L’ Administration de BAI est au regret d’informer ses aimables lecteur(trice)s que des attaques et/ou accusations sans fondement parfois , à la limite de l’éthique ont curieusement pris pour exutoire l’UDL , BAI est fermement opposé à cet état de fait et s’interdit d’ouvrir la voie à ceux qui veulent en faire un dépotoir pour l’assouvissement de leurs desseins inavoués. Ainsi, Il est mis fin à ces commentaires. Nous espérons que la sagesse dominera toute vision étroite.
Salam Aleykoum,
La ville de Sidi Bel Abbes peut s’enorgueillir de posséder un journal d’information tel que le vôtre et j’ai pris personnellement le plaisir et l’habitude de le lire.
Néanmoins , certains commentaires dépassent les limites du respect que l’on doit à toute personne et à certaines institutions au service du citoyen algérien en général.
Partout , il y a des bons et des mauvais.
Dans ces commentaires , il y a incrimination de personnes dont nous connaissons les valeurs d’honnêteté et de probité ,mieux que quiconque , et à leur place nous sommes blessés.
Ce qui nous pousse un peu plus à nous éloigner de la lecture de votre journal qui se veut le nôtre.
Ces commentaires sont de véritables bûchers dans lesquels on brûle des personnes sans preuves et sans leur donner la parole.
Je salue donc votre décision de mettre fin à cet état de fait, tout en vous souhaitant de continuer à donner la parole dans une ambiance saine, objective ,constructive et surtout juste.
Je sais que votre travail est difficile.
Je vous précise que je suis en retraite et n’ai aucun lien d’intérêt particulier avec les personnes qui subissent des attaques gratuites,tout en sachant que seule la justice tranche dans les cas de délits avérés.
Veuillez trouver ici , l’expression de ma considération .
Dr Omar
J’allais ne plus intervenir dans cet espace de BAI comme Mme Le Cygne qui disparaît et se réfugie probablement avec Sidna Nouh dans son arche ( hi, hi, hi…) . Que Mme Le cygne m’en excuse pour cet écart.
Mais revenons aux choses sérieuses. Alger-newyork votre commentaire m’a incitée à revenir sur ma décision. J’adhère totalement à vos propos. Si nous parlons des scandales qui secouent l’UDL c’est que nous sommes très affecté(e)s de voir qu’elle part à la dérive. On ne veut pas de cela, ceux qui sont à l’origine de ces malversations doivent être dénoncés (et sanctionnés à la hauteur de la gravité de leurs fautes), c’est de notre devoir en tant qu’universitaire. Si nous avons évoqué, les diplômes de doctorat acquis avec du faux et usage de faux, avec du plagiat à la fac des sciences, c’est que nous avons des preuves irréfutables. Si l’administration universitaire n’a rien à se reprocher qu’elle réagisse par voie de presse, c’est son droit le plus absolu. Cela sera alors preuves contre preuves! Nous ne diffamons personne.
Si nous avons dénoncé les derniers harcèlements sexuels de la fac de sciences et celle de la fac de lettres c’est qu’il y a aussi des preuves irréfutables. Que les responsables de cette université rompent le silence comme l’ont fait ces jeunes personnes victimes qui ont crié haut et fort leur desarroi . Elles au moins ont eu le courage de briser les tabous. Oui, l’UDL est pourrie, les problèmes s’accumulent et il faut s’en indigner et ne pas se taire!
@Dr Omar
Qui est-vous? Vous êtes un enseignant? Si oui ayez le courage de vous identifier, sinon, le doyen de la faculté des sciences ou le recteur peuvent apporter des précisions officiellement en demandant le droit de réponse. Le journal appartient aux lecteurs et c’est grâce à eux qu’il a pris de la dimension. Nul n’a le droit de s’ériger en moralisateur, surtout ceux qui ont jeté l’information dans la rue. C’est au niveau des réseaux sociaux de Tabalbala à bousemghoune, que la voix militante s’élève contre les abus et la hogra. Effectivement, la présomption d’innoncence est acquise mais le débat est encore mieux pour lever les ambiguïtés.BAI est connu pour son engagement et sa sincérité quant au traitement de l’information.D’ailleurs, votre point de vue a été considéré à sa juste valeur pour le publier.Un avis à respecter ni plus ni moins. Votre réaction n’est pas fortuite, elle est bien indiquée.
@ Omar
Les petits ésprits débattent les personnes, les moyens débattent les évenements et les grands ésprits débattent les IDÉES.
Vous avez raison, des commentaires prénnent améreme l’allure d’attaques ad hominem outranciéres, des proces d’intentions et des jugements de valeurs….Sans quiconque a accuser et sans prendre la sage précaution de préserver a l’accusé le droit de se défendre et la présomption d’innocence..
Il faut dépasser la question de la personne que je trouve caduque sans pour autant sous-éstimer sa relevance dans l’évaluation de l’ampleur de dysfontionnement de nos institutions.L’UDL est un auditoire subverti qui n’a pas surgit Ex nihilo, dans un systéme de rente en pleinne décripitude, c’est ce systeme lá , qui a fait du copinage, népotisme des qualifications qui transcendent toutes les autres dans l’accés aux hautes fonctions qu’il faut interpeller si on éspere un jour déplacer le statu quo en faveur de la haute performance et refaire de nos universités des lieux de production de savoir.
tous les journaux en ligne ont des commentaires ouvert, le journal elwatan,
publient des commentaires.
dans la règlementation si une institution publique ou privé est cité dans un article
elle a le droit et le devoir de répondre.
ici la CNAS et la faculté des sciences ont été cité, pourquoi elles se taisent?
Normalement par obligation, la faculté des sciences et la CNAN doivent envoyer des droits de réponses dans les mêmes colonne ou l’article les citant a été publié…
si une institution ne répond pas c’est qu’elle n’est pas consciente de ce qu’elle est entrain de faire. si une institution se laisse oter du Manteau du respect que lui restera comme autorité?? RIEN..si demain un enseignant qui a été mêlé sans que son administrations porte des éclaircissement et demain tous les enseignants et fonctionnaire vont faire la prière du vendredi, tu trouves de tout dans la mosquée comment va réagir les uns vis a vis des autres??
C’est l’inconscience de l’amateurisme des fonctionnaires sans formations
et surtout sans FORMATION INITIATIQUE..