Il ne s’agit pas du paquebot Sidi Bel-abbès qui assurait la liaison maritime d’Oran à Marseille dans les années 40 et qui a été torpillé par un sous-marin Allemand en haute mer, faisant 834 morts,ce dernier avait un commandant « debout » qui assurait la gestion à bord convenablement mais il s’agit ici surtout de la commune de Sidi Bel Abbes.
A voir l’état de dégradation avancé des trottoirs, de l’éclairage public,nids de poules dans les rues et autres soucis relatifs aux préoccupations quotidiennes du citoyen ,il est à croire que la ville souffre d’un syndrome décisionnel local jamais atteint.Je ne parle pas des travaux du tramways ceux-la sont connus mais surtout des autres zones de la ville. Pourtant, il suffit que notre maire donne des ordres pour qu’ici on effectue la réfection d’un trottoir ou chaussée , la bas on réinstalle ou répare des lampadaires, ailleurs on ferme , remplit de remblais et bitume des nids de poules.C’est le minimum que le commun des citoyens espère et attend de ses élus. ces élus qui ont promis monts et merveilles aux administrés avant leur élection.
On ne leur demande pas de piéter sur les platebandes du chef de daira ou du Wali ni de s’imposer en tant que maire-élu sur son territoire d’administrés comme l’a fait le Dr Hassani en son temps ou tout récemment à la formidable Anne Hidalgo maire de Paris qui vient de signifier clairement, depuis Kinshasa à son président de la République François Hollande, sa réticence à la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2024 alors que ce dernier avait voulu peser de son poids, mais de faire seulement leur boulot d’élu convenablement avec le minimum d’effort.
Bref, l’on est pas encore arrivé à ce stade de démocratie mais le maire de Sidi bel abbès devrait au moins penser,à lui et à ses citoyens qui l’ont élu lorsqu’il prend la peine de marcher sur le trottoir dégradé de l’Avenue Didouche Mourad d’ailleurs on se demande s’il est jamais passé par là et constaté un carrelage complètement décollé ou manquant par endroit sous ses pieds et ceux des milliers de passants qui l’empruntent quotidiennement. Dire que cette partie, il y a peine quelques années, avait retenu l’attention du Wali précédent M Fehim qui avait ordonné sa réfection à neuf.
Et ces nids de poules dangereux par endroits, laissés par des entreprises qui ne reviennent jamais pour terminer leur travaux en bonne et due forme. Pourtant tout le monde sait maintenant , qu’après moins de six mois , une tranchée creusée pour les conduites d’eau ou gaz , s’affaissera aux passages des véhicules et va créer une sorte de tranchée comme ici à l’image. Et qui s’occupera de terminer les travaux et niveler cette rue?
Enfin ,si ces derniers temps, on tente d’éclairer plus qu’il n’en faut des places et édifices publics dans le but d’embellir ,il n’est pas fortuit de penser que de l’avis du citoyen ordinaire ,c’était beaucoup plus, jeter l’argent par les fenêtres qu’embellir , ne faudrait-il pas voir l’état de l’éclairage public de la ville en général qui fait encore et encore défaut dans les cités et artères alors que des milliards sont dépensés annuellement pour son entretien et suivi. Pourtant toute une entreprise existe, mais elle n’est jamais sur les lieux où il fait noir.Aussi, n’est-il pas facile pour un élu responsable de parcourir durant la nuit de temps à autres des zones de la ville pour s’enquérir de la situation ou à défaut écouter les doléances des administrés? encore faudrait-il croire que notre élu daigne y réfléchir!
Ou bien, faudrait-il songer à sous traiter ces taches essentielles de notre quotidien avec des étrangers ?
La ville n’a pas évoluer en fonction de l’évolution de son éspace. La ville de Paris n’est plus une commune, mais un ensemble d’arrondissement, sur chaque arrondissement un maire. D’apres le pris.fr il 20 maires élus sur la ville de Paris. Et puis a l’epoque du maire docteur hassani la ville etait en periode de boumedienne géré par des hommes du terrain des hommes de metiers. Le maire hassani n’infervenait pas pour une histoire de plomberie ou de maçonnerie. En plus de la periode de hassani ou de boumedienne, les librairies etaient pleine de revues technique, SystemD, electronique pratique, Burda, chaque groupe de metier trouvait sa propre revues. Apres la mort de bouledienne l’algerie s’est penché trop pour les sciences sociales ensuite pour les sciences religieuse ensuite plongé dans les sciences occultes. Tu vas au sud les palemraies sont etat de déperdition et les jeunes apprenent la philosophie..comment vont ils vivre si jamis il y aura une guerre marines dans les oceans et mers?comme a bel abbe?s le grenier de blé jadis plein de cereal n’est qu’a trois moitié remplis.
Juste pour rappel il faut je crois un maire et une assemblé pour 2500 habitants si le budget le permet et pour 5000 si la ville est serrée..
Les revue qui etaient en vente libre jusqu’a 1984 a bel abbes malgré qu’il n yavait pas d’ecole ingeniorat les belabbesiens s’autoformaient par leurs moyens propres de grand tecniciens travaillaient chez sonelgaz en se formant par eux meme
Systemed.fr
Lehautparleur.com
Burda.fr. pour les couturiére qui trouvaient des patrons de haute couture
Electroniquepratique.com
Etc
Salutation