FESTIVAL DES DANSES POPULAIRES DE SIDI BEL ABBÈS FESTIVAL DES DANSES POPULAIRES: Fiasco !
Prévue initialement au stade des 3 Frères Amarouche, la cérémonie a été annulée à la dernière minute, dans une pagaille indescriptible, en raison d’une panne d’électricité. Mardi soir, plusieurs troupes étrangères ont été réorientées en catastrophe vers la maison de la culture Kateb Yacine où elles se sont produites dans une salle presque vide. «Nous avons fait le déplacement pour rien. Le comble, c’est que personne n’est venu nous informer de l’annulation de la cérémonie d’ouverture. C’est scandaleux !», vocifère un père de famille, accompagné de ses enfants, en quittant les gradins du stade. Les éléments des services de sécurité, déployés en grand nombre, ont dû faire preuve de beaucoup de tact pour contenir la colère de centaines de personnes déçues, venues assister aux spectacles d’ouverture de cette 7e édition. «Gérer c’est prévoir. Et prévoir les imprévus surtout, afin d’éviter les mauvaises surprises. Malheureusement, c’est tout le contraire de ce festival», se désole le président d’une association locale de danses folkloriques, écarté de ce festival par les organisateurs. Au niveau de la maison de la culture, l’improvisation a atteint son expression maximale. La cérémonie d’ouverture ainsi délocalisée n’a pu débuter qu’aux environs de 23h. Aucun mot d’excuses de la commissaire du festival qui avait du mal à prononcer son allocution de bienvenue…
RIEN NE VA PLUS
Pour ne rien arranger, la sono se révéla défaillante, l’éclairage inadapté ; le tout aggravé par une organisation carrément lamentable. La prestation de certaines troupes, auxquelles un temps de passage de 10 minutes a été accordé, fut tout simplement décevante. Préalablement à la cérémonie, c’est dans un désordre total que s’est achevée la parade organisée en fin de journée le long du boulevard de la République, au centre-ville de Sidi Bel Abbès. Un orage d’une rare violence devait l’écourter, mettant dans l’embarras les organisateurs qui n’étaient certainement pas au bout de leurs peines. Placée sous le haut patronage du président de la République et de Madame la ministre de la Culture, Khalida Toumi, cette 7e édition dont le coût prévisionnel dépasse les 8 milliards de centimes devrait prendre fin le 18 juillet prochain.
M. Abdelkrim (El Watan)
FESTIVAL INTERNATIONAL DES DANSES POPULAIRES DE SIDI BEL-ABBÈS: DIX-NEUF PAYS PARTICIPENT
Prévu initialement au stade des Trois frères Amarouche, le coup d’envoi de la septième édition du Festival culturel international des danses populaires de Sidi Bel-Abbès, tenue cette année dans le cadre de la manifestation, Tlemcen capitale de la culture islamique 2011, et organisée sous le haut patronage du président de la République, a été donné avant hier, au niveau de la salle de spectacles Kateb Yacine, en présence des autorités civiles et militaires et de M. Chouihi, représentant la ministre de la Culture.
Ce changement de dernière minute du lieu du spectacle est dû, selon Halima Hankour, commissaire du festival, “à un fusible qui a sauté au niveau du transformateur électrique, alimentant le quartier Bab Daya. Vraisemblablement, en raison d’une chute de tension due à une augmentation exponentielle de la consommation de l’énergie électrique”. Dans son allocution d’ouverture, Mme Hankour a rappelé l’objectif essentiel de cette manifestation : “À travers les bouquets de danses populaires, le festival se veut une opportunité aux troupes locales de faire valoir leur talent, tout en donnant une image digne de notre riche culture artistique et encourager les échanges culturels entres les peuples du monde et permettre à nos invités de différents pays de mieux connaître notre culture.” Place ensuite au spectacle avec des prestations d’une durée de deux minutes pour chacune des troupes participantes.
