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Sidi Bel Abbes : Rénovation de la cinémathèque le Moksi: y-a-t il des garanties ?

BySalim A.

Août 17, 2013

Il y a quelques jours , je ne pouvais refuser une invitation de rejoindre quelques amis qui s’y trouvaient à la  cinémathèque Le Moksi pour  assister à la projection première du film du réalisateur Saïd Ould Khlifa «Zabana». Le film relatait le parcours révolutionnaire de Ahmed Zabana , premier martyr guillotiné. Bien que le film était à sa première projection, rien n’a été annoncé à la radio et aucune indication à l’entrée de la cinémathèque ne le montrait. Arrivé avec un léger retard , j’ai pu suivre le film, assis sur un fauteuil flambant neuf « d’antan », à quelques mètres des quatre seules personnes présentes dans la salle.Il est clair que la fréquentation de cette salle demeure  une situation très préoccupante des responsables actuels depuis un certain temps. Mais s’est-on posé une fois, la question sur cette pseudo désaffection du public au cinéma en général et aux chefs d’œuvres Algériens en particulier. Même si on a déjà visité les mêmes lieux, il y a de cela une année et demi où tout semblait baigner dans l’huile avec une entrée parfaite, bien agencée et une intense participation du public. Mais, aujourd’hui , c’est plus d’un problème que doivent résoudre les principaux animateurs de cette cinémathèque, d’un coté ils doivent jeter un coup d’œil à une centaine de mètres plus loin sur la même artère où le théâtre régional de la ville n’a jamais manqué de public et continue de raviver une passion des années 70 oubliée au cours des deux dernières décennies et d’un coté  revoir la qualité des travaux réceptionnés suite à sa réhabilitation, ces mêmes travaux qui semblent avoir été expédiés à la hâte puisque des défauts observés sur le plancher de cette cinémathèque concernent des dalles qui commencent déjà à se détacher alors que le faux plafond risque de tomber dans les prochains jours et tout cela sans qu’on ai pu tirer la sonnette d’alarme pour remédier à cette destruction lente.Es-ce un problème d’étanchéité ou de qualité des travaux ? Dire que sa réhabilitation a couté la bagatelle de six milliards dont trois et demi pour sa réalisation et autant pour ses équipements et les travaux ont duré plus de 18 mois.Y-a-t-il une garantie pour ces travaux ?

 

4 thoughts on “Sidi Bel Abbes : Rénovation de la cinémathèque le Moksi: y-a-t il des garanties ?”
  1. La supercherie dévoilée sur les malfaçons de cette cinémathèque reflète les magouilles abyssales confectionnées par l’ensemble des décideurs au niveau structural, des commis d’État et des entrepreneurs tenus en laisse par la corruption. À l’inauguration de cette cinémathèque, des fuites d’eau se sont manifestés à tous les étages par manque d’étanchéité -absence totale du silicone- La chose la plus flagrante est celle des toilettes qui sont totalement en contradiction avec le look de la cinémathèque. De mauvais gout, les lavabos et la robinetterie made in sous China, les portes et la faïence sont d’une laideur à faire vomir n’importe quel visiteur bien intentionné- Une honte. Le gros oeuvre a certainement dépéché de la sous-traitance pour bacler le travail et ça donne une dissonance flagrante avec l’ensemble. L’ex directrice de la culture était de mêche avec le Wali pour ce projet. Des langues se sont liées pour dénoncer ce marché de dupe. Il s’avère que le cadre responsable de veiller au contrôle technique de tout ce qui relève des projets de la République était et tenez vous bien l’associé de l’entrepreneur qui a construit cette cinémathèque. Deux en Un. Un simple cadre devient du jour au lendemain milliardaire. Comment voulez-vous qu’il objecte ou dresse un procès verbal contre lui-même puisque il est le premier concerné et voir condamné. N’en parlant pas du carrelage bon marché qui se défait à vue d’oeil. L’autre paramètre d’un établissement qui a couté bonbon on n’a jamais associé ni les scolaires, encore moins les étudiants à fréquenter ou animer comme jadis, fut le ciné-club. La radio de SBA n’est ni associée ni partie prenante pour diffuser et informer la population locale et environnante. Donc absence totale du rôle des outils de l’Etat au niveau de la communication. Il parait que des gens bien intentionné avait pour projet de faire des rencontre cinématographiques et qui ont été écartés; alors à quoi bon salarié 4 personnes pour rien. A-t-on fait des points de presse pour demander des comptes qui fait quoi ? La connivence de certains cadres de l’État avec le mode opéré en matière de corruption se dévoile au jour le jour à travers des ensembles étatiques, le plus récent est la maison des Impôts à Sidi Djillali – les mêmes symptômes et les mêmes malformation

