Pauvre petite France supplétive orpheline d’un maître “prévisible”

Incroyables ces “nations” subalternes qui se soumettent pieds et poings liés à un maître au lieu de se remettre debout, de s’affranchir de ses chaînes qu’elles se sont “librement” infligées et de décider souverainement de leur destin.
Et madame vient pleurer dans le giron de ses troufions parce que l’Empire traite son pays selon son bon plaisir.
Il est vrai que si son patron ne va pas à Davos, parce que le peuple de France menace de rééditer le raccourcissement des rois inauguré un 21… janvier 1793, il n’oublie de dérouler à Versailles le tapis rouge pour implorer les entreprises étrangères de venir investir son économie.

De quoi hésiter entre se rouler par terre de rire ou ouvrir une boîte de mouchoirs et l’offrir à des voisins dans la panade parce que leurs “élites” ne sont plus à la hauteurs de leurs charges.
Ne vous ai-je pas invités amis et compatriotes à une charitable et miséricordieuse compassion envers eux?


Djeha,L. 21 janvier 2019

Florence Parly inquiète de l’imprévisibilité américaine

Reuters, mardi 21/01/2019 à 23:06

PARIS (Reuters) – La ministre française des Armées, Florence Parly, s’est inquiétée lundi de l’imprévisibilité de l’administration américaine, soulignant la nécessité d'”alliances solides” et d'”alliés faibles”.

S’exprimant à l’occasion de ses voeux aux armées, elle a mis en garde les Etats-Unis contre “un retrait précipité” de Syrie qui “ne gâche pas nos espoirs de victoire et de paix”.

“Au Levant, le territoire de Daech est réduit à peau de chagrin. Dans les prochaines semaines, la poche d’Hajine (dans l’est de la Syrie, près de la frontière irakienne-NDLR), dernier bastion du pseudo-califat, sera complètement libérée”, a déclaré la ministre.

“Mais bien naïf celui qui pourrait crier victoire. Daech n’est pas mort. Ses combattants changent leurs méthodes mais sont prêts à toutes les exactions. (…) La propagande continue, aussi, et se répand comme un poison dans certains esprits”, a-t-elle poursuivi.

Dans cette période, a estimé la ministre des Armées, “nous avons plus que jamais besoin de multilatéralisme, d’alliances solides et d’alliés fiables”.

“Mais aujourd’hui, quand je pense à certains de nos alliés, je me rappelle une phrase de (Pierre) Desproges: ‘La seule certitude que j’ai, c’est d’être dans le doute.’ Les décisions américaines sont parfois… peu prévisibles”, a-t-elle ironisé dans une référence implicite à Donald Trump.

“Des incertitudes pèsent sur le soutien pérenne des Etats-Unis à l’Otan, qui reste le pilier de notre défense collective. Quant au Royaume-Uni, avec lequel nous nous employons à maintenir une relation de Défense solide, le brouillard qui entoure le Brexit ne cesse de s’épaissir et paralyse le pays.”

(Sophie Louet, édité par Henri-Pierre André)