Sidi bel abbès c’est toute une ville et pas que les quelques lieux attentionnés : Par K.Benkhelouf

Sidi bel abbès c’est toute une ville et pas que les quelques lieux attentionnés :

Par K.Benkhelouf

En effet, comme cela est répété très souvent par les citoyens, dans leurs commérages, dans les réseaux sociaux, la ville de Sidi bel abbès, n’est pas uniquement, certains de ses quartiers ciblés pour être propre à longueur d’année ou encore, le  boulevard de la Macta ou le centre ville, mais c’est également, les citées  de Beryalto, Gambetta, Benhamouda, Cité el Houria, le rocher et autres.

Ainsi malgré, les efforts qui sont engagés par les services de la commune et la DTP afin de  réhabiliter l’infrastructure routière de  la ville, certains exemples édifiant, laissent supposer, que toutes les routes n’ont pas fait l’objet d’inscription, tel que le cas de figure de l’artère parallèle à la voix ferrée,  séparant la cité du Rocher à Benhamouda, qui est mitoyenne à l’établissement scolaire « Benmaissa ». Une rue  entièrement délabrée, inondée, contraignant les  écoliers à traverser difficilement la rue et incitant les automobilistes soit  à faire le détour.

En circulant sur une route dégradée, par  rapport à une autre aménagée n’est pas acceptable pour le commun des mortels. L’on se rend compte que le maillage routier subi une dégradation progressive où aucune solution durable n’a été  trouvée à cette situation, qui affecte les personnes, contraintes de faire le pied de grue pour traverser la route embourbée et submergée d’eau pluviale, notamment en cette période de grandes précipitations. Et si les emprunter est un problème, pour le piéton et parmi eux les enfants et les personnes âgées, c’est aussi un véritable supplice pour les automobilistes. Quand à cette saison hivernale, ce  type de  rue, se transformer en calvaire avec les nombreuses flaques d’eau, ce qui appelle à une prise en charge.

Il faudrait que les  délégués de zone, des annexes de l’APC, au lieu de rester derrière un bureau, se donnent la peine de bien visiter, périodiquement, les zones dont ils ont, la responsabilité, pour recenser les insuffisances et les carences existantes, en matière d’aménagement, d’assainissement, de réhabilitation et d’hygiène, du cadre de vie, qui indisposent quotidiennement et sérieusement les citoyens, par le constat visuel désolant.