Quand l’Algérienne des eaux s’en fiche éperdument ! (Vidéo)

Que ça fuite, ça constitue un danger ou provoque des pertes considérable, l’entreprise de l’Algérienne des eaux de sidi bel abbés s’en fiche éperdument. Sensée se charger de la gestion de l’eau, elle roule complètement de travers. Le comble, la réaction les autorités locales reste inerte, sans énergie, et vraiment d’un tempérament étrange. A la cité El Fourssen à sidi Djillali dans la ville des illusions, à croire vivre à petit paris, deux fuites déversent carrément à l’intérieur de la cité. L’eau, ne trouvant plus ou aller, elle finit par constituer une piscine à ciel ouvert proposant aux enfants du coin une opportunité ou s’adonner à la nage et au jeux.

Une fuite à l’entrée de la cité dure depuis plus de six mois (06). Elle a déjà fait l’objet de dénonciation à travers différent quotidiens nationaux. La trajectoire de l’eau forme déjà des algues et prend une couleur verdâtre et commence à dégager des odeurs impures. La deuxième, d’un débit plus important coule dessous d’un poteau électrique depuis 05 jours au milieu de la cité. Une vidéo a déjà fait le tour des réseaux sociaux mais que dalle. Les responsables au niveau de l’ADE sont complètement absent et sans âmes. L’absence de l’effet dissuasif et l’impunité semblent bien les garantir dans leur position morte et complètement irresponsable.

L’eau couvre tout le périmètre de la cité à l’intérieur. Les enfants profite inconsciemment de la fraîcheur de cette eau en ces jours de chaleur. Ils jouent et lavent les voitures de leurs parents à pieds nus et parfois complètement mouillés. Sans parler encore de la valeur de ce liquide ni de l’importance des pertes, le poteau de l’éclairage publique peut à tout moment provoquer une masse électrique, et tout le permettre se constituera en un danger potentiel si l’on prend en évidence que l’eau est conducteur de courant.

Djillali T