Les Brèves : Un homme décède en pleine chaine et un cadavre découvert à Sidi Brahim

Un homme meurt dans un bureau de poste à Sidi Bel-Abbès
IL FAISAIT LA CHAINE POUR RETIRER SON SALAIRE

Un homme meurt dans un bureau de poste à Sidi Bel-Abbès
Un homme âgé d’une quarantaine d’années est décédé des suites d’une crise cardiaque au moment où il faisait la chaine dans le bureau de poste de la commune de sidi Yagoub daïra de Sidi Lahcen pour retirer son salaire a-t-on appris de sources concordantes. C’est durant la journée qui a précédé la fête de l’aïd marquée par une forte pression sur les bureaux de postes que le drame a eu lieu .le corps inanimé du défunt a été transporté au service de médecine légale de l’hôpital de Telagh et une enquête a été ouverte par le brigade de la gendarmerie de la localité .pour rappel le même drame a eu lieu la veille de l’Aïd el Fitr où un retraité est décédé dans les mêmes circonstances dans le bureau de poste de sidi Lahcen.
D.Med
Lundi 7 Novembre 2011
Réflexion
*********************************************
Découverte macabre à Sidi Brahim (Sidi Bel-Abbès)
Un cadavre d’une femme a été découvert le premier jour de l’aïd dans un vieux château situé dans la commune de sidi Brahim à une dizaine de kms à l’est du chef lieu de la wilaya .selon les premiers éléments de l’enquêté diligentée par la gendarmerie la femme était âgée d’environ 45 ans et aurait succombée à des blessures dans ce vieux château où elle résidait ont signalé nos sources d’information .l’enquête suit son cours pour lever le voile sur les circonstance de ce drame .
D.Med
INFO OUEST-Reflexion
*********************************************
Sidi Bel-Abbès :Le mouton égorgé pour 1.500 DA à l’abattoir
15 foies et 38 abats jetés

Dans la matinée du premier jour de l’Aïd El Adha, nous nous sommes rendus vers midi, à l’abattoir municipal de Bel Abbés, afin de s’enquérir du travail de la permanence vétérinaire. Comme l’année passée, les deux inspecteurs vétérinaires, Mme Chabba Nawel et M. Semmah Mohamed, étaient au service du citoyen. Ce sont donc des dizaines de citoyens belabbésiens qui se sont rendus à l’abattoir municipal, sis au boulevard Issat Idir. Munis de leur viande et autres parties de leurs moutons sacrifiés, ils demandaient l’avis des deux vétérinaires, dès la découverte d’anomalies sur des organes.
Rencontré sur le lieu, le docteur Semmah Med nous affirma sa disponibilité vis-à-vis du citoyen, qui a vraiment pris conscience du danger quant à la consommation d’une viande non contrôlée. D’autant plus que service est rendu gratuitement aux habitants de sa cité. Il nous révéla, qu’il venait de détecter plusieurs organes impropres à la consommation. Il nous cita les 38 abats jetés, ainsi que 15 foies et 38 poumons. Quant aux gens qui ne savent pas égorger, ils ruaient vers l’abattoir pour un service qui a pratiquement doublé, par rapport à l’année passée, de 800 à 1.500 DA l’opération, y compris le dépeçage. On comptait pas mois de soixante (60) moutons égorgés à l’abattoir.
M.Bekkar
******************************************************************
Les dossiers de financement des pépiniéristes bloqués depuis janvier 2006 : Le programme de plantations compromis à Sidi Bel-Abbès
Le retard considérable accusé par l’administration agricole et les agences bancaires dans la régularisation des factures de prestations (fourniture d’équipements, d’intrants et de plants agricoles) est devenu des plus préoccupants pour de nombreux opérateurs privés intervenant en amont du secteur agricole. Dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès, la situation
est telle que l’asphyxie inancière qui en est résulté a contraint certains à mettre la clé sous le paillasson et envisager même le changement d’activités en dehors du secteur agricole. C’est le cas notamment de plusieurs pépiniéristes agréés qui assuraient jusque-là l’essentiel des approvisionnements en plants fruitiers et permettaient aux services agricoles de maintenir un niveau de plantation
en rapport avec l’échéancier et les objectifs de réalisation de leurs différents programmes de développement arboricole.
L’un de ces opérateurs locaux,Frihi Ali en l’occurrence, s’est présenté au bureau de La voix de l’Oranie pour faire part de ses vives inquiétudes quant à «la récurrence de ces contraintes de financement qui tendent à hypothéquer les efforts immenses consentis par l’état dans le cadre du développement de l’agriculture». Il ne manquera pas de s’interroger surtout les motifs réels qui ont fait que, dans le seul cas de sa pépinière, les prestations couvertes en fourniture de plants arboricoles divers (oliviers, pommiers,poiriers, pruniers, pêchers…),évaluées à près de 140 millions de dinars, n’aient pas été régularisées depuis 2006 par l’administration agricole et les banques locales concernées.Pourtant, fera-t-il observer,toutes les pièces exigées par ces deux organes ont été joints aux dossiers de régularisation.» Il citera notamment les procès verbaux de constatation des  bureaux d’études «agissant dans le cadre du suivi des projets d’investissement du PNDA», l’attestation phytosanitaire de l’inspection de la protection des végétaux et des contrôles techniques « attestant que la matériel végétal des plants mis en terre sont conformes aux normes phytosanitaires et phytotechniques ixées par la réglementation en vigueur » et les attestations de service fait (ASF) signées par les représentants des services techniques agricoles… «Des années durant, sans disposer de ressources autres que des fonds propres ou le recours à des emprunts  extérieurs, nous avions ini, par nous retrouver au bord de l’asphyxie inancière et courir ainsi le risque de geler toutes nos activités et surseoir même à tout investissement nouveau dans le secteur…Voilà la réalité des faits telle que nous l’avions vécu sur le terrain. »
avouera notre interlocuteur avant de lancer un appel en direction des pouvoirs publics pour souhaiter une une intervention diligente de leur part afin,dira-t-il, de « lever cette préjudiciable contrainte  financière menaçant l’avenir d’un grand nombre d’unités d’appui au secteur agricole, et par voie de conséquence celle de milliers d’emplois permanents et saisonniers.»

A.ABBAD
***************************************