Le vendredi matin, le jardin public ouvre ses portes officiellement pour accueillir les marchands de l’espèce en voie de disparition et protégée par des textes de lois républicains. Des tables où sont exposées des cages d’oiseaux, bordent l’allée sur toute sa longueur. Un véritable marché lucratif autorisé par ceux censés appliquer les lois de la république. Les prix souvent inabordables sont négociés selon l’espèce, l’âge et le type du chant émis par l’espèce.
En dehors des canaris et des autres espèces qui ne font pas parti de la faune Algérienne et qui ne sont pas recensés officiellement comme l’exige l’administration douanière, le dit marché est inondé de chardonnerets en l’occurrence le carduelis carduelis. Cet oiseau non domestique est protégé par l’arrêté du 17 janvier 1995 du ministère de l’agriculture (J.O N°19 de l’année 1995) complétant la liste des espèces animales non domestiques à protéger du décret 85-509 du 20 août 1983. En plus de la réglementation suscitée, une liste provisoire des espèces animales non domestiques où figure le chardonneret a été établie par décret exécutif du 24 mai 2012 et ce au regard du rapport conjoint du ministre de l’aménagement du territoire et de l’environnement, du ministre de l’agriculture et du développement rural, des législations et des conventions internationales dûment ratifiées par l’Algérie. Les espèces animales classées dans la catégorie des espèces protégées sont celles réputées rares, en voie d’extinction ou dont les effectifs sont en nette régression. Au niveau de ce marché, l’espèce protégée, elle est chassée, mis en élevage et vendu à prix fort avec la complicité de l’autorité locale. Je me demande quel est le rôle de la direction des forêts, de l’environnement et des services de sécurité quant à l’application de la réglementation. En ce qui concerne la chasse la loi 04-07 du 14 août 2004 dans son chapitre II section I on peut lire :
Article 54 : Les espèces animales classées dans la catégorie des espèces protégées sont celles réputées rares, en voie d’extinction ou dont les effectifs sont en nette régression.
Article 55 : Nonobstant la législation en vigueur en la matière, les espèces animales protégées ne peuvent être ni chassées ni capturées sur l’ensemble du territoire national.des mesures de protection pour la sauvegarde de ces espèces de leurs habitats sont fixées par voie réglementaire
Article 56 : la détention, le transport, le colportage, l’utilisation, le colportage, la vente ou l’achat, la mise en vente ainsi que la naturalisation des espèces protégées sont interdits…
Contrairement à la loi républicaine sus citée, on trouve au niveau du marché autorisé le chardonneret capturé illégalement, mis en détention dans des cages, transporté, exhibé et vendu.
Or cette même loi dans son article 92 précise : Quiconque chasse les espèces animales protégées ou les détient, les transporte, les colporte, les utilise, les vend ou les achète ou les met en vente ou les naturalise, est puni d’un emprisonnement de deux (02) à six (06) mois et d’une d’une amende de 10.000 à 100.000 Dinars.
Malheureusement le législateur, a omis de mentionner les suites pénales qui sont réservées à celui qui autorise et encourage la vente d’une espèce protégée, c’est-à-dire l’autorité publique. Aussi, on se demande sur le silence incompréhensible des institutions à savoir la direction des forêts, la direction de l’environnement , la direction des douanes et les services de sécurité.
En plus du chardonneret, le « marché hebdomadaire » est garni d’espèces dites exotiques (perroquet-perruche- les inséparables) et les différents types de canaris. Ces spécimens sont « importés » illégalement sans fiche signalétique et carnet de vaccination. Ce qui veut dire tout simplement qu’ils ne sont pas recensés au niveau des services des douanes. Un phénomène de société très à la mode ces dernières années.En dehors du marché informel qui est autorisé à Sidi Bel Abbès, on constate journellement des jeunes accompagnés de chiens de race (berger allemand-pitbull-dog-danois…), ramenés souvent illégalement des pays frontaliers. En consultant « le jour d’Algérie », les animaux venus du contient africain sont très sollicités par les Algériens, particulièrement les canaris de race mosaïque et rouge (Smet et Simmel), malinois jaune, des couples de canaris frisés, tous vendus à partir de 11 000 DA. Ils sont importés du Gabon, pays par excellence de différentes races d’oiseaux. Le prix d’un perroquet gris du Gabon (Dino) est proposé à la vente à partir de 80. 000 DA. Ces oiseaux rares sont importés en petites quantités par des contrebandiers, malgré une surveillance et un contrôle très rigoureux à la PAF ou au niveau des frontières terrestres.Pour avoir de plus amples informations sur cette décision pour la vente autorisée de l’espèce protégée, je me suis rapproché de :
1- la direction des forêts : Au niveau du service ‘protection faune et flore’ , le responsable m’a répondu : « Nous sommes au courant autant que vous. Nous sommes étonné de voir un marché de vente de l’espèce protégée dans un endroit qui doit être lui-même protégé(le jardin public), vu la variété de la flore existante. On ne nous a pas demandé notre avis. Dans le passé on sortait en brigade accompagné par les services de sécurité pour faire la saisie de la faune protégée au niveau des magasins. Aujourd’hui ces bonnes manières ont disparus. »
2– la direction de l’environnement : La réponse fut discrète et amicale : Un sourire significatif et expressif. De suite j’ai compris que l’environnement au même titre que la direction des forêts n’a pas été consulté.
