Sidi Bel-Abbes : Le manager de la JSM Skikda agressé à l’arme blanche par un supporter
Le manager de l’équipe de la JSM Skikda a été agressé, vendredi après-midi, à l’arme blanche et transféré vers les UMC du CHU de Sidi Bel Abbés où il reçoit jusqu’à l’heure actuelle les soins nécessaires. Guidoum Hocine, quinquagénaire, ancien joueur de la JSM Skikda et actuel manager de l’équipe, a été agressé par un supporter de son équipe suite à la défaite de cette dernière devant l’USMBA, à deux buts contre un. Cette défaite a fait rétrograder l’équipe visiteuse à la division Nationale 2, ce qui a déplu aux supporters skikdis. Après l’annonce de la fin du match, l’agresseur s’est introduit dans le vestiaire et a donné au manager de l’équipe un coup de poignard au niveau du thorax, le laissant gisant dans son sang. Sans l’intervention rapide des éléments de la police, la victime serait comptée parmi les morts. Rappelons que le match s’est déroulé au stade 24 Février 1956.
Fatima A.
L’Echo d’Oran
SIDI BEL-ABBÈS :Les travailleurs de l’ex-Safa Dahra de Sfisef sans salaire depuis 7 mois
Le retard des salaires, évalué à sept mois, à l’entreprise régionale  Génie Rural (ex-Safa Dahra) de la pépinière de Sfisef provoque la grogne chez l’ensemble des travailleurs. C’est dans une pétition que  l’ensemble des employés affirment que ce retard qui se répète depuis des  années, les épuise de plus en plus. Pourtant la direction générale avait promis à ses employés que les  versements de leurs salaire serait régulier. « Une chose qui est loin d’etre réelle, » ont souligné les  contestataires.il faut rappeler que les années passées , cette  entreprise avait connu une série de mouvements de grève suite au retard  de versement des salaires. Les travailleurs lancent ainsi un cri de détresse vers les responsables  concernés.
S.Derraz
LA VO
Sidi Bel-Abbès :Journée de sensibilisation sur le diabète Cette maladie incurable qui frappe fort
Une journée de sensibilisation sur le diabète a regroupé à la salle  omnisports du stade Adda-Boudjellal de Sidi Bel-Abbès, un grand nombre de diabétiques, des citoyens, des praticiens de la Maison du  diabète et les représentants de l’association « Errahma » des diabétiques de la ville de Sidi Bel-Abbès. Cette rencontre avait pour  objectifs d’apprendre aux diabétiques adultes et enfants présents à  vivre avec leur maladie, se préserver contre les complications en  suivant un régime alimentaire, suivre les conseils du médecin traitant,  éviter le traitement par les herbes et pratiquer quotidiennement le sport. Concernant les citoyens non diabétiques, les spécialistes ont  tenu à leur conseiller d’éviter de fumer, de pratiquer le sport  et de passer un examen médical périodique afin de se préserver contre la  maladie. Car, diront ces spécialistes, « 10% de la population ignorent toujours qu’ils sont atteints du diabète, et qu’une moyenne de 3  personnes sont atteintes par semaine d’une hyperglycémie.
Fatima A.
extrait LA VO
Sidi Bel-Abbès :La Journée mondiale de lutte contre la désertification célébrée à Bir El H’Mam
C’est à Bir El H’Mam, chef lieu de commune pastorale du sud steppique  de la wilaya de Sidi Bel-Abbès, qu’est revenue, cette année,  l’organisation de la “Journée Mondiale de la lutte contre la  désertification et la sécheresse”. Le programme élaboré à cet effet, a permis aux responsables de la Conservation des forêts de la  wilaya de mener ainsi une série d’actions de sensibilisation en   direction de la population locale concernée au plus haut point par les effets néfastes de ces deux phénomènes particulièrement insidieux. Le constat établi il y a de cela six ans par les spécialistes  sur l’état de l’environnement, était des plus alarmants et il le  demeure encore. Des arguments inattaquables sont avancés à l’appui de cette thèse, à savoir l’apparition étrange de plantes steppiques dans la plaine au nord et d’importants dépôts de sable au sud de la  wilaya qui sont autres que les signes avant-coureurs de la  désertification qui s’installe dans la wilaya de Sidi Bel- Abbès… Selon les mêmes spécialistes, le processus de dépérissement de la steppe  alfatière remonterait à 1971, année au cours de laquelle la culture de  l’orge a été introduite pour la première fois dans la pratique culturale  en milieu steppique. « Ce sont les labours illicites entrepris à partir  de cette date, fait-on observer, qui ont accentué significativement le  phénomène de désertification jusqu’à le rendre en certains endroits  presque irréversible. L’ampleur du désastre est telle aujourd’hui que le couvert végétal naturel, constitué essentiellement de nappes alfatières, a été presque complètement modifié en sol  labourable par certains agro pasteurs avec la complicité active ou  passive, (c’est selon) des élus et responsables locaux. » « D’autres  facteurs induits par le phénomène de la désertification, sont venus à  leur tour aggraver encore plus la situation » souligne-t-on encore. Les études consacrées à ce phénomène, confirment que ces facteurs ont un  caractère écologique (les vents de sable qui viennent dans les zones  épargnées jusque-là par le phénomène), social (de nombreux agro pasteurs, ayant perdu leurs capitaux du fait de la sécheresse, sont  venus s’agglutiner autour des principaux centres urbains des Hauts  Plateaux steppiques) et économique (le potentiel d’alimentation fourni  jusqu’alors par les parcours est en train de disparaître).  C’est pour  dire que la situation est devenue très critique pour nécessiter,  aujourd’hui plus que jamais, une prise en charge intersectorielle réelle  de cet écosystème steppique extrêmement fragilisé par l’action  conjuguée de l’homme et de la nature… Pour que la désertification ne soit jamais plus perçue en Algérie comme une inexorable fatalité.
A. ABBAD
LA VOIX
Sidi Bel-Abbès : Le foncier à Merine, un véritable casse-tête
A Merine, 60 km au sud de Sidi Bel-Abbès, l’opération de  régularisation foncière tarde toujours à être rétablie, a-t-on appris  d’une source technique sûre. Elle est devenue plutôt un véritable  casse-tête dans la vieille cité, bâtie sous l’ère coloniale et appelée communément « douar » par la population locale. Dans cet ancien quartier, toujours selon notre source, où les habitants attendaient un  dénouement  heureux à leurs problèmes fonciers, 175 dossiers viennent d’être l’objet de rejet administratif établi conjointement par  la Conservation de Sfisef et l’Agence foncière de Télagh. « Cette  décision pour le moins inattendu, nous a grandement surpris », déclarent  des chefs de familles non sans déception. Il semble, selon un chef de  service technique de la daïra de Merine, que le rejet en question est dû  à de petites anomalies susceptibles d’être corrigées dans les tout prochains jours, après une révision approfondie des  dossiers par les mêmes services concernés. Les acquéreurs sont donc  appelés, conclut ce responsable, à faire preuve davantage de rigueur et  de patience avant que l’acte de propriété ne leur soit délivré.
M. NOUI
LA VOIX
