Un refrain interminable, à la limite de l’ébahissement. Les bilans successifs en ‘’chiffres’’ de différents délits des services de la police de chaque mois étonnent vraiment. L’on pense qu’il y’a un centre de formation de délinquants. Chaque mois des centaines de personnes impliquées de délits sont arrêtées par les éléments de la police. Qu’est-ce qui cloche en fin ?
L’on dit que toute chose a une fin. A quand une fin de cette source ? Les délinquants sont-ils d’un nombre bien précis pour conclure à un moment donné que la société sera guéri un jour de ce’’ malaise’’ qui déstabilise les repères de la société et menace d’une manière ou d’une autre l’économie, la politique et la culture par l’instauration du doute, l’insécurité et la peur. Comment guérir de cette pathologie chronique qui ronge sans cesse la structure toute entière de la pyramide du pays, sachant que rien désormais ne fonctionnera sans une sécurité réelle, moteur de ressources pour le développement du pays dans tous les secteurs.
Les bilans sont bénéfiques, jusqu’à preuve dune exploitation à bon escient. Ils sont une cartographie qui permet de se positionner vis-à-vis des chiffres pour apporter d’éventuelles mesures de redressement ou rectification, ou encore des améliorations afin de sortir du cercle des défaillances et erreurs répétées.
Les bilans sont limités à de simples chiffres sans aucunes importances qui font plus sujet d’efforts immensurable des services de la police que d’inquiétude politique. Aucun organe étatique ne s’y intéresse pour en faire un outil d’étude pour trouver des remèdes avenir, et alléger les maux qui enflamment chaque fois d’avantage notre société, infectant de la sorte les autres composantes notamment culturelles, politiques et économiques.
Ce mois de septembre 2015, un autre bilan des services de la sûreté de sidi bel abbés vient de faire ressortir d’autres……, l’on ne sait pas si l’on devrait les considérés victimes ou les inclure avec le flux de maux de société. Leur nombre s’accroit sans limite et verse tout droit dans les prisons comme ultime solution incontournable. Un itinéraire incertain qui penche plus vers la ‘’bombe à retardement’’.
Après la 1ére école de la délinquance pour différentes causes dont le chômage en tête, l’erreur pour certains, viendrait la spécialisation durant les séjours en prison. Plus âgé, non confiant, incertain, moins chanceux dans l’insertion dans la société et sans travail, l’homme libéré est plus, un outil d’amorcement de la bombe, qu’un remède aux déférentes plaies causées à l’unité et à l’intégralité sociale.
350 individus ont été impliqués ce mois de septembre dans 313 affaires de droit commun dont 163 mis en détection préventive, pendant que le reste patauge dans les procédures de la citation directe. Un vrai dilemme. Le pays a besoin de chacun de ses enfants. Il a plus l’obligation de les protéger que de les guetter, sachant que la majorité des causes de cette délinquance revient des obligations de l’état et pouvoirs politiques.
Ce nombre est comme à chaque bilan reparti sur les affaires de délits contre les individus, contre les fonds et les biens, contre les biens publics ainsi que pour des délits de drogues, et dont les nombres sont respectivement de 110, 132, 57 et 14. Les individus impliqués sont de l’ordre de 138 personnes dont 40 MD, 118p dont 61 MD, 70p dont 42 MD enfin 24 personnes dont 20 MD. Le reste a bénéficié des procédures de la citation directe.
Par ailleurs, la police a réussi a réalisé 154 opérations d’intervention entre inopinées et programmées. 624 vehicules ont été contrôlés et 1.913 individus ont été étudiés dans leur état, 64 avérés impliqués dans des affaires de crimes et 38 mis en détention préventive.
Djillali T