De par les informations qu’il m’est arrivé de recueillir auprès des différents types de retraités que je côtoié un peux partout en ville, aux PTT lors des insupportables chaines lorsque nous encaissons nos pensions, dans les café de la « Tahtaha », assis sans consommer, contemplant, le regard vide, ce va et vient incessant du monde qui circule. Se que j’appelle sondage’(qui aurait pu l’être dans un pays émancipé) ou plutôt quête d’information qui s’effectue de bouche à oreille, devenu un « Tic » suggérant une vive préoccupation, voire une inquiétude de ces derniers pour « les misères » qu’ils perçoivent et l’avenir du système de retraite auquel ils sont liés, et dont une majorité d’entre eux demeure hostile à ces augmentations salariales dans le monde des actifs : Alors que la pension des retraités est véritablement « une peau de chagrin » qui semble ne pas intéresser grand monde. « Mais et que mais, ce monde qui demain gonflera le rang des retraités, est loin d’être inquiété par le problème, cela nous le savons malheureusement ».
Ce dossier révoltant, jauni et abimé, inscrit dans le registre des archaïques est pourtant de grande actualité. Il devrait dès qu’on le surnomme, à lui seul orienter et apporter un éclairage véridique sur le niveau de vie des retraités, sur l’évolution de la pauvreté des personnes âgées, sur celui du veuvage et de la pension de réversion allouée sans permettre la décence de vie aux orphelins et également ; sur ces personnes âgées qui sont face à la dépendance culinaire. L’ensemble de ces situations, et d’autre encore qui ne me viennent pas à la tète devraient être intégrés aux effets des différentes réformes des retraites, afin de permettre de mesurer le taux de pauvreté chez les retraités et de mieux cerner les évolutions que leur niveau de vie pourrait connaître dans les années à venir.
Si celui-ci s’est amélioré ces derniers mois, pour certain actifs, d’autres attentent encore et les retraités avec, le sucre d’orge occasionnel et conjoncturel, ne peut avoir un impact.
La situation des retraites en Algérie est préoccupante pour l’avenir, et les débats sont axés autour manquent d’énergie, ou que l’on ne tien pas à y mettre le paquet parce que cette frange de la société n’est pas habitué à s’exprimer et même si elle le voulait, elle n’aurait pas la force et les moyens, quand aux actifs Algérien, ils ne sont pas encore mur pour soutenir leur ainés, puisque eux ils ont été satisfait ou presque. Dans les pays qui ont pris conscience et se sont réveillé un peux plus tot que nous, ils réagissent des que de nouvelles mesures ont été annoncées, entraînant des grèves et de nombreuses manifestations. Ils sont comme un, le problème du vieux concernera le jeune, demain.
Au-delà de la diversité des solutions proposées pour assurer la pérennité du système Algérien de retraites, le constat commun est celui d’un déséquilibre financier à venir de grande ampleur. La raison principale en est une situation démographique défavorable : l’accès des classes d’âge nombreuses d’après-guerre à la retraite et l’élévation continue de l’espérance de vie contribuent à une inversion du rapport du nombre de retraités au nombre d’actifs. Or, dans le même temps, les entrées sur le marché du travail sont de plus en plus tardives, et les retraits d’activité, précoces..
Et ces situations dont on ne nous parle pas, lorsqu’elles émergeront, par la « vérité qui l’exige » seront plusieurs pas en arrière, alors que nous auront crevé d’attendre que l’on nous aère un peux….Et puis le temps passe…. Et les vieux les uns après les autres seront des « moins » Peut-être que je me trompe, aissi ! L’on se trompe tellement lorsqu’on est vieux et jeune retraité DE 62 ANS
(Même la Fédération des Retraité à qui se plaindre et auprès de qui s’organiser a n’est pas autonome, elle dépend dans ces prise de décision de sa maman l’UGTA)…Alors ou verser nos larmese, puisque chacun n’est pas berger de son troupeau…ou plutôt ,il n’y a qu’un seul berger….