Alors que l’état fait de son mieux pour résorber le taux de chômage, certain représentant s ou responsable s’interposent et contribuent à élever la tension. Nous évoquons dans ces colonnes, le cas de la maison de l’enseignement de Sidi bel abbès ou 32 de ces travailleurs ont observés un sit-in de protestation contre les mesures prises par la commission nationale des œuvres sociales des travailleurs de l’enseignement qui décide de mettre fin à leurs fonctions, pour les remplacer par des retraités qui ne percevront qu’une allocation.
Cette mesure arbitraire menace les travailleurs depuis l’établissement du règlement intérieur de cette commission nationale en date du 22/11/2016 qui n’a été adressé à la maison des enseignants que le 20/06/2017. En réponse à cette décision inéquitable, qui menace de licenciement 32 chargés de famille, le ministère de l’éducation national à travers sa direction des Ressources Humaines et Matérielles dans une correspondance du 6/02/2018 N°106 adressée à la Commission Nationale des O.S., a rappelé le maintient des 32 travailleurs dans leurs postes respectifs, de par la qualité de service, l’expérience et leur ancienneté. Il a été assuré qu’à l’avenir aucun recrutement ne sera effectué sauf besoin nécessaire et en respect dudit règlement.
La maison de l’enseignement qui n’a pas de budget et s’autofinance grâce aux rendements des activités assurées ar aux qualités de travail des agents ou très souvent, certains d’entre eux exerce de 8h du matin à 1g du matin du lendemain, pour répondre aux besoins. Il s’afit donc d’une structure qui n’est pas en déficit, pour que des mesures soient prises à l’encontre de ces travailleurs que le statut de l’ANEM fragilise à chaque fois.
Voila alors que l’irresponsable et arbitraire mesure de cette commission nationale des œuvres sociales, qui s’acharne injustement sur des travailleurs qui ont été les premiers à œuvrer dans cette infrastructure depuis son ouverture en Novembre 2013. Une mesure abusive, ou sans s’imaginer des conséquences sociales que l’on va faire vivre abusivement à ces citoyens, en les rendant victimes de l’injustice de certains décideurs qui se considèrent représentant nationaux des travailleurs.
Nous bous sommes rapproché de Mr BENKRAMA Med Directeur de la maison des enseignant et de Mr AKROUB Lounes Président Syndical. Le premier ne nous a pas caché, sa grande inquiétude devant cette situation, tout en reconnaissant, que son personnel ne mérite pas l’application de cette instruction, a marqué son obligation de respecter les instructions reçues de la commission nationale. Quand au second, il a fermement avancé défendre ce collectif de travailleurs, en rappelant le besoin d’œuvrer pour préserver l’emploi et de s’interposer à des recrutements abusifs de retraités. A cet effet il demande le gel de de l’application de ce règlement, tout en réclamant le changement d’appellation de ce règlement.
En effet, alors que l’état demande d’apurer le monde du travail des recrutements abusifs de retraités, qui prennent la place de jeunes chômeurs universitaires et autres, voila que certaines administration, deviennent hors la loi. En outre les inspections de travail semblent ne pas donner de l’importance à ces inquiétudes du terrain.