Dans son édition du 23 octobre écoulé, Ephraim Batambuze III signale sur le site web spécialisé des TICs que de nouvelles études ont révélé que le marché des services gérés par le « cloud » en Afrique du Nord devra augmenter de 1, 35 milliard de dollars US en 2015 à 3, 25 milliard en 2020, soit un TCAM de 19,1 % au cours de la période de prévision de 2015-2020.
« L’étude de marché est incluse dans le rapport intitulé, « Marché des services du « Cloud » de l’Afrique du Nord pour certains types de services (Services aux entreprises, Services de réseau, les services de sécurité, services du centre des données, services de mobilité) – Prévision Globale de 2015 à 2020», publié par MarketsandMarkets.
Le rapport sur le marché définit et segmente le marché sur divers sous-segments de déploiement des services, les utilisateurs finaux, verticaux et les pays avec une profonde analyse et les revenus prévus. Le rapport du marché des Services gérés du « cloud » en Afrique du Nord identifie également les indicateurs et les contraintes du marché régional avec des indices sur les tendances, les opportunités et les défis.
Les organisations à travers le monde s’informatisent dans tous les aspects des transactions commerciales et de la structure de l’organisation pour être en mesure de se maintenir dans la compétition.
Une entreprise peut économiser de l’argent tout en augmentant la productivité et en gardant son infrastructure informatique constamment surveillée par une partie dédiée, en parallèle , elle se concentre sur ses zones productives de base. Ainsi, les services gérés assureraient aux entreprises d’être à l’abri des pannes, de l’entretien et la dégradation des infrastructures.
Les tendances qui accompagnent l’introduction des technologies du « cloud » ont finalement réduit les coûts des investissements des entreprises au cour des dernières années. Les services gérés par le « cloud », aujourd’hui, garantissent une gestion des affaires des entreprises sans problème de réseau, de sécurité, centres de données, et de mobilité.
Les prochaines années verront une intensification des réformes politiques, économiques et sociales dans les pays tels que l’Algérie, l’Egypte et le Maroc.La croissance résultante orientée dans divers secteurs industriels est susceptible de permettre aux fournisseurs des services gérés pour répondre aux besoins croissants des organisations opérant dans le pays.
Divers multinationales sont fermement établies au Maroc et recrutent à la base de grands talents du pays tout en profitant de sa proximité avec l’Europe pour créer un excellent environnement et soutenir le travail des entreprises européennes à des tarifs compétitifs.
Les tendances en matière des TICs dans la région suggèrent une adoption accrue des technologies et des services du Cloud par les PME en raison d’une influence grandissante de la zone euro.
Le marché régional des services du « cloud » des PME-PMI européennes et de l’Afrique du Nord croît à plus de 25 milliards USD en 2015 avec un TCAC de plus de 25-30%. Ainsi, le marché du cloud des PME-PMI dans la région pourrait être classé comme un marché émergent.
Les investissements de capitaux étrangers en Afrique du Nord ont augmenté de 10 milliards USD à 26 milliards USD en 2015. Ce facteur pourrait être un indicateur majeur de la portée accrue des TIC dans la région et la nécessité émergente des services gérés dans les pays d’Afrique du Nord.
Ce rapport d’étude du marché des services gérés par le « Cloud » en Afrique du Nord analyse les tendances régionales d’adoption, une future croissance potentiel, les perspectives concurrentielles, l’écosystème du marché et de la valeur de la chaine du marché.
Le rapport analyse la taille des marchés et les prévisions de revenus dans différents pays tels que le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, et le reste de l’Afrique du Nord (Egypte et Libye).
MarketsandMarkets prévoit que le marché des services gérés par le cloud en Afrique du Nord passera de 1353,4 millions de USD en 2015 à 3 248,8 millions en 2020, avec un TCAC de 19,1% au cours de la période de prévision de 2015 à 2020. »
Traduit par A. JABLI