C’est l’homonymie de ce ministre d’un gouvernement sans peuple qui a attiré ma curiosité. Rien à craindre , c’est dans la continuité des travaux du SDECE que ce gouvernement fantoche se déploie pour semer le trouble en ALGÉRIE . FERHAT MEHENNI, qui en est le Fondateur et président est un piètre chanteur, sans public, est un enragé qui milite pour la partition de l’Algérie dans une vision ethnique que même les chantres de la prime colonisation n’avaient osés ÉCHAFAUDER .
Peut-être faudrait -il lui rappeler un brun d’histoire de la colonisation , période au cours de laquelle, un certain GAMBETTA, fondateur de la III ème République et Néanmoins Président avait tenté ce travail fractionnel, en commençant par n’autoriser que les seuls kabyles à l’immigration en France, à la suite de la débâcle de la guerre de 1870. Cette expérience a été de nouveau utilisée en 1914, sans grand succès, loin s’en faut.
La trahison finira indubitablement vers l’avilissement même si FERHAT MEHENNI continue à s’égosiller à gorge déployée dans les enceintes que lui auraient indiquées ses bailleurs, nostalgiques d’une ALGÉRIE DE PAPA. La tentative d’évangélisation confiée à LAVIGERIE, dans cette même région est un autre aspect d’une politique mûrement réfléchie par les JULES FERRY et autre ST ARNAUD , qui n’ont eu de cesse d’expérimenter toutes les facettes de LA DIVISION et de L’ALIÉNATION d’un peuple.Ils ont même envisagé l’extermination de l’indigène, bien avant que les BOERS , n’en prennent exemple en NAMIBIE.LES KABYLES n’ont-ils pas été les plus solidaires et les plus grands fidèles alliés de l’Émir ABDELKADER
Abdelhamid ABDEDDAIM
Merci beaucoup , c’est subtil aussi , un président négligé dans sa mise, avec une semelle trouée préfigure du sérieux de sa cause qui manque totalement de consistance .Qu’il aille solliciter une bourse du pays d’accueil, pour au moins parfaire le solfège qui donnerait plus d’harmonie à une musique jusqu’alors sans originalité et partant sans âme . On ne fait pas un nom , monsieur FERHAT MEHENNI en reniant son camp , au plaisir d’une usurpation de l’histoire que personne n’ose aujourd’hui contester . Un président de rien ne peut espérer satisfaire son désir de vengeance , nourri par une cause qui ne tient par rien et sur rien .