La visite la semaine écoulée, du ministre des ressources en eau, M. Necib Hocine à Sidi Bel Abbes,s’inscrit dans le cadre des dernières recommandations gouvernementales pour une prise en charge effective et rigoureuse de toutes les régions touchées par les dernières inondations ou qui présentent un risque d’inondation. Des recommandations fermes ont été instruites pour dégager une stratégie nationale en vu d’épargner les villes et populations des catastrophes naturelles découlant de ces inondations.
Ce que semble ignorer probablement M. le ministre, c’est que Sidi Bel Abbes qui figure parmi les 700 sites menacés par les inondations et recensés en Algérie, a déjà bénéficié d’un premier programme qui lui a permi de gérer ces inondations en construisant un canal artificiel long de 11,7 km mais malheureusement transformé en égout à ciel ouvert en raison du déversement des eaux usées provenant des deux nouvelles cités (Souas et Enie) construites récemment. Ce canal qui absorbe le surplus des crues de l’oued Mekerra est aussi un rempart contre toute inondation venant du sud et sud-est, comme celle de 1997 ayant entraîné des dégâts matériels et humains considérables le long de la route de Mascara, il est dit que cette inondation survient chaque centenaire.
Bref, si les menaces des inondations venant de l’extérieure de la ville sont écartées, reste le problème majeure des canalisations sous-dimensionnées du réseaux des eaux usées de l’intérieur de la ville et particulièrement celles des cités Makam Echahid, Bab Dhaya et Madina Mounaoura qui ne parviennent plus à absorber les fortes pluies torrentielles comme observé lors des récentes inondations conjugués au manque d’entretien criarde de ce même réseau découlant des regards et avaloirs bouchés que la population continue de dénoncer. Il faut dire que les opérations et campagnes ponctuelles de curage n’ont jamais été exécutées convenablement et rigoureusement mais seulement pour aplanir la colère des habitants, touchés par ces inondations sinon comment expliquer qu’il existe encore une centaine d’autres points d’avaloirs à nettoyer.
Avant l’arrivée du ministre sur les lieux,la semaine passée, il a été relevé une intense opération de nettoyage du lit du canal. Suffit-il de nettoyer le canal artificiel pour les besoins de la visite sans pour autant trouver une solution à ces canalisations qui continuent de déverser leurs eaux dans ce canal qu’on a désigné étrangement de « Oued Mekerra » même après le départ du ministre. L’on se rappelle que la même opération a touché l’oued Mekerra proprement dit, c’est à dire celui qui traverse la ville d’Ouest en Est, il y a une quinzaine d’années tout en procédant à l’élimination d’un grand nombre de jetées des eaux usées et en construisant parallèlement des grandes canalisations longeant l’oued jusqu’à sa sortie Est de la ville, à la cité Boumlik.
Aujourd’hui, dix ou quinze ans après, on revient à la case départ, on déverse les eaux usées des deux nouvelles cités de 1500 logements dans le canal et étrangement on parle de « nettoyage de l’oued » au ministre et d’avancer que cela nécessitera une immense enveloppe comme d’ailleurs celle qui nous a permi de construire ce canal en 1998 et les déviations des canalisations du réseau qui déversaient les eaux usées dans l’oued Mekerra à cette époque.
Quoi d’étrange! et de la même façon qu’on vient de retaper à neuf et en un temps record d’un mois, une ancienne canalisation de l’époque coloniale qui servait d’acheminer un excès des eaux de crues de l’oued Mekerra vers le lac de Sidi Mohamed Benali alors qu’en 2002, le raisonnement était tout autre: il fallait construire une, toute neuve qui vient ironie du comble, d’être coupée récemment et momentanément pour raison de travaux de construction d’une station de relevage, c’est dire que parfois l’argent du contribuable, est jeté par la fenêtre!
sur la photo la difference est criarde. l’ancienne et surelevé du sol et la nouvelle au ras du sol. et l’ancienne ne fonctionnait qu’a 20% de sa charge maximale pourquoi en construire une nouvelle??Il fallait demandé a ceux qui ont fait projet leurs problématique de l’époque..si on constate sociologiquement parlant qu’a l’arrivée d’un minsitre le travail marche bien, et bien le constat sociologique est vite fait..on ne peut adampter la situation a nous même mais s’adapter sur les données du terrain georgraphique et au aussi social. les europeens aiment bien avoir des algeriens dans certain terrain et les algériens aiment aussi avoir des chinois en algerie. t’a des algeriens
de nature locale débrouilles toi. si tu a fais génie génétique vas y fait la modification. tu ne peux rien faire au microprocesseur de Intel donc tu ne pourras rien faire face au microprocesseurs humains…il en a des milliards diffrents les uns des autres..Dieu avait tout son temps des milliards d’année lumière avant de le concevoir..donc ne soyant pas des prétentieux en voulant changer les choses en fonction de nos désire. dans les années 90 on avait un ordinateur sans souris au MSDOS c’est tout ce qu’on avait a l’époque, ce n’est parceque il ne te conviendra pas que tu souhaite maintenant le Windows..tu le veux comme ça allez changes le ou utilise le avec ces tas de plantage c’est tout ce qu’il ya mais tu peux fabriqué un avion avec un crayon puisque ça était déjà faite. ne demande pas un superordinateur pour fabriquer un avion ou une bicyclette, la tu esquives la projet ou te donnes aux apparats au chiki.. entouré par le high tech mais rien ne se crée.. C’est du chiki
avec le minimum le disponible on peut faire de choses merveilleuse