Le travail non déclaré prend de l’ampleur à Sidi Bel-Abbes

0 Comments

 

Qui parlera au nom de ces pères de familles travaillant au noir dans des cafés, entreprises, chez le privé, etc,  et, sans la moindre assurance !  

En effet à travers le territoire de la Mekkera , des centaines voir des milliers d’ouvriers, perçoivent un salaire en deçà des espérances (et sans assurance). Chose qui rend difficile leur quotidien. A l’instar d’autres villes du pays, le travail non déclaré touche bon nombre de personnes et constitue par conséquent l’une des questions d’intérêt commun en matière d’emploi. Selon certains, le principal attrait de l’économie informelle est de nature économique car ce type d’activité permet aux employeurs, aux salariés et aux travailleurs indépendants d’augmenter leurs revenus ou de réduire leurs coûts en échappant à l’impôt et aux cotisations sociales.

Ceci explique que le travail non déclaré peut avoir un impact considérable sur les finances publiques du fait des pertes qu’il implique en termes de recettes fiscales et de cotisations sociales.

Lors de notre enquête, les non déclarés, ont tenu a déclaré, en gardant l’anonymat crainte de leur patron, la nécessité des responsables du secteur concernés de diligenter une enquête afin de les insérer dans le cadre formel. Seul comme tient à souligner un ouvrier, une stratégie globale ciblée, permettra de lutter efficacement contre le travail non déclaré.

Face cependant au travailleur non déclaré et qui est beaucoup plus exposé aux risques professionnels qu’un salarié, une opération de contrôle rigoureux est efficace pour dévoiler cette exploitation…sans commentaire.

Related Posts