Et c’est sur des airs alaoui de la troupe Ahl El Bled (SBA) que s’est ouverte la soirée. Les différentes troupes ont ensuite pris le relais sur scène pour exécuter avec virtuosité une danse de leurs terroirs respectifs. Auparavant, une parade de l’ensemble des troupes participantes, inaugurant cette édition, a eu lieu à travers le boulevard du centre-ville. Jusqu’au 18 juillet prochain, dix-neuf troupes des cinq continents, et sept autres troupes des wilayas du pays, se produiront au stade des Trois frères Amarouche et à la place du 1er Novembre de Sidi Bel- Abbès. En parallèle, les organisateurs ont prévu des ateliers de danses populaires, et des expositions d’arts plastiques. BOUSMAHA (Liberté)
SIDI-BEL-ABBÈS: Ouverture du Festival international des danses populaires
Dans la soirée de mardi dernier, devait avoir lieu le lever de rideau de la
7e édition du Festival international des danses populaires. 19 pays devraient y participer : l’Indonésie, le Mexique et la Russie, la Palestine qui sera l’invitée d’honneur, l’Espagne venue dans le cadre de «Tlemcen, capitale de la culture islamique », le Maroc, la Tunisie, la Jordanie, la Bulgarie, l’Irak, l’Iran, le Sénégal, le Niger, Madagascar, le Tchad, la Turquie, la Chine, l’Inde et Bahreïn. Sept wilayas, à savoir M’sila, Tizi-Ouzou, Tamanrasset, Tlemcen, Mostaganem, Sidi- Bel-Abbès et Ghardaïa seront de la partie, une 2e ouverture a été programmée à Tlemcen le mercredi. Exceptionnellement pour cette année, il n’y a pas eu de concours de troupes pour la participation au festival a tenu à souligner Mme Hankour, commissaire du festival, vu qu’elles sont toutes professionnelles. Cette dernière a indiqué que les associations locales ont boycotté le concours de participation organisé à leur intention à l’exception de quelques-unes. «Nous tenons à leur réitérer que nous n’avons exclu aucune association mais il y a des critères et celles qui y répondaient étaient les bienvenues. En marge du festival qui s’achèvera le 17 juillet, des expositions de peinture et d’arts traditionnels seront organisées au niveau de la maison de la culture de Sidi- Bel-Abbès ainsi que des conférences. L’organisation du festival a nécessité une enveloppe de 8 milliards de centimes dont 3 destinés à la prise en charge du transport des troupes A. M.(Le Soir D’Algérie)
Sidi Bel Abbés: Ils sont sortis dans la rue avec leurs familles
Les ouvriers de la ferme Si Rabah revendiquent une commission d’enquête ministérielle
Estimant que leur situation n’a pas changé d’un iota depuis le bras de fer qu’ils avaient engagé avec leur direction, les 13 ouvriers de la ferme Si Rabah relevant de la commune d’Ain Trid dans la daïra de Tessala ont décidé, avant-hier mardi, d’investir la rue en compagnie de leurs familles. Les protestataires se sont rassemblés devant le siège de la daïra et ne se sont dispersés qu’après avoir rencontré un responsable de cette institution qui leur aurait promis de régler le problème. Ne croyant plus aux promesses des responsables, les ouvriers de cette exploitation agricole, qui affirment que leur situation cauchemardesque n’a que trop duré, ils sollicitent l’envoi d’une commission d’enquête ministérielle, afin, indiquent-ils de leur rendre justice et prendre sérieusement en charge leur dossier. De son côté, le représentant du syndicat des travailleurs de ladite ferme accuse le responsable de la société de gestion des participations du développement agricole (SGP-SGDA), d’être à l’origine de la crise que traversent ses camarades et lui.« Le problème aurait été réglé depuis longtemps, n’était les tergiversations de la SGP-SGDA, surtout, après la signature d’un accord qui leur donne droit à la reprise du travail », déclare le représentant syndical. Cet accord devrait leur permettre aussi d’encaisser les salaires cumulés de 31 mois qui restent toujours en suspens, signale–t-il au passage. Après le mouvement de grève de la faim que les travailleurs de la ferme avaient entamé ces derniers mois, une rencontre s’était tenue entre leurs représentants et le chef du service des ressources humaines de la SGP SGDA. Ce dernier leur avait demandé un délai pour trouver une solution au problème du paiement des salaires cumulés des 31mois, avec les directeurs centraux concernés. Quelques jours après, ils avaient appris qu’ils ne seront pas payés. Selon les déclarations du représentant syndical des