3– La direction des douanes :La réponse du responsable des affaires techniques : « La faune exotique n’est pas enregistrée chez nous. Nous ignorons la provenance. » A la question du fichier sur la faune existante au niveau de la wilaya :« Nous n’avons pas de fichiers concernant la faune. Si elle est Algérianisée, cela ne pose pas de problème. » Comment peut-on savoir si elle est Algérianisée ? La réponse : « Je l’ignore. »
4- En compagnie d’un ami, j’ai croisé un élu de l’APC de Sidi Bel Abbès : « Ce que vous dites est logique. Ce n’est pas l’APC qui est derrière cette décision pour l’ouverture de ce marché au niveau du jardin public. »
A nos amis lecteurs, il est fort intéressant de dresser les prix pratiqués par les vendeurs de la faune protégée:
a)- Chardonneret élégant : de 30.000 à 40.000DA
B- Mistou (croisement entre chardonneret et canari) : 20.000DA
J’aurai aimé avoir l’avis de la direction du commerce sur la qualification de ce commerce : Est-il formel ou informel ? Aussi l’avis de la direction des impôts et son approche vis-à-vis de ce « commerce » lucratif au même titre que les cours d’appui qui se font au niveau des domiciles et garages des enseignants dont le gain mensuel de certains dépasse les 600.000da. Une situation qui met à nu tout un système basé sur la politique de l’autruche. Un système faible, dénaturé, sans goût et sans saveur. Un système qui piétine ses propres lois pour une « stabilité sociale ». Que peut-on espérer d’un commis de l’état qui participe à l’extinction d’une espèce protégée ? Pourquoi les réglementations qui visent à protéger les espèces menacées sont-elles si banalement bafouées ? N’importe qui peut acheter une espèce protégée car la transaction s’effectue dans un espace « autorisé » au détriment de la législation par la personne censée l’appliquer. Il ne risque aucune poursuite. Un véritable scandale qui met à jour la déliquescence d’un système sans âme et sans repères. A chacun de nous de refuser de participer à ce « commerce » en achetant des animaux sauvages… même si ceux-ci nous font craquer. Aux associations pour la protection de l’environnement, aux intellectuels de dénoncer cette autorisation absurde et irréfléchie même si elle est verbale. Mobilisons-nous dans le respect de la loi pour dénoncer les pratiques qui dénaturent les principes fondamentaux de la république. On n’a pas le droit de jeter la république dans le néant pour compromettre l’avenir des générations. Quand on veut assurer une stabilité sociale, il faut d’abord respecter les lois de la république. Même les animaux ne sont pas épargnés par la cupidité et l’incompétence.
N.B/Une pétition est lancée pour arrêter ce massacre qui touche à l’écosystème.
Sid Ahmed vit au Canada. Lui et sa petite famille sont partis il y a trois ans. Son fils Najib, âgé de 8 ans fréquente l’école primaire (3ème année). Avant l’émigration, il a juste fait la crèche à Sidi – Djillali. Voici ce que m’a raconté Sid Ahmed l’autre jour:
«Alors que je me promenais un certain après-midi dans un parc à Montréal, je n’avais pas beaucoup prêté attention à une dame qui, s’étant approchée d’un petit arbre, arracha une feuille et commença à la comparer avec une autre qu’elle avait sortie de son cartable. Najib qui m’accompagnait attira mon attention en me serrant l’avant-bras et en me chuchotant :
– Papa, chouf !
– Malek, chta kayène? ai-je demandé.
Et Najib de répliquer (en Français) :
– Papa, cette dame est entrain de détruire la Nature.
Comme tu peux le comprendre Jawad, je n’ai pas cru mes oreilles. Je ne t’apprends rien en te disant qu’on n’a jamais parlé de ces choses là à la maison.»
