Sidi bel abbes: une incursion par effraction dans les locaux de la DASS

Nous venons d’apprendre de source bien informée, que le siège de la DASS( Direction de l’action sociale et de la solidarité) du chef lieu de wilaya sise au faubourg Perrin , à connu en cette fin d’après midi du jeudi 11 juin 2015 , une incursion  vandalisée, effectuée par une bande de marginaux, résidant dans le voisinage de cette administration.Des bureaux ont été visités , certaines portes ont été fracturées, des documents , et autres outils informatiques, et bureaux , endommagés. L’alerte fut donnée par les gardiens qui visiblement n’étaient pas sur les lieux lors de l’incursion, et où aucun responsable n’a été aperçu sur les lieux. La problématique de la sécurisation des enceintes administrative reste posée avec acuité. Cet événement, qui aurait pu connaitre de graves répercussions, compte tenu de l’importance de la mission sociale stratégique de cette administration qui est chargée, du dispositif, de solidarité , du pré emploi , de la tutelle de l’enfance abandonnée , de la gestion des  neuf  établissements spécialisés, etc….. Ce n’est là que le résultat de la négligence, et le laisser aller qui a engendré cet état de fait , où l’on constate un absentéisme, latent , qui se caractérise à travers une absence de discipline et de rigueur dans l’accomplissement du devoir pour lequel les personnels sont rétribués , et font de cette mission une préoccupation secondaire. C’est de toute évidence, lorsque le premier responsable de cette institution, se fait remarquer par sa navette quotidienne entre son lieu de résidence dans une wilaya voisine et Sidi bel abbes ,alors que l’Etat met à sa disposition un logement, alloué dans le cadre de sa fonction par nécessite absolue de service, et loué auprès de la wilaya et rétribué sur le budget de ce même Etat. Un commis de l’Etat nommé par décret présidentiel qui habite hors wilaya, à l’image d’une dizaine de membres de l’exécutif, et qui font de  l’obligation d’astreinte le dernier de leur soucis , cela n’engendre que la démission pure et simple de tout un personnel , qui à l’image de son chef, se caractérise par , la déchéance administrative, qui réduit à une forte proportion le capital confiance que lui porte ses administrés. Lorsque le capitaine abandonne le navire ce dernier ne tient pas longtemps pour couler.C’est la triste caricature de notre administration.