Les bandits de grands chemins de retour

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Un sexagénaire a été victime d’une agression la semaine écoulée.  La victime faisait de l’auto-stop le soir sur la route de mascara à la sortie de la ville pour prendre le chemin en direction de la commune de Tilmouni. Trois individus sur une voiture express désuète selon son constat lui ont proposé de le déposer en route.

Sans vigilance, plus pris par le seul désir d’être emmenée, la victime n’a pu ressentir aucun mauvais feeling de ses personnes. L’homme monte dans la carrosserie et un échange de dialogue commença pour le rassurer d’avantage.  La victime devait descendre au rond-point du douar Zaaouna pour continuer son chemin vers Tilmouni.  Un coin désertique qui a facilité le coup des bandits sur leur victime qui ne prêtait aucune attention.

L’un deux avança rapidement pour lui ouvrir la portière de derrière, et dans un moment d’inattention quand la victime a tourné le dos son agresseur lui assena un coup brutal avec un marteau au derrière du crane au niveau de l’os pariétal. La victime raconte qu’elle d’abords chavirée avant de perdre totalement conscience.  L’homme fut fouillé et totalement dépoussiéré de sont portable, de son argent, de sa pièce d’d’entité et d’une formule de cheque qu’il portait avec lui dans ses poche, ensuite fut abandonné, heureusement en vie.  À son réveil, il s’est dirigé vers les services de sécurité pour déposer plainte.

Le transport dans plusieurs directions n’est pas assuré de manière respectable. Les propriétaires en totalité, privé commencent et terminent à leur guise proférant un affront sans précédent au règles de la convention avec la direction du transport. Le service public pour eux c’est une autre pair de manche. Vers 18h et 19h,  parfois même avant le transport vers les directions de Sfisef, Telagh, Tenira, Boukhanefis, la ligne de Ain El berd, Sidi lahcen et autres se fait vraiment rare. Des hommes et des femmes de tout âge se trouvent coincés à la sortie de la ville dans les différents ronds points et rues. Des endroits non sécurisés et parfois non éclairés du tout multipliant le risque du danger de ce genre.

La loi dans ce contexte, sans contredit, l’Algérie n’a rien prévu, du moins à notre connaissance.  Cela s’ajoute bien sur au libertinage de la fonction de transport, ou plutôt, de préférence l’anarchie qui règne dans le secteur sans que personne n’est des ‘’démangeaisons’’ de remord. Contrairement à d’autre pays la loi en vigueur limite les endroit de stop pour bien assister le citoyen par assistance sécuritaire permanente et un souci qui évolue en permanence avec le danger qui l’entour

Cet acte de banditisme sur les autostoppeurs avait surgi une fois auparavant. Des bandits de la route activaient en particulier sur les routes pendant les journées de marché de bestiaux. Une victime avait fait l’actualité. L’homme a été embarqué au niveau de l’intersection de la commune de sidi Khaled à proximité du douar de Habbara. Les agresseurs vêtus en habits de circonstance, afin de ne pas attirer l’attention, lui ont aussi proposé de le prendre avec eux sur leur chemin, prétendant  y ailler aussi pour se ‘’chauffer les poches’’, comme ont-ils coutume de dire.

Djillali T

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