Mesures d’interdictions de labour et de pacage dans les zones steppiques
Par K .Benkhelouf
De source bien informée, nous apprenons, qu’une commission mixte de daïra pour la protection de la steppe, vient d’être installée, tout récemment dans la daïra de Marhoum, ville située à 110 km au sud du chef lieu de wilaya de Sidi Bel Abbès. Ladite commission est composée de plusieurs membres de l’exécutif local, à savoir des représentants de la daïra, de la commune, de la gendarmerie nationale, d’agents de la conservation des forêts, de l’agriculture et de représentants du haut commissariat de protection de la steppe. Toujours, selon notre source, cette commission, a comme seul objectif principal, la lutte contre les labours aléatoires, l’agriculture inadaptée et les sur-pâturages entrepris ces derniers temps, dans cette zone steppique par des bandes occultes d’exploitants furtifs, agissant pour des intérêts communs.
Il y a lieu de signaler, que ces vastes étendues sub-arides sont devenues par la force des temps, par une forme de marginalisation, des espaces défavorisés, ayant subi un processus de dégradation continue qui a contribué par conséquent à l’avancée alarmante du désert et aux déséquilibres écologique et climatique. Nous retiendrons, que les enjeux en matière de contrôle de la steppe étant purement politico-économiques et environnementales, la dite commission sitôt installée, est systématiquement passée à l’acte. Ainsi les 20 premiers P.V auraient été signifiés, par les agents forestiers et 10 autres par la gendarmerie nationale, aux contrevenants originaires du chef-lieu de daïra et de Bir Hmam, depuis le lancement de la campagne « labours-semailles ».
Des sorties mensuelles inopinées, préventives et de dissuasions, sont programmées et devraient s’étendre à toutes les zones steppiques, telles que Oussra, Jahfa, Khouifra, Srir et El Mekmen, qui sont devenus des sites de dépassements à outrance, nuisant à la faune et la flore et contribuant à l’avancé du sable.
si il ya urgence c’est normal il faut agir toute de suite..mais sur le long terme sachez que le mouton n’est pas une espèce endémique de l’Afrique et de l’Afrique du nord c’est une espèce introduite en Algérie des régions asiatique nordique froide. le mouton a beaucoup de laine et de graisse adapté aux pays froid..les bovins eux étaient endémique a l’Afrique. leur mode d’alimentations sont différents. il faut contacter les ingénieurs agronomes pour pouvoir savoir la différence entre les bovins et les ovins et la faire une politique national sur la base du milieu.
il ya deux méthode pour affronter un problème désastreux . il ya ceux qui dressent des mur contre un flux d’eau désastreux, et ya ceux qui exploitent les points faible du flux le canaliser et le transformer en flux productif. ici nous sommes dans le premier état..ce qui manque chez nous c’est l’observation avant l’action nous sommes encore dans l’État impulsif , vite il réagit et travaille a contre coup. coup par coup coup contre coup , il faut se calmer et laisser l’oeil observer et la tete analysée..