Aujourd’hui 23/01/2018 est un grand jour pour la population de la ville de Sidi Bel Abbes et particulièrement les habitants de l’agglomération de Sidi Djillali et leurs représentants, ils viennent d’obtenir gain de cause d’une longue bataille judiciaire qui a assez duré et a surtout fait couler beaucoup d’encre depuis plus de deux longues années ,il s’agit de cette esplanade traversant de parts et d’autres, toute l’agglomération de Sidi Djillali qui était dédiée initialement aux servitudes de la ville et appelée à devenir une sorte d’espace vert à l’image de ce qui est aujourd’hui MACTA I de la ville.
Il faut dire que cet espace d’environ une quarantaine d’hectares allait être bradé pour le dinar symbolique si ce n’était l’éveil de la société civile et particulièrement l’association de protection de l’environnement qui se sont érigées en un seul mouvement contre toute forme de bétonisation depuis qu’elles ont eu vent d’une nouvelle faisant état de sa cession à quelques promoteurs immobiliers par l’ancien Wali, dit-on (voir article sur BAI). D’autant plus qu’une loi protège les habitations individuelles et interdit toute construction d’immeubles mitoyens.
Les réseaux sociaux, relayés par la presse ont fini par faire changer d’avis le nouveau Wali et les élus locaux qui ont donné raison à l’association de protection de l’environnement en l’accompagnant administrativement dans une requête judiciaire. Aujourd’hui ,soit deux ans ou plus après, de bataille administrative, le tribunal administratif de Sidi Bel Abbes a tranché en faveur de l’association et par ricochet à la population de Sidi Djillali en annulant ainsi l’achat de parcelles qui allaient servir d’assiettes à de grands immeubles et qui devaient un jour faire sombrer toutes les habitations mitoyennes dans l’ombre et priver surtout leurs habitants de la jouissance d’un espace vert qui leur était destiné assurément dés les premières études urbanistiques de la ville d’autres parts.
En effet, il ya quelques années , des promesses ont été données aux riverains de cet espace long d’environ plus de 600 mètres sur 60 mètres , qu’il sera calqué sur les autres esplanades de la ville vu qu’il présente les conditions idoines pour devenir un espace vert en raison de sa position géographique. Les habitants y voyaient déjà des aires de jeux et d’autres commodités s’installer pour leur détente.
Mais qui pouvait croire, qu’un jour, l’ancien Wali HATTAB qui était,selon les défenseurs de l’environnement, l’auteur de ce qui est qualifié de bradage, fut choisi et récompensé moins d’une année auparavant, un certain 5 juin 2016,lors de l’inauguration du jardin public, pour être un fervent défenseur de l’environnement vu son attachement à l’écologie et l’intérêt qu’il accordait aux projets touchant ce secteur.
Aujourd’hui , toute la ville en parle, les réseaux sociaux s’enflamment et les journaux n’en finissent pas de dénoncer cet état de fait.
Il faut retenir que l’initiateur de MACTA I en l’occurrence le Wali Fehim, avait proposé en 2013, bien avant l’arrivée de M. Hattab à Sidi Bel Abbes, de faire de cette esplanade une image de Macta I lors d’une visite dans cette zone, d’où l’idée qui a germé depuis parmi la population d’y voir un jour leur esplanade devenir MACTA II. Et depuis ce temps, plusieurs médias n’ont cessé de dénoncer ce bradage à l’image du journal le Carrefour d’Algérie dans son édition du 23/07/2017 sinon bien avant par le quotidien local Ouest Info dans son édition du 10/01/2017 et signé par K. Benkhelouf qui avait ébruité en premier la chose. Bref, toute une histoire qui finit bien!
Une des premières vidéos de revendication datée du 2 février 2017 qui a suivi le reportage de notre ami Benkhelouf
Les règles d.une ville c.est les services. Les gens habitent les village de banlieue et l’espace de la ville est réserve pour le commerce et les bureaux. Ou vont s.installer les médecins les dentiste les laborentins les architecte les avocat les psychologue les pharmaciens les notaire les atelier de confection les urbaniste les bureau d.affaire les bureau d.étude les agence des banques de la poste..la ville n’est pas une résidence un dortoir c.est le rassemblement des activité pour abaisser le prix des prestations..un médecin ne peu s.installer dans un village car y’a pas beaucoup de malade si un médecin veut vivre il doit facturer la consultation sur le nombre de passion. S.il doit avoir au moins 3milions par mois et s’il reçoit que 10 malade par mois il doit facturer 3000 dinars la consultation c.est pourquoi les médecin avocat se rassemble dans une ville pour diminuer le prix des prestation car tous les village vont converger sur un seul lieu. Le médecin en faisant 100 malade par mois la consultation ne sera 300 dà par passion la même chose pour les autres..
Ici en Algérie tout fonctionne a l’envers. Les gens ne savent pas c.est quoi la genèse des s choses. Unwali qui mélange le tout espace vert maison individuel et urbanisme dite Professionnel et non social
El hamdou ALLAH.