Cette petite anecdote, mes chers(es) amis(es), c’était juste pour poser la question que voici: à propos d’Environnement, le «gros» de la partie ne se joue-t-il pas à l’école ?
salam Mer jawad :Je suis tout fais d’accord avec vous. J’habite également en Amérique du nord.Mes enfants sont nés ici. Les questions morales sont beaucoup abordé dans les écoles primaires pour que les enfants soient sensibilisés dès un jeune âge. Ces principes sont donc encrés dans leur esprit. L’impact écologique n’est qu’une partie de ce vaste univers, bien qu’elle soit très importante. Les enfants ont donc une base faite de valeurs que toute être humain devrait obligatoirement posséder pour que notre monde soit prospère. A partir de l’adolescence, il devient de leur responsabilité de faire le choix d’approfondir leurs connaissances sur ces sujets mais, quoi qu’il arrive, ils seront agir moralement.
OUI le «gros» de la partie se joue à l’école
Salam Mr Reffas…!!!!
Quand on voit la bande, Ô combien photogénique, qui était présente à la cérémonie du 8oème anniversaire de l’USMBA à l’hôtel Beni Tala, on comprend tout de suite que l’âne peut se promener en toute quiétude entre les services de la CNAS et que personne ne lèvera le petit doigt pour libérer les pôvres oiseaux en cage du moins « hata Ynawar El Malh »………
Toutes les directions se plient en quatre devant l’autorité du wali y compris celle de l’environnement… parce que c’est le monde à l’envers… !!!!
La Mafia politico-financière qui a pour seule culture «le pouvoir et l’argent » gère tout dans ce beau pays… Elle a réussi à modeler un peuple selon ses goûts, passif, ignorant (même s’il s’assoit sur les bancs d’écoles) , Khobsiste, sans foi ni loi……… Ne dit-on pas que «Tous les goûts sont dans la nature.»……!!!
La majorité des Algériens n’est pas au courant ou inconsciente de toutes ces histoires concernant la protection de la biodiversité (elle vous dira, c’est le dernier de mes soucis, moi je veux travailler, manger, avoir un logement…etc…..)……….Ces Algériens qui préfèrent nettoyer chez eux et jeter leurs ordures sur la voie publique, pourtant ils ont une culture ancestrale du respect de la nature très ancrée dans leur Nature. Quelqu’un a dit : « « J’ai connu un temps où la principale pollution venait de ce que les gens secouaient leur tapis par la fenêtre.»…….
Alors d’après vous, Mr Reffas, sur une échelle de 0 à 10, quelle chance a le chardonneret d’être sauvé, un jour………??!!! Et encore, on n’a pas parlé des autres Massa’ib « khéli El Bir Baghtah »…!!
La sauvegarde de l’environnement est, sans conteste, l’affaire de tous. Elle ne doit point se limiter aux services directement concernés. Tous les citoyens, qu’ils résident en ville ou à la campagne, doivent être sensibilisés. On regrette, en effet, que le débat sur l’environnement se borne au seul cadre associatif et universitaire… L’initiative des associations et universités dans ce sens est certes respectable, mais elle reste cloîtrée entre les murs; les citoyens doivent s’impliquer davantage.
Gare à nous « L’homme pille la nature, mais la nature finit toujours par se venger. »
«L’homme pille la nature, mais la nature finit toujours par se venger.»
C’est bien dit Mme Le Cygne! Et je dirais la même chose autrement: si la semence est mauvaise, les fruits seront amers… mais alors très amers !
Si d’aucuns arrivent –lorsqu’ils en trouvent l’occasion– à manipuler la justice d’ici-bas, qu’ils sachent une fois pour toutes que nul ne pourra échapper à la justice de là-haut.
Bonjour le Cygne.
Il y a deux institutions qui retardent la marche socio-économique de ce beau pays:L’administration et l’appareil judiciaire.Concernant la protection de l’environnement, la direction des forêts se plie devant l’autorité du wali.Ce dernier fait main basse sur l’exécutif et les assemblées « élues ».Très simple, l’administration fait élire les personnes qu’elle désire.J’ai entre les mains le PV de déclaration des résultats officiels de l’élection de l’APC de Sidi Bel Abbès,il résume le mépris de l’administration vis à vis du peuple.Pour l’espèce animale protégée, il faut d’abord que le responsable soit imprégné de la culture du respect des valeurs de la citoyenneté.L’administration a réussi à phagocyter la société civile en semant le venin « khobsisme ». Madame, le marché du chardonneret en Algérie est géré par une mafia, sinon pourquoi ce silence complice de l’autorité, qui de surcroît leur ouvre officiellement un espace public dont la flore est à protéger.Un massacre à ciel ouvert.