travailleurs, le rassemblement pacifique a failli prendre d’autres tournures quand des jeunes de la localité sont intervenus et ont tenté de faire monter la tension à cette manifestation. Ils et ont été interdit par les travailleurs qui ne cherchent que régler leurs problèmes en respectant la loi et sanstroubler à l’ordre public, ont signifié aux jeunes perturbateurs. Il convient de rappeler que les 13 ouvriers vivent une situation déplorable depuis l’année 2008, résultant selon leurs dires, d’une décision arbitraire des responsables qui refusent d’honorer leurs engagements. La pénible situation et la misère qu’ils endurent vont les mener à amplifier leur mouvement afin, ont-ils affirmé, d’arracher leurs droits, surtout que le ramadhan arrive et n’ont pas un sou pour subvenir aux besoins de ce mois sacré Fatima A. (L’Echo d’Oran)
Sidi Bel-Abbès : Une adolescente tente de se suicider à Teghalimet
Une jeune fille, âgée de 18 ans, native de la commune de Tighalimet, a tenté de se suicider en ingurgitant des produits caustiques, a-t-on appris de sources médicales. Selon celles-ci, l’adolescente a été admise à l’EPH de Telagh dans un état jugé très grave par l’équipe médicale qui l’a placé sous observation médicale, après lui avoir administré les soins nécessaires. Par ailleurs, une enquête a été ouverte par les éléments de la gendarmerie territorialement compétents pour déterminer les causes réelles de cette tentative de suicide. S. DERRAZ (La Voie de l’Oranie)
Sidi Bel-Abbès La liste des 90 bénéficiaires de logements, très attendue
M. NOUI
CORRESPONDANT DE LA VOIX
La population locale de Merine, 60 kilomètres au sud de Sidi Bel-Abbès, et notamment les postulants au logement social, qui se comptent par milliers, attendent impatiemment l’affichage de la liste des bénéficiaires des 90 unités sachant que les enquêtes menées par les membres de la commission de daïra ont déjà pris fin, après avoir fait le porte-à-porte dans le chef lieu de commune. Des sources proches de l’APC indiquent, par ailleurs, que l’attribution de ces logements inscrits dans le cadre de mise en application des décisions prises par le président de la République se fera normalement après le mois sacré de ramadhan. L’opération d’octroi de ces unités de logements, souligne le maire, ne sera concrétisée qu’après la réalisation effective des travaux VRD, puis le tri et l’étude approfondie des 3.000 dossiers, à entamer par la commission mixte présidée par le chef de la daïra laquelle doit faire bénéficier, ceux qui sont le plus touchés mais surtout ceux répondant aux conditions requises.
Pour rappel, dans le Sud de la wilaya de la Mekerra, des centaines de logements ont été attribués depuis le début du mois. Ils ont été repartis entre les communes de Sidi Ali Benyoub où des mouvements de colère ont été enregistrés, Telagh, Teghalimet, Ras El Ma, Marhoum et Mezaourou.
Oued Sbaâ (Sidi Bel-Abbès): La population réclame des armes
ABBÈS GHILES CORRESPONDANT DE LA VOIX
En marge des grandes funérailles de l’agent communal d’Oued Sbaâ, tué par balles, par un groupe de quatre terroristes dans la nuit de dimanche à lundi, alors qu’il sortait de la mosquée, plusieurs citoyens se sont regroupés pour accoster ensuite le premier élu du village, lui faire part de leur colères et réclamer des armes pour leur sécurité et celle des biens publics. «Cet acte terroriste, le second en deux ans et dans les mêmes circonstances, a lancé un quinquagénaire, est dû à notre confiance, mais aussi et surtout à un certain relâchement dans la lutte antiterroriste dans la région.» «L’excès de précaution a tourné finalement à notre propre désavantage», renchérit un autre intervenant ayant requis l’anonymat et qui poursuit: «Etant des agents communaux, ciblés par le groupe résiduel terroriste, nous voudrions assurer notre légitime défense et apporter même notre efficiente assistance aux éléments des groupes antiterroristes, tous corps confondus, déjà en place.» «Le soutien et la complicité apportés par certains de nos concitoyens aux groupes de criminels activant encore dans cette zone fortement boisée et accidentée, réplique un élu local, aurait été à l’origine de ce lâche assassinat d’un des nôtres, père de cinq enfants. » «Il faudrait penser, conclut- il, à renforcer les dispositifs de sécurité existants et envisager un plan d’action consistant, à appliquer pour le mois sacré de Ramadhan.»
