Il y a eu naguère l’opus méconnu de l’allemand Thomas Oppermann, 1959 (Le problème algérien: trad. F. Maspéro, 1961, 315p.)
Voilà l’histoire et l’actualité algérienne vue sous un angle anglo-saxon, par un universitaire de Cambridge.
Qui tente de répondre de manière un peu plus intelligente à la question « Pourquoi donc l’Algérie n’a pas connu de ‘printemps’?
Pour sortir des ronrons algéro-algériens dominés par une hégémonie intellectuelle francophile.
A lire.
A. B.