Le Jardin d’Essai d’El-Hamma a abrité une série d’expositions visant à faire découvrir les parcs naturels nationaux dans le cadre de l’Année de la biodiversité. Ainsi, le Parc national d’El-Kala a été l’hôte du Jardin d’Essai. Il a été suivi, par le Parc national de Chréa, puis d’une exposition du Parc national du Djurdjura, ensuite, celui de Taza (Jijel), suivi d’une exposition sur celui de Tlemcen,tandis qu’une autre a été consacrée au parc de Theniet El-Had (Tissemsilt). Le Parc national de Gouraya (Béjaïa) a été aussi présenté, ainsi qu’une exposition sur celui de Belezma (Batna)……!!!!!!!!
N’avez-vous rien remarqué….???? Que dalle sur le parc naturel de Sidi Bel abbes, pourtant il y a le parc de sidi Mohamed Ben Ali, le Jardin public, Tessala…..etc….!!!
A défaut, il aurait dû au moins présenter l’âne de la CNAS, pour sauver l’honneur…???? Ou bien, les cages d’oiseaux en voie d’extinction exhibées en toute quiétude au jardin public….!!!!
« Massa’ibou 9awmin 3inda 9awmin Fawa’idou »
Dont acte……….
DR REFFAS
Ah! comme nous aurions ete heureux de vous avoir à nos cotes lorsque nous nous elevions contre toutes ces fantaisies de soi_disant remise en ordre dans la gestion de notre cité.
Alors que l’ont crié sur tous les toits du bradage de cet eden qu’etait le jardin public un lieu de predilection pour les familles et les enfants,des especes exotiques de plantes ravagees à ce jour voilà pour (agrementer) ce lieu on decide en haut lieu de notre wilaya de reserver ses allees hebdomadairement pour un marche de volatiles.Ce lieu est devenu tellement ideale pour ces predateurs que c’est devenu un marche regional.Le nombre de vehicules stationnant aux abords ont cree de nouveaux bouchons,apres la cloture du marché visitez les degats laisses par ces commerçants.La radio locale parraine ce jour meme une journée de l’environnement ont-ils fait un tour dans ce garguenta nouveau.Ce qui nous fait rire c’est ces associations de l’environnement et ces comites de quartiers qui font du platventrisme en se targuant de se battre pour ameliorer l’environnement du citoyen.C’est si desolant que je ne peux meme pas me permettre de fumer un joint et regarder les oiseaux voles ces derniers comme nous sont tous en cage.Comment voulez vous que nous puissions voler de nos propres ailes puisque ils nous ont « castres »
Bonjour.
Aujourd’hui vendredi 22 février 2013, le marché de vente de l’espèce protégée était ouvert comme d’habitude. »Les commerçants » agrées par celui qui a ouvert l’espace sont venus des wilayas limitrophes pour s’enrichir à travers un petit animal protégé par des textes de lois.Je m’adresse à cette autorité qui décide à sa guise et sa « culture » environnementale « Maaza walaou taret », qu’il existe dans cette ville des personnes humbles, honnêtes et précis dans leurs actes sains pour dénoncer votre politique de gestion fétide.Le lac sidi m’hamed Benali est un exemple édifiant d’une catastrophe environnementale. Nous ne sommes pas des élus choisis ou le nombre de bulletins nul est égal à ZERO dans des PV signés par des magistrats censés faire respecter les lois. Une pétition sera lancée sur Facebook très prochainement afin que l’Algérie et le monde entier mesure la décision que vous avez prise pour enrichir des véreux en sacrifiant une espèce protégée.
A nous les lois à vous votre culture de « chef ».
Bonjour Madame.
Une plainte contre X sera déposée au niveau de monsieur le procureur de la république pour « ouverture d’espace publique à la vente de l’espèce animale protégée par la loi de la république ».
Amicalement.
Dr D. Reffas Merci de me repondre mais malheureusement je ne peux pas me déplacer…
une pétition électronique on aimerait bien ou On signe sur un site Internet!c’est a vous de voir..si non comme Mme le signe que je salut je signe« symboliquement » cette pétition……where are we with so much cruelty stop this massacre is the horror that is unworthy of the human race ..!
Je tiens à remercier vivement, le Dr Reffas pour son attitude civique et sa démarche citoyenne auprès des différents services concernés, ce qui a permis sans aucun doute, la dénonciation de ces actes irresponsables de la part des autorités locales et des marchands qui vendent tout même leurs âmes…….!!!
