Le docteur BOUDALI Med président de la conférence nationale des doyens des facultés de droits ex doyen de la faculté de droit de sidi bel abbes dans une interview exclusive pour répondre à certains propos diffamatoires qu’on lui a attribué injustement dans une édition médiatique s’inspirant d’une émouvante citation de sagesse.
« Si la vie te donne une centaine de raisons de pleurer, montre à la vie que tu as un millier de raisons de sourire » citation.
Bel-abbes info : Pourquoi cette citation docteur ?
Boudali Mohamed : « il faut admettre que la vie n’est pas totalement parfaite, c’est à la personne de lui donner une certaine perfection qui l’aide à surmonter les embuches quotidiennes durant son existence.La vie est un cocktail de ce qui plait et ce qui déplait dans un contexte de cohabitation naturelle entre le bien et le mal.
Il n’y a pas un monde unique de bien ou de mal, en d’autre terme un monde parfait. Le savoir vivre s’avère de ce fait un art, un outil à créer un équilibre, le contraste sera engagé en notre profit et savoir quand rendre avec usure pour effriter la source du mal. Par sa complexité, la vie devient par divinité une vraie école d’apprentissage qui rend chevronné l’être et l’aide à connaitre le mal et s’en éloigner, et connaitre le bien et en faire autant afin d’assurer un contre poids positif dans son savoir gérer de sa propre vie ainsi que de ce qui l’entoure.
Sauf que dans tout cela, on ne peut nier ni éloigner la faiblesse de l’être humain devant parfois un enchainement de panoplie d’atrocités lancées injustement à son égard. Certains disent du bien de ma personne, d’autres n’en disent que du mal Certains m’aiment, d’autres me haïssent, la vie est faite ainsi, chacun est libre de ses sentiments tant que cela reste loin de l’offense qui dérange les libertés de l’autre. Cette liberté est préservée par le code pénal dans son article 296 qui pénalise toute personne auteur de diffamation.
Mais rien n’empêche après tout de continuer sa vie de puiser de la richesse de cette complexité et se donner cette force de surpasser certaines emphases que l’expérience de la vie par bonheur a dévoilé sa nuisibilité pour la santé morale et physique ».
BAI : C’est fantastique ! Cela inspire une force morale impulsive… mais il y’a quand même de l’insinuation dans cette citation, comme si vous avez envie d’ajouter énormément de choses ?
BM : « Oui, je vous comprends. Vous faites allusion de votre coté à ma réaction qui a tardé malgré ce qu’on a rapporté dans certains journaux sur ma démission de mon poste de doyen de faculté de droit et des sciences politiques et le pire m’impliquant d’ignominie et de propos infâmes que ni mon éducation encore moins mon instruction ne me l’auront permis, d’ailleurs c’est la raison qui m’a fait réagir aujourd’hui afin de mettre un terme à ce libertinage injurieux ».
BAI : Vous faites allusion à quoi au juste ?
BM : « C’est clair je crois, on a écris des articles de journaux sur ma démission et chacun avait décortiqué cette nouvelle à sa manière sans que je sois mêlé de prêt ou de loin avec l’information. Certains journalistes respectent la déontologie et l’étique de la profession. L’information a connu un élan extraordinaire. Les gens en demandent d’avantage à être au courant de tout ce qui se passe. C’est un passage dans la vie de la société, je le comprends et je n’en veux à personne ces écrits pourvu qu’ils ne portent aucune injure à mon égard ni portent atteinte à ma dignité ».
BAI : Et qu’est ce qui vous fait réagir maintenant ?
BM : « J’ai appris par certains de mes amis et collègues qu’on a fait un démenti au quotidien OUEST INFO, apparu aussi au journal électronique SBA INFO sur des propos que j’aurais dis au journaliste auteur d’un article publié le 02/01/2014 abordant les raisons de ma démissions qui, d’après ses propos graves ont relations avec mes collègues professeurs de la faculté de droit.
J’ai cherché l’article aux archives sur le net, je les lu et franchement j’étais stupéfait de l’écrit du journaliste. Il donnait la certitude que c’était moi qui lui ai fait ces confidences alors que je ne le connais même pas et je n’ai aucune relation avec lui. C’est une diffamation qui contient des propos graves qui m’incriminent directement devant L’UDL autant que structure suprême de savoir et devant mes amis et collègues que je connais depuis un bien bout de temps. De toute façon ce journaliste en prendra l’entière responsabilité. Je n’ai jamais fait de pareille déclaration grotesque à ce journaliste, d’ailleurs je ne l’ai jamais connu et il va répondre de son acte dépourvu de toute déontologie en application des lois qui régissent la diffamation notamment son article 92 n° 12/05 qui régit la déontologie de la profession du journaliste ».
BAI : Pourquoi vous n’avez pas agit tout de suite par un démenti ?
BM : « Je vous le répète encore une fois, je n’ai jamais vu cet article, Je ne suis même pas la presse quotidiennement, je suis plutôt trop pris par mon travail qui m’exige plus de présence. C’est à travers le démenti de mes collègues professeurs apparu à OUEST INFO dans son édition du 28/01/2014 que j’ai appris auprès de certains amis plus proche cette catastrophe. J’étais étonné d’être blâmé sévèrement de mon geste par mes amis, un geste dont j’ignorais totalement le comment ni le pourquoi. Maintenant que je l’ai su je vais saisir le journal OUEST INFO par un démenti, j’ai le temps jusqu’au 2 février 2014 ».
BAI : à propos, sans indiscrétion, quelles sont les raisons qui vous ont poussé à déposer votre démission ?
BM : « Incroyable ! Je respecte votre fonction de vous mettre à l’apport de l’information mais certaines révélations comme vous venez de les appeler demeurent du ressort du secret de famille. Ma vie privée ne concerne que moi. Pour bien laver mes mains et reposer mon moral qui m’a suffisamment intrigué depuis se différend gratuit qu’on m’a créée par une édition mensongère. Je n’ai de problème avec personne ni avec mes collègues dont certains que j’ai enseigné encore moins avec monsieur le recteur que je lui souhaite du fond du cœur toutes les chances de réussir dans sa mission qui est loin d’être un plaisir ».
BAI : Autres choses que vous désirez ajouter ?
BM : « Profitant de cette occasion, je remercie d’abord votre journal qui m’a permis jusqu’à l’heure de trouver du repos moral en faisant ces confidences qui pesaient lourd sur ma conscience. Cette fausse affaire, produit d’une fausse déclaration d’un journaliste que je n’ai jamais rencontré, m’a vraiment mis dans l’embarras devant mes collègues que je ne pouvais même pas regarder en face. Je suis disposé à aller maintenant coude à coude jusqu’au bout avec mes amis de la faculté de droit et des sciences politique juste pour prouver mon innocence de tout ce qui m’a été collé injustement d’infâmes, d’ingrats et de licencieux à ma personne. Je voudrais enfin rappeler sans rancune aux auteurs ou l’auteur du démenti apparu au journal OUEST INFO dans son édition du 28 janvier 2014 que répondre à une diffamation par une autre diffamation constitue en elle-même un délit de diffamation réprimée par l’article 296 du code pénal dont l’auteur peut être esté en justice».
Djillali Toumi