Le manque de sérum à la maternité punit davantage les patientes

L’institution hospitalière en obstétrique gynécologie “MATERNITE” rue Abbane Ramadane prolongée  à Sidi Bel Abbés vit depuis plusieurs Semaines l’impact de perturbations sporadiques majeures et de protestations des patientes face à l’absence de sérum dans les différents rayons de la pharmacie de l’enceinte.

Les médecins  procèdent d’après la source, à l’affichage d’un programme chirurgical habituellement supervisé par le personnel médical pour des périodes indéterminées. La patiente alors se voit séjournée à attendre l’*inattendable*. Sachant la date des interventions, les patientes attendent impatiemment le jour où leurs douleurs disparaissent, mais vainement. La clef de l’énigme de l’absence des étalages de la pharmacie de l’état, du sérum fait ajourner sans cesse ce rendez-vous de rêve pour ces malades qui implorent une intervention urgente des autorités. M. le chef du gouvernement pourtant a bien dit le contraire et que les médicaments sont disponibles.

Les médecins ce trouvent égarés devant cette situation grave qui engendre des tortures impensables qui peuvent causer même la mort de ces pauvres femmes. Ce qui contraint à chaque fois par manque de cette matière indispensable de signer des autorisations de sortie de dizaines de malades par peur de complications qui incombent des responsabilités dont le personnel traitant a affreusement peur. Ces femmes sont en train de souffrir. Qui est alors responsable dans ce cas de non assistance à des personnes en danger de mort ?

Des sources médicales ont souligné que ces patientes nécessitent au moins quatre doses, en fonction des pratiques médicales, mais le manque total de cette substance vitale a mené le personnel médical à se décharger de cette grande responsabilité en faisant évacuer les patientes qui attendaient une intervention chirurgicale en mesure de les délivrer de leurs douleurs  atroces. Pire, par manque de sérum et par peur d’endosser des responsabilités, ces patientes sont mises dehors livrées à leur chagrin et leur souffrance qui n’en finissent pas aussitôt. Surtout celles dans un état particulièrement grave.