D’autre part, je dis que les gens ne sont pas conscients et je suis sûre qu’ils n’entendent même pas parler de la législation en vigueur concernant les espèces animales protégées, car en voie d’extinction…!!! Il faut dire aussi, qui va les informer….??? Personne ne joue son rôle…Il vont vous dire que les oiseaux sont les derniers de leurs soucis…..sachant que leur premier souci est de ramasser de l’argent par tous les moyens possibles, légaux et illégaux …peu importe…..!!! Parce qu’ils savent aussi qu’ils ne vont pas être punis….. Heureusement que Notre Bon Dieu est Juste..!
Il faut trouver les moyens les plus adéquats pour montrer que le comportement des autorités, des commerçants, des différents services…etc, est néfaste à l’écosystème et aux animaux menacés.
Il est impératif de lancer des campagnes d’information pour faire appel à la mobilisation citoyenne, et exercer une pression sur les directions concernées, que je condamne avec force, pour leur laisser aller, leur indifférence, leur incompétence,leur mauvaise gestion et leur manque de coordination etc…
Il est nécessaire d’impliquer la population dans les actions de conservation de la biodiversité pour qu’elles bénéficient des avantages sociaux et économiques qui y sont liés…..
Il est parfois nécessaire de mener des actions en justice contre tous ceux qui ne respectent pas la réglementation en vigueur ; je parle surtout des associations écologiques, sinon quel est leur rôle….. ???
Comme vient de le faire Dr Reffas grâce à la BAI, il est primordial de dénoncer ces actes immoraux et illégaux et de médiatiser l’information pour qu’elle ne puisse plus être ignorée.
Un dispositif de protection sérieux et applicable doit être mis en place et qui comprend également la désignation de zones de protection spéciale en faveur des oiseaux en danger……
Les lois existent , mais il faut mettre en place des mesures d’accompagnement permettant de garantir l’efficacité de ces lois. Et que les autorités arrêtent d’être en mèche avec ces commerçant de la honte….Laissez aux oiseaux leur liberté…..ils ont été créés pour voler et non pas pour que vous les mettiez en cage…..!
Les autorités feront mieux de penser à réhabiliter sérieusement le Jardin public pourqu’il soit un espace naturel pour la protection de la biodiversité et destiné aussi à la promenade et à l’agrément du public…comme autrefois…..! Ah nostalgie quand tu nous tiens….!!!
Commencez d’abord par nettoyer les ordures qui encerclent vos jardins et vos appartements avant de les orner avec des cages d’oiseaux….. »El 3amcha Khassha Ghir El Khol »…
Je signe « symboliquement » cette pétition…Arrêtez le massacre…..!!!
Bonjour Mer Dr D. Reffas .je pense suis sur la même longueur d’onde que vous !!??
Quand les lois seront justes, les hommes seront justes. »
Citation d’Anatole France
L’être humain est un animal (c’est un fait biologique) qui, s’il n’accepte pas les règles de la vie en société serait contraint de vivre selon la loi du plus fort.
Or, si nous devions revenir à ce mode de vie, l’ère « moderne » de l’Humanité s’effondrerait, car nous passerions notre temps à montrer que nous sommes forts, à défier les plus fort, et nous n’aurions plus de temps à consacrer à la grandeur de l’espèce humaine, plus de temps à consacrer à détruire notre planète pour de basses préoccupations monétaires, plus de temps pour faire la guerre au pays possédant les richesses naturelles, etc…(je l’avoue, la fin de ma réponse est teintée d’ironie, car en fait, les lois sont là pour se comporter en animal, mais en animal qui respecte d’autres règles que celles de la nature, afin de nous hausser dans l’échelle de l’évolution en constatant que nous sommes émancipés de la nature)Cela dit:
On doit respecter la loi pour être respecter. Si tu te donnes le droit de bafouer la loi, ton voisin peut en faire autant et cela à ton détriment et où irait on sinon droit vers la bonne époque du far west où tout le monde serait armé et celui qui t’embête « pan » et on en parle plus!je termine avec cela : les citoyens sont obligés de respecter les lois afin de permettre une vie en société organisée et d’éviter le développement de la loi « du plus fort ». On serait alors dans une situation proche d’une véritable anarchie, chacun agissant selon son bon plaisir, sans souci de la règle commune. L’obligation pour tous les citoyens de respecter les lois est la meilleure assurance que la liberté, les droits et la sécurité de chacun d’eux soient garantis de manière effective.
Il faut enfin rappeler que le non respect des lois constitue toujours une faute qui, le cas échéant, peut conduire à de lourdes sanction pénales…c’est claire pour vous Mer DR Refface votre rubrique d’apres ce que j’ai compris c’est autour le respect de la loi
J’ai le droit de signer moi aussi cette pétition qui est lancée pour arrêter ce massacre qui touche à l’écosystème?.