Télagh (Sidi Bel-Abbès) : Circoncision de 25 enfants démunis
M. NOUI CORRESPONDANT DE LA VOIX
Les membres de l’organisationlocale des victimes du terrorisme de Telagh, 60km de SBA, agissant indépendamment avec des moyens limités, ne cessent, cet été, de travailler d’arrache-pied et de marquer davantage de points. Poursuivant leurs actions de bienfaisance au profit des enfants issus de couches sociales défavorisées, ils viennent de clôture la première étape entamée le mardi 5 juillet, dans le cadre d’une campagne de circoncision. Selon notre source, pas moins de 25 enfants originaires d’Amalza, de Mezaourou et d’Ouest Taourira, localités éloignées et démunies, ont ainsi été circoncis, comme stipulé par la récente réglementation, au niveau des UMC de l’EPH de Telagh. Opérations entreprises et réussies par un chirurgien spécialisé, bénévole. Les organisateurs de la louable campagne se disent non seulement contents d’être venus à la rescousse d’enfants frêles et innocents, mais aussi satisfaits de la disponibilité des moyens et matériel adéquats mis à leur disposition par les responsables de l’établissement hospitalier.
Un sexagénaire se donne la mort par pendaison à Bouaiche
Un autre cas de suicide vient d’être enregistré dans au lieu dit Bouaiche, dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès. Cela s’est passé, hier mercredi, et il s’agit cette fois-ci d’un homme âgé de 59 ans qui aurait été retrouvé pendu à l’aide d’une corde, dans son domicile familial, a-ton appris d’une source officielle.
Le corps a été déposé au service de la médecine légale de l’hôpital et une enquête a été ouverte par les services de sécurité compétents pour tenter de déterminer les causes de ce drame. S. DERRAZ (La Voie de l’Oranie):
USM Bel-Abbès Qui prendra le club ?
M.B. CORRESPONDANT DE LA VOIX
Depuis la dernière réunion du conseil d’administration tenue dimanche dernier, au siège du club, d’où la démission du président du conseil Baghdad Benaïssa fut prononcée au même titre que celle d’un autre membre en l’occurrence Mohamed Delli, les choses ne semblent pas connaître leur cours normal.
Le doute plane et les supporters restent encore plongé dans le suspens en se demandant qui pourrait s’intéresser à leur chère équipe. Pour le moment, aucun candidat encore moins, aucun volontaire ne s’est dit intéressée par les rênes du club, même du côté de l’opposition le silence règne, alors qu’on s’attendait, du côté de cette partie une réaction imminente et une sortie décisive dès l’annonce de l’ouverture du capital, pour s’emparer du club, or c’est tout le contraire qui se produisit. C’est comme on s’attendait à ce qu’ils n’y plus de président à l’USMBA, pour enfin, se décider de se retirer de la candidature. Du côté des supporters, cela n’est pas un phénomène étrange à la demeure de l’USMBA, car à chaque intersaison, l’équipe subit le même sort, on cherche à détrôner un président en exercice pour lui trouver un successeur!
Et ainsi vont les jours à l’USMBA, toutefois, cela n’empêche pas d’entendre que d’autres personnalités seraient intéressées par le club, mais cela reste à confirmer, les noms de Brahim Boutkhil, le sénateur, Bendada et l’ex Président Belkacem Aïda avaient été évoqués mais jusqu’à présent, des personnes proches de ces personnes nous avaient bel et bien affirmé le contraire. Ainsi et après de moult sollicitations et d’appel lancés par le président Baghdad Benaïssa pour trouver à l’équipe un preneur, une seule question revient sur toutes les lèvres des amoureux d’El-Khadra. Qui osera prendre le club de l’USMBA
Pour Sfisef et Sidi Brahim: Le tartan arrive enfin
H. KODAT
CORRESPONDANT DE LA VOIX
S’il y a un moyen qui est devenu nécessaire pour l’évolution du sport le plus populaire, c’est bel et bien le tartan (gazon synthétique) qui est devenu au fil des années un matériel pédagogique incontournable pour la pratique sécurisée des athlètes. A cet effet, nous venons d’apprendre que la pause du tartan au stade du Chahid Benhada Miloud de Sfisef tout comme celui de Sidi Brahim ne saura tarder à voir le jour dont le coup de starter sera incessamment donné dans les tous prochains jours. Il est à signaler que la société qui s’est adjugé du projet vient de procéder au prélèvement du sol aux fins d’étude approfondie et qu’il sera aussi question de travaux supplémentaires pour doter le stade de tribunes couvertes et le réaménagement total des vestiaires. Cette nouvelle est venue à point et a suc cité une joie indescriptible pour toute la famille footballistique de l’ex Mercier Lacombe qui revêt depuis belle lurette de voir enfin cette pelouse atterrir chez eux. Une bouffée d’oxygène est venue à temps pour les jeunes du CRB Sfisef et du JRB Sidi Brahim qui, tous deux, évoluent en régionale une.