SIDI BEL ABBES VUE PAR LA PRESSE

SIDI BEL ABBÈS: 4700 couffins pour les démunis durant le Ramadhan

 Le traditionnel dispositif de solidarité dont bénéficient annuellement les familles démunies vient d’être finalisé à Sidi Bel Abbès, a-t-on appris auprès des services de l’action sociale. En termes chiffrés, l’aide prévue à cet effet se résume à quelque 4700 couffins de victuailles devant être remis aux familles nécessiteuses recensées dans les différentes communes de la wilaya. Les produits alimentaires auxquels auront droit les familles considérées se composent essentiellement d’huile, de sucre, farine, semoule, café, beurre et autres denrées de base. Par ailleurs, sept restaurants de la solidarité seront mis à la disposition des gens humbles, des SDF et autres voyageurs de passage à Sidi Bel Abbès auxquels seront servis quotidiennement des repas chauds. Comme de coutume, plusieurs bénévoles issus en grande partie du mouvement associatif local seront mis à contribution pour l’exécution du programme de solidarité qui doit s’étaler sur toute la période du Ramadhan. M. Habchi (El Watan)

 Telagh (Sidi Bel Abbes) Pénurie criarde de produits Médicamenteux

M. NOUI CORRESPONDANT DE LA VOIX

Les habitants de Telagh, à 50km au sud de Sidi Bel Abbes et notamment les malades chroniques et les femmes, crient au calvaire, ces jours de grosses chaleurs, par le manque flagrant de certains produits médicamenteux qui font cruellement défaut sur les étals des pharmacies, au nombre de 10 officines.

«Depuis près d’une semaine, lancent-ils avec regrets et déception, nous souffrons le martyr en raison de la pénurie de ces médicaments ». Des produits dont certains demeurent indispensables voire même inévitables, à l’exemple de Levomed 250mg prescrit pour la maladie de Parkinson, de Cotareg 80mg pour le HTA, de Depakine gouttes pour les épileptiques, de l’insuline Mixtard, et l’insuline lente prodiguées aux diabétiques. Les femmes, elles se plaignent de l’indisponibilité pure et simple de certains contraceptifs, comme Minidril, Adepal, Mercilon et Mycrogenon dans toutes les officines pharmaceutiques. Ce qui les contraint à sillonner les localités de la circonscription voire même celles des wilayas limitrophes, en quête de recherche de ces produits. Consultés pour d’amples informations liées à cette extrême disette, les gérants de l’ensemble des pharmacies sises à Telagh, Teghalimet, Merine ou Mezaourou affirment qu’aucune justification ne leur est donnée pour le moment par les distributeurs. Le moins que l’on puisse dire, ne cesse-t-on de répéter, c’est que les malades et surtout ceux de cette région reculée de la wilaya de Sidi Bel Abbes restent irrémédiablement les plus touchés.

 Sfisef (Sidi Bel-Abbès) : 90 travailleurs de l’ex-Safa Dahra sans salaires depuis 7 mois

S. DERRAZ CORRESPONDANT DE LA VOIX

Près de 90 travailleurs de l’ex Safa–Dahra du syndicat de Sfisef Sidi bel abbés n’ont pas encore touché leur salaire bloqués depuis janvier dernier, et interpellent les responsables concernés pour régulariser leur situation toujours pendante. C’est dans un écrit que les membres syndicaux de Sfisef, et au nom de l’ensemble des travailleurs, ont soulevé leur problème qui dure depuis sept mois déjà. Pourtant la direction régionale de leur entité avait promis de débloquer leur salaire. Mais rien ne vient. Ce qui augmente l’inquiétude de ces pères de familles à l’approche du mois sacré de Ramadhan ou ils doivent faire face à de nombreux et variés besoins quotidiens. Le porte-parole des travailleurs avait traduit le mécontentement de tous les ouvriers, puisqu’ils appréhendent «que le même problème de l’an dernier ne et que surviennent de nouveaux conflits entre les travailleurs et les responsables.» Par ailleurs, le responsable régional de cette entreprise a confirmé que tous les salariés seront payés le plus tôt possible. Sachant que le statut particulier de l’entreprise régionale de génie rural sera mis en application très bientôt.

 USM Bel-Abbès: El-Khadra engage cinq joueurs

 M.B. CORRESPONDANT DE LA VOIX

Malgré la crise financière aigue que traverse le club phare de la Mékerra, «El-Khadra» vient, quand même, de réussir à engager quatre éléments pour la saison à venir.

Il s’agit du gardien de but, Bouhamidi, le défenseur Benahmed, tous deux de l’IRB Maghnia, le libero Belhorma du NRB Bethioua, le milieu offensif, Nabou du NARB Reghaïa ainsi qu’un U20 du CR Témouchent. Au chapitre des drivers, la piste du coach local, définitivement, écartée par les dirigeants actuels, l’USMBA de l’an prochain ne sera pas dirigée par un entraineur local, c’est ce que nous venons d’apprendre d’une source très proche du conseil d’administration de la SPA/USMBA. Pourtant, au départ, les noms de Sennour, Abdi, pour ne citer que ces deux-là, avaient été cités pour driver l’équipe mais il s’est avéré que le conseil n’était pas unanime quant à la venue d’un coach local. Par contre deux drivers viennent d’être ciblés par la direction du club en l’occurrence, Achouri, et Assas Mokhtar avec lesquels les négociations sont toujours en cours. Si tout serait en bonne voie pour le premier par contre, pour ce qui est du second, et selon les dirigeants, il aurait placé la barre très haut. L’ex driver de l’USM Blida et du MO Constantine, l’an dernier, aurait placé la barre aux environs 50 millions mensuellement, ce qui risque de voir les deux parties ne pas tomber d’accord.

Sidi Bel-Abbès Cité 270 LSL Les malfaçons inquiètent les locataires

Les habitants de la cité 270 logements socio-locatifs dans le quartier Larbi Ben M’hidi, dans la ville de Sidi Bel-Abbès, ont peur de se réveiller un jour sous les décombres. Pas plus de 14 mois depuis leur relogement dans les immeubles et les malfaçons commencent à faire apparition, surtout au niveau des blocs A1 et A2. C’est ce qui a été rapporté dans une correspondance signée par le président du Comité de la cité 270 LSL, dont une copie a été remise à l’Echo d’Oran. Un regard implanté au milieu de l’appartement d’un locataire situé au rez-de- chaussée était bloqué et débordé, laissant dégager des odeurs nauséabondes et fait l’objet de travaux de nettoiement par les services de l’OPGI . Selon le contenu de la correspondance, le regard continue toujours à dégager de mauvaises odeurs et même des rats y sortent et s’introduisent dans les autres appartements. Ces odeurs risquent de se répercuter sur leur santé et leur causer des maladies. Par ailleurs, les travaux ont malheureusement occasionné, selon le contenu de la pétition, un affaissement au niveau du bloc G1, ce qui fait la peur des locataires qui ne cessent pas de revendiquer une réhabilitation du bloc et de remédier à cet état. Ces immeubles censés les abriter commencent déjà à se délabrer. Les pétitionnaires ont également soulevé un autre problème, celui des poteaux d’électricité non protégés, ce qui sème la panique parmi les résidents de ladite cité, surtout durant les journées pluviales, l’eau peut s’infiltrer et imprégner les câbles et il faut imaginer les conséquences, diront- ils. Fatima A. (l’Echo d’Oran)