La brigade de recherche de la gendarmerie nationale de Sidi Bel Abbès enquête depuis presque une année sur une grosse affaire relative à une arnaque de l’ANSEJ dont le préjudice financier causé au trésor public est estimé à environ 60 milliards de centimes, a-t-on appris de source autorisée.
C’est selon les premiers éléments de l’enquête qui suit son cours, une soixantaine de chèques remis par l’ANSEJ à de jeunes opérateurs qui sont allés directement renflouer les comptes de deux fournisseurs sans que le matériel ne soit réellement fourni pour les projets initiés par les jeunes. Les deux fournisseurs indélicats se trouvent actuellement sous mandat de dépôt puisque l’enquête menée par les gendarmes a réussi pour le moment à matérialiser une escroquerie dont le montant est évalué à 9,5 milliards de centimes. Une dizaine de jeunes acquéreurs de projets dans le cadre de l’ANJEJ ont après audition révélé aux enquêteurs de la gendarmerie avoir reçu des mains de ces fournisseurs des sommes d’argent en liquide allant de 50 à 200 millions de centimes contre des chèques bancaires destinés à financer un matériel dont le montant est évalué entre 800 millions et 1 milliard de centimes. Les fournisseurs mis en cause dans cette affaire profitaient, a-t-on précisé, de la précarité sociale des jeunes à la recherche d’un emploi en leur proposant de l’argent frais contre la livraison du matériel. Il y aurait même des intermédiaires qui seraient impliqués dans cette affaire et qui étaient chargés de cibler des victimes potentiels moyennant une commission. Le dossier de cette affaire n’étant pas encore clos, indique notre source d’information risque de faire tomber d’autres faussaires.
D. M (reflexion)
le principe de l’ensej est bon est utilisé partout dans le monde. c’est une forme de soutient du publque a ces propres polpulation. ici en algerie puisque tout est centralisé a la manière d’une autocracie judéo chrteinne catholique le genre est »national. c’est le centre du gouvernement qui donne tout. la société civile n’a aucun role. Aux etats unis et en allemagne la chose est differente. les messenes sont partout des riches qui finacent qui accordent des bourses qui construisent des universités offerte comme publiques. cette organisation était la notre depuis des lustres la » touiza » ce n’est pas une chose nouvelle.
maintenant il faut durcir la lois et rendre »crime » toute atteinte au budget publique qui peut démarrer par une séquestration de tous les biens du criminel et ça peut aller jusqu’à la peine de mort par pendaison dans le cas grave qui touche la sécurité du pays en affaiblissant jusqu’à provoquer soit une guerre civile soit division. …
Salam si Driss
En réalité ,Boutef et son clan omnipotent se cahent derriere leur arrogance coutumiére pour ne jamais fournir des explications de leurs politique économique si ce n’est que des explications cabalistiques .Économiquement parlant ,en prenant fugacement conscience des lois fondamentales de l’économie,les étiquettes Ensej ,locaux du président ect..ne sont que des fichaises,de la phrénologie ,des programmes ceux que personne de raisonnable ne peut cautionner et servant avant tout a une feuille de vigne a toute une éscroquerie officielle ,sponsorisée et orchestrée par l’état .
Lire programmes creux
Bonjour.
Il faut poser la question au premier ministre pour qu’il nous éclaire sur le denier public et son importance dans la stabilité sociale. On distribue de l’argent sans se soucier de sa destination. Gérer la société selon les humeurs de ceux qui la composent, ainsi est la définition de la « stabilité sociale » pour le pouvoir.Ce qui est drôle, c’est lorsqu’on invente le taux de chômage en prenant comme indice majeur l’ANEM, l’ANSEJ et le filet social, une équation unique au monde dans l’appréciation d’un système économique. Aucune étude n’a été réalisée au préalable pour quantifier l’apport de ces agences dans la promotion de l’emploi à moyen et long terme. On a de l’argent pour se préserver des situations équivoques. L’avenir de nos enfants est bien compromis.
Le seul faussaire dans cette affaire reste à mon avis l’état qui a ouvert les portes à toutes les déviations en décidant d’octroyer des aides à des jeunes démunis,fragiles et sans expérience ,proies à toutes les convoitises et ce qui était déjà connu ,il y a bien des années devient brusquement une affaire qui ne dévoile pas son issue,car cette pratique est commune à toutes les wilayas et je me demande si sidi Belabbes n’est pas un ballon d’essai.Le plus grave dans l’affaire est que cette jeunesse est devenue plus anxieuse dans la mesure où elle a participé malgré elle à ce délit et se trouve arnaqué de toute part puisque sa situation actuelle est plus problématique que sa condition de départ ( avant le crédit),le banquier ,le représentant de l’ANSEJ,l’expert et d’autres acteurs ne sont pas étrangers à cela.Le destin de ces jeunes des contrées dites paisibles doivent; en quelque sorte,leur salut aux jeunes des régions dites sensibles et qui se trouvent en majorité dans le même cas .