaisir de briser , aujourd’hui , ce qu’ils ont adoubé ou adulé , encore hier. Plus ils se font de la photo du podium de l’association en constitution , un affichage de leur notabilité . On ne sait qui leur a conféré cette soudaine notoriété , en même temps qu’ils se font les chantres de l’opposition en entretenant une vague rumeur assassine et destructrice à l’encontre d’une démarche novatrice qui se veut rationnelle et cohérente , pour viser un statut plus conforme aux ambitions d’une CITÉ que son HISTOIRE NOUS LE RAPPELLE FIÈREMENT , en étant finaliste d’une certaine COUPE D’AFRIQUE DU NORD dont on ne parle pas assez à notre goût . Pire , ils pensent nous convaincre qu’ils chérissent ce sigle de l’USMBA en étant tout à la fois , les JUDAS ET LES APÔTRES D’UNE CAMPAGNE de nature à désorienter les soutiens naturels dudit SIGLE .
Introduire une certaine rationalité dans la gestion du club , en espérant un SAUT QUALITATIF , n’est pas un slogan élaboré pour satisfaire on ne sait quelles envies de pouvoir , ou de quels desseins politiques , c’est au contraire un louable sacrifice pour défier les conservatismes de certaines chapelles passéistes qui rongent notre FOOTBALL . L’initiative prise et objectée dans le communiqué en question va dans le sens de la sagesse et de la tempérance suscitée par une gestion trouble et irresponsable , dénaturant ainsi le prestige et le passé vertueux de toute une VILLE . C’est du reste ce que prétend atteindre le chroniqueur de » YA SAHBI » dans sa production de ce mardi 29 mai 2018 .
Oui c’est nécessaire d’aller prôner la VERTU et de faire le procès d’un professionnalisme , à la VA-VITE ou plutôt à la SAUVE-QUI PEUT , mais il fallait nous éclairer sur le COMMENT corriger une trajectoire qui nous mène actuellement et irréfutablement à l’impasse : TOUJOURS PLUS DE MOYENS POUR MOINS DE RESSOURCES. Il ne suffit pas de parler du mal , YA SAHBI , il faut l’identifier sans complaisance , et à notre humble avis , IL FAUT PASSER PAR LA PREUVE D’UNE POLITIQUE PLUS CONFORME À CE QUI SE FAIT AILLEURS .
Notre football à besoin d’une révolution copernicienne , les hommes doivent être à la DIMENSION DE CETTE PRÉTENTION , les petits soins d’urgence sont du ressort des dispensaires de quartiers délaissés . Quel que soit l’éducateur qu’on veut déifier , cela ne serait jamais la PANACÉE , c’est l’organisation structurelle et organique des clubs qu’il nécessaire d’asseoir . Sans patrimoine et ressources propres, sans respect des lois fiscales et sociales , sans contrôle stricte et rigoureux des objectifs des CLUBS, COMMENT OSE-T-ON , NE SERAIT QUE CHUCHOTER le mot de PROFESSIONNELLE ,alors que nulle équipe n’en approche la définition.
Laissons de côté l’aspect morale et l’éthique qui voient des managers de JOUEURS diriger ÉTONNAMMENT des CLUBS et plus encore les élire au conseil de la FAF (ÊTRE JUGE ET PARTIE NE LES ÉMEUT APPAREMMENT PAS) . Les déboires comme les succès ne viennent pas de nulle part , c’est le résultat d’un travail tenace , planifié , réfléchi et intelligemment planifié .l’IMPROVISATION par définition , CIRCONSTANCIELLE EST À BANNIR POUR ESPÉRER AVANCER, sans faire CAS des OISEAUX DE MAUVAISE AUGURE ET DES « EMPÊCHEURS DE TOURNER-EN -ROND .
« Se résoudre à la raison , ce n’est pas se déjuger! »
ABDELHAMID ABDEDDAIM
Pour animer les spectacles sportifs et particulièrement dans les confrontations de BASKET-BALL aux USA , la coutume c’est de faire égayer les spectateurs par une animation artistique de groupes usuellement appelés , les POM-POM GIRL .Ces groupes se produisent dans les intermèdes des spectacles . La coutume se généralise . C’est ainsi que la chorégraphie millimétrée des POM-POM girls Nord-Coréennes fait sensation . Et pourquoi ne pas s’inspirer de ces spectacles agréables à voir , multipliant de plus les spectateurs , pour que notre EL KHADRA PUISSE FAIRE DE MÊME , elle dispose au sein de ses FANS DE RÉPUTATION DE DANSEURS QUI FERAIENT SENSATION ET INNOVERAIT EN LA MATIÈRE . ÇA POURRAIT ÊTRE les » ALAOUIS BOYS »
Si je comprends bien vous vous inspirez de ce qui fait l’actualité dans la toile . C’est vrai , le ton était donné par le don naturel d’une danse suggestive exécutée à la perfection. C’est cela qui vous fait dire qu’il y a matière à créer un groupe d’animation , à l’image DES POM-POM GIRLS , qui accompagnerait l’USMBA , ça pourrait porter le sigle des « » ALAOUIS BOYS « », couleur locale en somme.
Ould Amer
Rien c’est le contraire de tout c’est évident . Et pourquoi nous faire admettre une réputation d’un acteur sans jamais l’avoir apprécié sur une scène de théâtre . Le paradoxe chez,nousdans les confins de la MÉKERRA , on pense que les FORTS-EN-GUEULE SONT AUSSI LES PREMIERS DE CORDÉE . L’Epreuve du temps doit séparer le SON DE L’IVRAIE . SE DÉHANCHER POUR UN DANSEUR C’EST NATUREL , mais le faire avec une harmonie et élégance , c’est autre chose qu’un amateur. Il y a des dons qu’il faut savoir exploiter. Et que vive EL KHADRA.
Secouer le cocotier pour avoir son jus. Tel est le conseil que je donne aux fans d’EL KHADRA . Les touche-à -tout on les connaît , ils sont partout et nulle part . On les a vu se déhancher sur la toile, va donne l’impression de les avoir vu naître dans le rythme effréné de la danse exotique. Ça oui il faut le reconnaître . AILLEURS LEURS DONS EFFLEURENT LA MALADRESSE . À tout vouloir , c’est comme un GLOUTON , il finit par être congestionné.