Alors qu’on célèbre aujourd’hui, la journée mondiale de l’eau, où tout un chacun devrait réfléchir que sera la planète « terre » demain ou dans cent ans lorsqu’elle sera désséchée de sa principale source de vie qu’est l’eau car faudrait-il le souligner , les précipitations ne sont plus comme auparavant et même si cette année on a eu le plaisir des chutes de neiges , le niveau reste bien loin en dessous des précipitations des années 60 et 70 où dans chaque coin de la wilaya existait un petit lac créé justement par les précipitations qui duraient presque trois mois et continuaient jusqu’au mois de mai et juin. Si dans plusieurs pays occidentaux , l’eau et sa gestion sont devenues le principal objectif à atteindre d’ici quelques décennies.Dans les pays sous-développés, l’on accorde moins d’importance à une gestion durable des ressources en eau par manque de sensibilisation et de vulgarisation de la population qui continue de déverser les produits chimiques et autres poisons dans les eaux usées sans tenir compte que cette eau pourrai être réutilisée après traitement rigoureux.Il suffit de se promener dans les ruelles de la ville de Sidi bel-abbes pour constater les dégâts immenses provoqués par les fuites d’eau à l’image des cités nord où à chaque dizaines de mètres l’on observe des grandes fuites lorsque les canalisations sont ouvertes .Le directeur vient de déclarer que ses services s’apretent à renouveler plus de 40 km de conduites et canalisations dans la ville et ses quartiers mais d’ici à la réalisation de ce projet ,des milliers de mètres cubes d’eau seront perdus, bien sur, il existe plusieurs villages dans les environs qui sont encore dépourvus d’eau potable et mènent une vie rude à se procurer de l’eau potable à l’image des 141 millions de personnes de l’Afrique Subsaharienne qui n’ont pas accès à l’eau potable.Pour les uns l’eau est devenu plus stratégique que le blé et autres aliments car sans cela , il n’y aurai même pas de quoi se nourrir.