    1. atman bonjour
      faut pas seulement montrer le mal car il y aura confusion. Lorsque vous montrez le mal suggérez en parallèle une solution pour que ce mal ne se répété pas a l’avenir.
      vous dites  »Il s’avère que le cadre responsable de veiller au contrôle technique de tout ce qui relève des projets de la République était et tenez vous bien l’associé de l’entrepreneur qui a construit cette cinémathèque »..du moment qu’il ya une faille dans la constitution des société anonyme  »SARL » tu peux mettre en couverture tout ce que tu voudras. personne ne sait qui est derrière une sarl. la sarl c’est un gérant +un Drh et surtout un numéro de compte dans lequel les fond publiques sont versés…Pour lutter contre cela on pourra exiger la déclaration des biens. Si un entrepreneur n’a pas 1 milliards de biens sous forme d’immobiliers avec livret foncier en son nom, donc ce n’est pas un entrepreneur qu’on pourra faire confiance pour réaliser un projet très couteux. c’est un nouveau sarliste qui habite chez ces parents et qui sert de couvertures..
      La wilaya de sidi belabbes estconnu a

  2. c’est connu tu ne peux faire venir une personne qui n’a pas gouté la chose durant sa jeunesse. le cinéma a férmé ses porte en 1981 donc tout le monde qui née apres cette dttae n’ont jamais vu de cinéma..ça leurs dit rien, peut etre avec une multiple entrée ils vont avoir le gout, mais le gout principale pour l’attirer ne l’a pas. Maintenant il faut réserver ces salle au ministère e l’éducation et programmer une séance de film chaque semaine. soit de le donner au ministèrere du sport et des activité âra scolaire pour s’en charger bien que je souhaite que ça relève de l’école car l’écolier va apprendre comment faire la chaine, comment acheter son billet, comment s’assoir, les sanctions contre le bruit, le crachat, les disputes, les hautes voie, la proprété des chaussures, etc…
    pour les mal façon..il faut passer ce cas devant la justice et faire appel aux responsables..comment se fait le centre universitaire de sidi bel abbes qui date de 1976 reste intacte et comment quelques choses d’hier tombe en ruine. Donc ce n’est pas un voleur mais quelqu’un qui manque de compétences qui ne sait pas construire et ce n’est pas son métier. si la dalle se décolle le bonhomme ne sait pas faire le mélange approprié ciment sable..car il y a mille genres de sable..il y a aussi le coefficient de dilatation des matériaux, il faut toute une études messieurs…
    on reste dans ma3liche
    >>il n’a pas de diplôme et a prie le marché??
    >>ma3liche
    >>Il va faire une catastrophe apres??
    >> Khouuuuuuk, ma3lich, mkadra
    ><l'édifice va tombé??
    << Ma3lich, abnou wahdoukhra
    <<vous m'envoyer un médecin et un ingénieur a former en lui donnant une rondelle de kachire??
    <<Ma3liche ghir sallak, 3atihoum 14 wadmarhoum…mdrrrrrrrr

  3. Bonjour.

    Concernant la cinémathèque, la question est posée au correspondant de presse qui a osé écrire lors de la clôture des soirées nocturnes des danses folkloriques: » le commissaire du festival a rabaissé le caquet à ses détracteurs.. » Je tiens à rappeler à cette personne que nos contributions sont dénuées de contreparties surtout pécuniaires(je mesure bien mes mots).
    Les imperfections relevées par notre ami Salim lors de la projection du film quelconque sans goût et sans saveur qui retrace de façon catastrophique le parcours du premier guillotiné de la guerre d’Algérie, ont déjà fait l’objet de critiques à quelques jours seulement de l’inauguration de cette salle. L’ex directrice de la culture très mal à l’aise a fait appel à l’entrepreneur pour y remédier. Malheureusement, les malfaçons ne peut être récupérées. Toutes les structures bâties par les entreprises locales souffrent de malfaçons et vieillissent de suite. On évoque Chakib Khalil pour étaler la corruption à grande échelle, mais la gangrène est bien installée à l’orteil. A bon entendeur salut.

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